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La France dans un monde de triste réalité.

J’ai eu le bonheur de rencontrer un sage qui nous disait avec humour « Je comprends vite mais il faut m’expliquer longtemps ». Une manière élégante pour nous dire, sans vexer, que le temps aurait raison de notre incompréhension.

A trois jours de ce deuxième tour, certains de mes concitoyens sont aujourd’hui, sans solution devant un problème dont ils ont rédigé l’énoncé.

Au premier tour, les uns ont choisi Mr MACRON, d’autres Mme Le PEN et les indécis ont voté blanc ou se sont abstenus.

Il serait logique, qu’en leur âme et conscience, chacun de ces groupes confirme son choix, mais…l’être humain est souvent versatile.

Par démocratie, je respecte le choix de chacun, cependant, aucun des deux programmes ne satisfait ma conviction et mon attente.

Qu’en est-il réellement dans nos têtes ?

Sommes-nous capables de choisir en fonction des programmes et chasser de nos esprits les affinités, ces sentiments qui perturbent toute objectivité ?

L’adhésion de complaisance est pernicieuse.

De cette longue et terrible campagne, je retiens les explications d’un candidat qui met en évidence les conditions de mise sous tutelle des dirigeants des 28 pays qui composent l’UE.

L’application de la convention européenne fige les dynamiques individuelles en tirant vers le bas les valeurs sociales et favorisant le monde de la finance.

Qui d’entre nous supporterait que dans sa famille il en soit ainsi ?

Pour mieux comprendre, ramenons tous ces problèmes à leur plus simple expression.

Que se passera-t-il ce dimanche sept mai 2017 ?

Qui sera cet élu (e) de notre patrie au pouvoir suprême ?

Pour ce qui me concerne, ce n’est pas l’unique problème majeur. Ce n’est pas le Président qui gouverne mais le Premier ministre choisi par ses soins.

Encore une étape de choix qui n’échappe pas aux questions que nous nous sommes posées pour élire le Président.

Un Président serait-il infaillible ?

La menace qui règne réside dans le comportement irresponsable des différents partis politiques en guerre perpétuelle au point de mettre en défaut la cohérence des idées et des actes.

Certains ont déjà affiché leur intention de s’opposer à la politique du nouvel élu (e).

Trahison voilà le terme approprié.

Encore une bonne raison pour diviser les citoyens agacés par ces querelles partisanes.

La guerre civile prêchée comme cela a été lancé dans le débat des deux candidats.

Ces conditions ne sont pas de nature à rassembler les citoyens et apaiser les tensions.

Tous ces programmes proposés sont incomplets, des sujets qui fâchent sont volontairement écartés.

L’immigration, divise la France parce que ce sujet est mal appréhendé. Quelles en sont les causes ?

Les migrants, pour nous métropolitains, ce sont les africains dans sa globalité.

Pourquoi sont-ils des migrants ?

Il suffit d’agiter le miroir aux alouettes pour que l’exode se mette en marche, phénomène qui date depuis l’origine de l’humanité, la vie est plus facile chez les autres.

L’histoire nous montre bien que tout ce qui brille nous attire, cela a été le cas en Amérique pour les chercheurs d’or.

C’est aussi le cas au sein de l’UE avec les pays situés à l’est de celle-ci.

L’UE a avec ces derniers les mêmes pratiques que celles que nous avions avec la colonisation des pays africains, à savoir, distribuer des aides financières qui profitaient seulement à ceux qui n’en avaient pas besoin.

Il fallait leur apporter notre savoir-faire et les former pour qu’ils deviennent autonomes et restent dans leurs pays d’origine.

Un sujet capital qui n’est jamais abordé parce que traumatisant, la démographie.

Comment allons-nous nourrir, loger, éduquer ces millions d’enfants qui viennent au monde chaque année ?

Que font les grandes puissances dont l’UE ?

Nous voilà, prêts à recevoir un nouvel élu (e) qui conduira le destin de notre pays.

Si sa politique venait à défaillir, alors, dans cinq années au plus, la nouvelle présidente sera Mme Le PEN.

BAYARD.

LA SAUVE-MAJEURE.

Certains propos de mes articles réveillent les susceptibilités de mes lecteurs et sont considérés comme provocateurs.

Cela est le résultat de mon attachement à la démocratie, à la liberté de penser et de s’exprimer.

Nos grosses têtes pensantes ne savent plus quoi inventer pour saturer les bords de routes de panneaux de signalisation.

J’ai voulu savoir si mes concitoyens étaient attentifs à ces multiples modifications du paysage qui borde nos routes nationales ou départementales.

Les nombreux citoyens que j’ai interrogés me surprennent par leurs réponses.

Rien d’étonnant à cela tant les subtilités sont étonnantes.

La RD 671, encore elle, n’est pas épargnée.

La commune de LA SAUVE devient une particularité.

Les photos qui sont jointes à cet article vous permettront de mieux analyser ces particularités.

Jadis, et maintenant encore, la signalisation d’une agglomération était signalée par le nom de cette bourgade.

La SAUVE par exemple, dernièrement surmontée du numéro de la voie qui la traverse.

Cette signalisation suffisait pour nous informer que cette voie perdait sa priorité depuis ce panneau jusqu’au panneau LA SAUVE barré en travers.

En perdant sa priorité, toutes les voies d’intersection situées à notre droite dans le sens de circulation bénéficiaient de la « priorité à droite »

Ces panneaux d’entrée d’agglomération sont à présent complétés par un panneau de route prioritaire barré. Ce nouveau panneau que mes concitoyens n’avaient pas encore remarqué.

Il est vrai que la multiplication facilite ce type d’erreurs.

Comment réagir à la traversée d’une telle agglomération quand vous arrivez à une intersection avec une voie à droite ?

Le règlement nous impose de laisser le passage au véhicule venant de la droite. En conséquence vous arrêtez votre véhicule pour appliquer la réglementation du code de la route.

Vous constatez alors que le véhicule qui vient à votre droite marque également l’arrêt.

Avec la main vous lui faites signe de passer.

Avec sa main il vous dit non et vous montre le panneau qu’il a devant lui.

Stupéfaction, il s’agit d’un panneau « Stop » ou « Cédez le passage ».

A quoi bon annoncer que nous devons céder le passage, alors que l’autre usager ne peut en profiter ?

Devant ces nombreuses questions que je me pose, j’ai essayé de trouver dans les textes officiels du code de la route « Légifrance. Gouv » une pertinente réponse.

Je vous invite, pour ce faire, à parcourir l’article R 415 et principalement R 415-5, R 415-6, R 415-7 et R 415-8 du code de la route.

Toutes les intersections sur cette RD 671, dans les deux sens de circulation, sont équipées de panneaux « Stop » ou « Cