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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 20:06

Nos gouvernements successifs et principalement ceux du présent mandat présidentiel sont à la recherche de nouvelles ressources surtout au moyen de taxes et d'impôts.

Depuis au moins un demi siècle nous avons assisté impuissants à des privatisations <<salutaires>>.

Qui dit ces dernières, dit actionnaires avides de substantiels profits aux dépends de la classe laborieuse et des investissements indispensables à la prospérité des entreprises.

Nous constatons que toutes ces décisions sont prises dans la précipitation, sans études approfondies.

Avant le premier janvier 2015, une décision est à prendre pour ce qui concerne le statut des sociétés d'exploitation des auto routes.

Certains députés préconisent la nationalisation, donc un retour aux sources de l'étatisation, politique républicaine de la France.

Est-ce là une idée rationnelle ?

Certes ces sociétés ont engrangé de colossaux bénéfices. Sait-on posé pour quelles raisons ?

Vont-elles continuer dans cette même direction ?

Cette nationalisation couterait à l'état entre 15 et 20 milliards d'euros (ce n'est pas une fourchette, mais une fourche à fumier).

Où trouver une telle somme si ce n'est en empruntant encore et toujours ?

Ce qui m'inquiète plus gravement, c'est de constater que nos députés (grosses têtes sans lucidité) veulent acquérir un objet d'occasion.

Certaines de ces auto routes sont déjà entrées dans la phase de travaux importants d'entretien, ce qui réduit d'autant les bénéfices en cours.

Quel sera le statut du personnel employé ?

De nouveaux fonctionnaires de l'état ?

Que va devenir l'état dégradé de nos routes nationales et départementales ?

Si ces sociétés ont tant fait de bénéfices, n'est-ce point la faute de l'état ?

Pourquoi n'a-t-on pas gelé les augmentations successives ?

Les gouvernements successifs ont tablé sur les taxes rapportées sans se soucier que par cela, ils ont appauvri les consommateurs plutôt que de protéger leurs intérêts et ceux de la nation toute entière.

Regarder par le petit bout de la lorgnette ne profite qu'aux mal intentionnés.

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9 décembre 2014 2 09 /12 /décembre /2014 17:43

ARCHIMEDE disait : donnez-moi un point d’appuis et je soulèverai le monde.

Le Politique dit : donnez-moi le pouvoir et je ferai de vous des vassaux.

Les maîtres mots qui caractérisent ces derniers sont l’hypocrisie et l’imposture.

Tout est bon pour gagner la confiance des citoyens et principalement les promesses non tenues.

A l’impossible nul n’est tenu dit-on …voilà un argument qui les conforte.

La nausée vient de ce champ de bataille où tous les coups sont permis. Sans état d’âme on y abandonne les blessés, les mourants et les morts.

Quel qu’en soit le parti, combien de promesses avons-nous entendues ?

Les tractations au sein de la droite (tordue) en sont une piteuse image.

Amis d’un jour, ennemis pour toujours.

Qui aujourd’hui pourrait accorder la confiance aux uns ou aux autres ?

La course à l’investiture est lancée, lequel d’entre eux aura assez de souffle et de roublardise pour tromper 50% d’électeurs ?

Dès les prochaines élections, les bulletins blancs seront pris en compte, c’est certainement un pas en avant, mais à quoi ce pas servira-t-il ?

Pour avoir un réel reflet de la volonté du peuple, il faudrait que, seul le candidat qui aura atteint 50% des inscrits soit élu.

Pendant que cette guerre perdure, la France continue de couler.

Dans un tel climat on oubli de féliciter et d’encourager celles et ceux qui, malgré les difficultés rencontrées continuent de fabriquer en France et exportent avec succès leur savoir-faire.

En France, on s’intéresse principalement aux grosses sociétés tant du point de vue productif que du licenciement, pourtant, quotidiennement de petites entreprises licencient sans qu’aucune information ne nous soit donnée.

Ces petites entreprises ne se délocalisent pas et font preuve de patriotisme, alors pourquoi cette absence de considération ?

Devenir demandeur d’emploi n’arrive pas qu’aux autres !!!

De grâce, messieurs les politiques, cessez vos combats ridicules et ravageurs et mettez vos compétences au secours de notre nation.

Seuls vous ne pouvez rien, donnez-nous de bonnes raisons pour vous écouter et croire en vos prières.

Vous faites la guerre, mais c’est une révolution qui vous détruira.

Bayard.

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6 décembre 2014 6 06 /12 /décembre /2014 16:13

Grâce au bridge, voilà un nouveau type d’enseignement pour apprendre les mathématiques.

A tort certainement, je croyais qu’apprendre n’était pas un jeu, mais une action sérieuse de concentration de l’esprit, aujourd’hui on tente de me démontrer le contraire.

N’a-t-on pas déjà essayé d’autres méthodes d’enseignement sans résultats probants ?

Il est déjà très difficile de captiver l’attention d’un enfant (ou d’un adulte) sur un sujet unique, comment peut-on y arriver si on l’attire vers un deuxième sujet.

Lui mettre entre ses mains un jeu de cartes ou une tablette ne peut que transformer son esprit et le diriger vers la facilité.

Perdre en jouant aux cartes n’est pas bien grave, mais s’il n’acquiert pas un minimum de notions mathématiques il en sera autrement.

La calculette ou la tablette le dispensent de connaître les tables de multiplication, d’apprendre notre conjugaison, un minimum d’orthographe.

Mais voilà, oseriez-vous sortir votre calculette en public pour calculer une somme alors que le calcul mental peut le faire? Cette méthode vous permet par ailleurs de développer vos capacités intellectuelles.

Le bridge peut-il vous apprendre comment on calcule une surface, quel genre d’opération il faut résoudre ?

Je crois que ceux qui préconisent ces nouvelles méthodes n’ont pas conscience qu’ils s’adressent à des enfants en phase de construction et qu’ils les privent des phases successives d’assimilation, créant et accentuant les décrochages.

Voilà déjà que depuis des décennies on ne cesse de modifier les moyens pédagogiques sans succès sauf celui de démotiver davantage nos enfants.

On veut également pour de futiles motifs supprimer les notations chiffrées. Ces dernières, pourtant, pour des élèves attentifs et désireux de progresser étaient une source de motivation pour leur amour propre, parce que cette sanction était aussi brûlante que des sévices corporels.

Nul doute, si tant de jeunes sont défaillants en niveau scolaire, c’est que ces multiples changements de modes d’enseignement sont incohérents et parfois contradictoires.

On constate par ailleurs que les enfants dont les parents assurent la scolarité à la maison ont de meilleures chances de réussite

. Pourquoi donc ces parents sont poursuivis pour ce type d’infraction ?

Simplement parce que le corps enseignant craint pour son statut.

Ne pourrait-on pas confier à des enseignants le devoir de contrôler la qualité de ce type d’enseignement afin d’en évaluer les résultats ?

Ces enseignants n’appliquent-ils pas cette action quand ils sont chargés de corriger les copies du bac ou autre examen ?

Devant une telle indiscipline de nos dirigeants, comment peut-on exiger de nos enfants une bonne conduite de leurs études ?

Où les parents peuvent-ils trouver les repères nécessaires à une aide complémentaire aux devoirs ?

Comment trouver les arguments convaincants pour que nos enfants prennent conscience que l’instruction est la pièce maîtresse de l’existence de l’être humain.

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6 décembre 2014 6 06 /12 /décembre /2014 14:35

Avec le Grenelle de l’Environnement, puis la Conférence environnementale, en ce qui concerne notre pays, mais plus largement avec les grands-messes internationales sur le réchauffement climatique, une prise de conscience s’est opérée. D’où la fameuse transition énergétique actuellement en discussion.

Prenons l’exemple du bois de chauffage, puisque c’est le thème du mois. Au lieu d’inciter les gens à consommer plus de ressources énergétiques (électricité, gaz, bois), le gouvernement met au contraire l’accent sur les économies d’énergie, à travers des appareils de chauffage plus performants, plus économes, et surtout sur l’isolation des logements.

Mieux, la technologie permet aujourd’hui de transformer les déchets végétaux (bois essentiellement, mais pas uniquement) en <<biogaz>>, qu’il est possible de raccorder directement sur le réseau de distribution habituel.

Et que dire du généreux soleil qui peut nous fournir une eau chaude quotidienne ?

Et la géothermie, technique encore balbutiante, se propose de capter la chaleur naturelle du sous-sol et de nous la restituer dans nos logements.

Pourtant, certains élus ont un train de retard.

Partons à Sivens, du nom d’une forêt très prisée des Gaillacois en quête de nature et de fraîcheur.

Comment peut-on encore, aujourd’hui, construire un barrage <<surdimensionné>> (selon deux ingénieurs généraux des Ponts, eaux et des forêts missionnés par le ministère de l’Ecologie) dans le seul but d’arroser les champs de maïs (plante très assoiffée et, de surcroît, destinée à l’alimentation animale) d’une trentaine d’agriculteurs locaux ?

Le tout en coupant 12 hectares de forêts et en détruisant une zone humide. Et ce malgré les trois avis défavorables, émis en 2012 et 2013, du Conseil scientifique régional du patrimoine naturel (CSRPN) et du Conseil national de la protection de la nature (CNPN), en raison d’impacts environnementaux mal évalués.

N’y avait-il pas meilleure utilisation des 8 millions d’argent public, notamment pour inciter les agriculteurs en difficulté à cultiver des variétés plus adaptées au climat sec de leur région ?

Quitte à créer de modestes retenues d’eau adaptées à la taille de chaque exploitation ? Et, pourquoi pas, à adopter une agriculture biologique de proximité, répondant aux vraies demandes des consommateurs ?

Une belle occasion manquée …

Peut-on aujourd’hui encore aménager le territoire (autoroutes, ponts, ports, aéroports, centre commerciaux) sans susciter une vive opposition ?

Pas évident tant les <<consultations publiques>> préalables sont souvent jouées d’avance au détriment des citoyens et de leur environnement. C’est le fonctionnement même de notre démocratie qu’il va falloir revoir, au risque de multiplier des projets insensés, dépassés et à fort impact environnemental.

Le <<toujours plus>> nous mène droit dans le mur, tout le monde (ou presque) le sait.

Alors on arrête quand les absurdités du passé ?

Jean-Pierre CAMO, Directeur de la publication du mensuel bio contact n° 252 de décembre 2014

. Commentaire de BAYARD

Ce document vient confirmer les propos de mon article du vendredi 31 octobre 2014 : SIVENS et CESSAC. Inquiétantes similitudes.

Le conseil municipal de CESSAC ne pourrait-il faire de ce document une référence ? CESSAC. LAUBESC !!! A méthodes identiques, résultats identiques …

Cet article résume bien le dysfonctionnement démocratique de notre pays.

LAUBESC, la destruction de cette réserve d’eau, où est l’intérêt environnemental ?

Où est l’intérêt environnemental avec ce projet en cours d’exécution ?

Comment peut-on encore aujourd’hui détruire une réserve d’eau alors que le changement climatique impose logiquement de nouvelles réserves ?

Pourquoi ne pas avoir laissé à la nature le soin de créer gracieusement une zone humide non domestiquée ?

Pourquoi, le Conseil scientifique régional du patrimoine naturel (CSRPN) et le Conseil national de la protection de la nature (CNPN) n’ont pas été consultés

? A qui, de la population Cessacaise, cette destruction peut-elle profiter ?

Par ce projet, qui peut garantir que le danger dû à la présence de ce lac, n’a pas été aggravé ?

Qui peut se targuer que ce projet ne sera pas remis en cause par le Ministère de l’écologie, comme l’est le site de SIVENS ?

Voilà quelques questions qu’auraient pu se poser les citoyens de CESSAC si le CM avait voulu démocratiquement débattre.

BAYARD.

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26 novembre 2014 3 26 /11 /novembre /2014 17:46

Nous avons parcouru ce beau pays qu’est notre France. Des paysages et des gens sublimes, des personnes attachantes qui vous font oublier que le temps passe trop vite. Parmi tous ces sites merveilleux, il en est un qui me hante encore parce que ce tout petit village, presque une terre inconnue, a, tout ce qu’un être attend dans sa vie.

Niché dans un coin de verdure, à l’abri de toute nuisance sonore et olfactive, avec des modestes demeures richement fleuries, une petite place ombragée par un chêne bicentenaire entouré de bancs en granit, voilà le décor de ce paradis.

Sur ce banc, un vieil homme est assis entouré par quelques enfants attentifs à ses paroles se délectant de son calme et de son savoir.

Les véhicules à moteur ne pouient accéder à cette place parce que le pont qui enjambe le ruisseau ne le permet pas.

C’est donc à pied que nous avons parcouru l’unique rue de ces lieux. Chaque maison a sa distinction, ses habitants nous saluent d’un geste de la main et d’un gracieux sourire.

Cet homme très âgé se lève pour nous accueillir, nous tend sa main noueuse comme un cep de vigne, un large sourire sur son visage buriné par le temps.

A ma grande surprise, ce patriarche me dit alors : tu es un montagnard !

Comment avez-vous deviné lui dis- je ?

Parce que vous êtes un des rares étrangers à abandonner votre véhicule pour venir jusqu’à nous et aussi parce que le montagnard a une façon de marcher qui lui appartient.

Sur le côté de la place, une grande lauze est posée à même le sol, gravée d’une épitaphe ou l’on pouvait lire ces mots :

La vie est un éternel combat, il ne cesse qu’en passant de vie à trépas.

Je lui demande qui a écrit cela ?

Il me regarde avec un petit sourire au coin de ses lèvres mais ne répond pas.

Je comprends alors que cet homme est le sage du village.

Ma curiosité me conduit à parler de choses et d’autres et surtout de la vie en ce coin isolé. Comme tous ces êtres il me conte toute l’histoire de cette petite communauté d’une quarantaine de citoyens.

La précision de ses propos est surprenante, je bois ses paroles douces comme un nectar. La vie est bien rude dans ces campagnes de montagnes, pourtant ces hommes et ces femmes ont su conserver cet énorme trésor qu’est la fraternité.

Sa parfaite connaissance du monde rural, son éducation et son instruction me laissent sans voix.

J’ai l’impression de vivre dans un autre monde, un monde qui me ressemble.

En regagnant notre voiture, avant de franchir le petit pont, nous rencontrons une femme tout aussi âgée que cet homme.

Elle nous dit : vous venez de rencontrer le sage de notre village, sans lui nous ne serions pas restés dans ce paradis.

Nous nous retournons vers ce chêne pour lui adresser un geste de la main, la tête pleine d’anecdotes et le cœur un peu gros.

Cette sagesse qui nous fait tant défaut où est-elle ?

Ainsi va le monde avec la pluralité de ses êtres !!!

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25 novembre 2014 2 25 /11 /novembre /2014 17:07

La sagesse de cet homme, redouté par les grands de ce monde, est la force de l’humanité. Nous lui devons certainement ce frêle équilibre qui nous permet de vivre démocratiquement dans la nécessaire humilité.

Qui est donc cette force tranquille à qui on a posé cette question ?

Question : Qu’est-ce qui vous surprend le plus dans l’humanité ?

Il a répondu :

Les hommes …parce qu’ils perdent la santé pour accumuler de l’argent, ensuite ils perdent de l’argent pour retrouver la santé.

Et à penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte qu’ils finissent par non vivre ni le présent ni le futur.

Ils vivent comme si ils n’allaient jamais mourir …

…Et meurent comme si ils n’avaient jamais vécu.

Texte retransmis sans aucune correction.

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21 novembre 2014 5 21 /11 /novembre /2014 17:32

Citation :

Toi qui ne sais de quel breuvage ton esprit peut se délecter,

Donnes lui un peu de ces sages pensées.

La Mère à son Fils.

Une mère essaye de donner à son fils une compréhension de ce qu’il y a d’important dans l’existence pour rendre sa vie aussi heureuse et satisfaisante que possible.

Une mère essaye d’apprendre à son fils à être bon et généreux envers autrui, à être constamment honnête et franc, à être juste en traitant de la même façon les hommes et les femmes, à respecter ses aînés et s’instruire auprès d’eux, à, bien se connaître lui-même, à comprendre ses points forts et ses faiblesses, à accepter les critiques et à profiter de ses propres erreurs.

Si je t’ai donné une compréhension de la plupart de ces choses, j’ai alors réussi à accomplir ce que je voulais en t’élevant.

Je continuerai à t’aimer et à supporter ce que tu es et tout ce que tu fais, je suis toujours là pour toi, mon fils.

Je t’aime.

Susan Polis SCHUTZ

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 17:40

Citation. Quand un individu détient un soupçon de pouvoir, les avis et les critiques deviennent irrecevables.

Pourquoi les communes en sont elles à ce point ?

Longtemps et présentement encore, la population des campagnes est considérée comme étant intelligemment inférieure, de culture intellectuelle médiocre et dépouillée de sentiments humains.

Considérée comme vassale, donc en état de dépendance par rapport aux autres.

C’est bien mal connaître les gens de nos campagnes.

Au siècle dernier, dans nos campagnes le rôle de maire était pour le moins accordé à celui qui avait une instruction au-dessus de la moyenne.

On y retrouvait l’instituteur de la commune, des clercs de notaire, parfois des médecins. Une entière confiance leur était faite parce que leurs fonctions les rendaient plus aptes à comprendre et protéger les intérêts des citoyens.

Pendant et surtout après la deuxième guerre mondiale l’état d’esprit a beaucoup changé non point en bien mais par la recherche de profits aux dépends de ces mêmes vassaux.

Le niveau culturel général a aussi rapidement grandi créant un nouveau climat d’intérêts et la subordination de ceux qui n’avait su ou voulu entrer dans la troupe du spectacle.

Les seigneurs ont troqué leurs carrosses pour de luxueuses et confortables limousines, mais l’état d’esprit est resté inchangé.

Aujourd’hui, alors que l’on aurait pu admettre le contraire, les maires sont devenus les subalternes des communautés de communes et de tous ces mille-feuilles que sont les syndicats soit directement ou par les citoyens.

Comment ?

Par des droits d’adhésion mais pire encore par des taxes et des frais d’abonnement.

Des sommes considérables sont collectées et principalement employées aux budgets de fonctionnement alors que l’entretien et la création de nouvelles installations périclitent.

Tel est le terrible constat aujourd’hui !!!

Malgré que peu attractive, la commune de CESSAC n’échappe pas à la poussée démographique qui aggrave les conditions de vie des citoyens. Cette poussée démographique que nos élus n’ont pas su anticiper malgré une logique frappante est due à deux phénomènes.

Le premier est que nos enfants sont devenus des adultes et, comme nous ont créé une famille ce qui pour le moins a augmenté la population d’une personne.

Ceci a été le cas pour chacune des familles vivant à CESSAC.

Ce couple désire comme nous avoir des enfants, et la population augmente encore d’une ou plusieurs personnes.

Cette nouvelle famille ne peut vivre sans un nouveau toit. Quoi de plus naturel ?

Cela engendre quoi ?

Un nouveau toit pour loger tout ce petit monde, donc une construction nouvelle qu’il faudra alimenter en eau et électricité.

Les réseaux de distribution n’ont pas évolué, il s’ensuit que les débits sont insuffisants pour des alimentations individuelles conformes.

A qui maintenant faut-il demander des comptes ?

Monsieur ou Madame le maire est le garant de ces installations, nous sommes donc en droit de l’interpeler et d’obtenir une réponse.

Cette dernière est simple et facile : ce n’est pas moi mais le syndicat.

Une manière simple d’assumer ses responsabilités.

Je constate que dans cette structure à multi-étages, il y en a un complètement vide. Il serait logique de le supprimer.

L’état pourrait ainsi faire des économies en récupérant les indemnités versées.

Le deuxième phénomène a la même cause que le premier, à savoir l’incapacité forcée ou naïve de dégager le bon choix en matière d’investissements fonciers généralement improductifs et dangereux.

CESSAC n’a pas échappé à cette épidémie qui persiste.

Les élus se sont principalement polarisés sur leur réélection ; sans succès pour notre commune.

C’est ainsi que la plupart des communes de notre canton ont édifié des espaces communaux destinés au rassemblement ludique des citoyens.

Tous ou presque sont peu ou pas utilisés.

Pourtant, lors de leur création, on savait déjà que les populations se confinaient chez eux pour regarder la télévision, écouter de la musique ou explorer avec l’ordinateur.

Cette modernisation a transfiguré la société en la dirigeant vers d’autres désirs et vers l’isolement.

Ces investissements fonciers improductifs provoquent l’installation de la négligence des actions indispensables au confort des citoyens.

Résultat probant à cela :

Il s’en suit qu’au regard de cette précarité des installations de la commune, les certificats d’urbanisme sont refusés parce que les installations ne permettent pas de répondre aux critères d’engagements contractuels.

Mais que laisserons-nous à nos enfants ?

Il me serait indécent de ne pas dénoncer cette situation qui ne cesse de s’aggraver.

A votre avis que souhaiteriez-vous que la commune fasse ?

Une priorité serait qu’elle ne consente plus à instruire des demandes de permis de construire tout autant que ces syndicats n’auront pas engagé les aménagements nécessairement indispensables.

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10 novembre 2014 1 10 /11 /novembre /2014 15:25

. La séance est ouverte à 20 heures.

Tous les conseillers étaient présents (11 au total).

Vous trouverez le détail de l’ordre du jour sur le compte-rendu qui sera qui affiché en lieu habituel.

Lors des précédents articles je vous informais qu’il y aurait du nouveau dans la composition du CM. Cependant j’avoue que je ne l’attendais pas si tôt.

Mme Nanou THOMAS, en début de séance a remis sa lettre de démission à Mme Le Maire en lui demandant d’en donner lecture.

Jamais, en pareille circonstance je n’avais ressenti une telle émotion.

En mon âme et conscience, j’aurais aimé que Mme THOMAS reste au sein du CM parce qu’elle incarne, au-delà de sa valeur intellectuelle, des valeurs humaines hors du commun. Toutefois, je respecte sa décision parce qu’elle est celle de la sagesse.

Son absence fera défaut j’en suis certain.

Quand j’examine avec attention le comportement des membres du présent CM, je me crois dans un rêve.

Certains se croient dans une salle de relaxation loin de toute préoccupation.

Le premier et le deuxième adjoint se livrent à des actes d’intimidation, faisant valoir la prédominance de l’un par rapport à l’autre sur des sujets qu’ils ont en charge commune. L’unité affichée est loin d’être celle annoncée.

Revenons au cœur de la réunion.

Après le choc de cette démission, Mr le deuxième adjoint s’en est violemment pris à l’usage du blog, critiquant au passage la presse en général.

Je regrette que cette intervention est eu lieu après l’ouverture de séance, me privant ainsi de la possibilité de m’exprimer, à moins qu’il ne s’agisse d’une intention quelconque maladroitement orchestrée !!!

Quelle signification faut-il donner à cette attitude ?

Ce deuxième adjoint m’intrigue quand il dit qu’il faut attendre la fin du mandat pour juger.

Je croyais que chacun devait savoir <qu’il vaut mieux prévenir que guérir>.

Et bien non, je dois être dans l’erreur.

Savoir anticiper et juger sont deux dispositions prépondérantes quand il faut décider.

Mr le deuxième adjoint, je crois que vous avez tendance à oublier que vous dépensez les deniers publics. Pour preuve l’action au cimetière qui en soi serait une bonne idée, mais mal exécutée.

Il est vrai que je n’ai pas la science infuse !!

Mr le deuxième adjoint nous a martelés que durant ces 58 années passées à CESSAC (partiellement), il n’avait jamais assisté à de tels comportements.

Je veux bien vous croire.

Cependant, depuis 15 années que j’habite sur cette commune, je n’ai pas eu l’occasion de vous croiser lors des réunions des CM (pas plus que les autres membres actuels du CM) et encore moins de vous impliquer pour la collectivité communale.

Dans ce cas, il est difficile de pouvoir porter de tels jugements.

Quand j’ai interpelé Mme Le Maire sur des sujets basiques, vous lui avez demandé d’abréger cet échange, curieuse façon de communiquer…

Je ne sais si vous saurez l’admettre mais c’est bien vous qui mettez un frein aux relations entre l’exécutif et les citoyens.

Quoiqu’il en soit, ces tentatives d’intimidation ne m’empêcheront pas d’alimenter mon blog à chaque fois que cela sera nécessaire. La fréquentation de mes lecteurs est en constante augmentation depuis votre prise de fonctions. Je n’ai pas le droit de les décevoir.

A l’ordre du jour, il y avait le financement des travaux du lac.

L’exposé de Mme le Maire a été succinct mais suffisant pour constater que ces explications sont évasives. Cependant, je crois avoir retenu que 20% du <projet> restent à la charge de la commune (ce que nous savions déjà) et seraient de 100 000 €, et que le SMER vous accorderait un étalement partiel de cette dette (qu’il faudra bien rembourser un jour).

Cela signifie deux choses :

La première que vous n’êtes pas en mesure de nous donner des informations précises.

La deuxième que vous hypothéquez d’autres travaux.

Vous avez également mentionné un acte de vandalisme au lac, la détérioration de la serrure de la barrière d’accès. Ce phénomène je l’avais soulevé depuis bien longtemps en attirant l’attention qu’aucune protection du domaine n’était possible et que l’on allait au-devant de gros problèmes avec la nouvelle réalisation.

Vous comprendrez peut-être le pourquoi de mon inquiétude et de celle de mes concitoyens conscients de la situation.

Je sais que dans cette commune, des femmes et des hommes jeunes ou d’âge mûr ont les compétences et les qualités indispensables pour la conduite des affaires.

J’avoue cependant que j’ignore pour quelles raisons ils n’arrivent pas à s’associer pour diriger cette bourgade

Ont-ils tout simplement peur que la charge à trainer soit au-dessus de leurs moyens ?

Je regrette que le programme de Mme WILHELM n’ait pas vu le jour. Ses interventions étaient pertinentes.

Lors du précédent mandat, en accord avec Mr Le Maire elle a réussi à faire installer le tableau d’affichage. Un des points de son programme, installation obligatoire que j’avais maintes fois réclamée.

MEDITATION.

Ces deux montagnes que sont l’Ecole de la Vie, aussi généreuse qu’impitoyable, et, le Monde Rural d’où je viens, m’ont appris que l’Humilité est l’antidote de la Vanité.

Sachez que tout flatteur vit aux dépends de celui qui l’écoute. ( La Fontaine)

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10 novembre 2014 1 10 /11 /novembre /2014 14:27

~~Mon BLOG. 33- laubesc.

Chères Lectrices, Chers Lecteurs,

Vous êtes de plus en plus nombreux à lire mes articles.

Je vous en remercie très chaleureusement pour l’intérêt que vous leur portez.

L’irrégularité dans leur parution est due au rythme des saisons.

Amoureux de la nature et du jardinage, je consacre beaucoup de mon temps à ces activités de plein air.

Beaucoup de mes articles relatent les activités de ma commune rurale d’adoption.

A part les réunions qui réunissent les Conseillers Municipaux et trois ou quatre citoyens non mandatés, la commune reste sans manifestations notables.

Ma franchise parfois dérange, ce n’est point pour nuire mais pour tenter de donner des impulsions positives crédibles afin de mieux cerner les sujets et trouver des solutions concertées.

Cette possibilité de s’exprimer par un blog fait de ce dernier un auxiliaire très apprécié.

Il permet notamment l’expression en parfaite sérénité.

Votre assiduité à me lire me réconforte et m’encourage à poursuivre.

Encore MERCI.

Bayard.

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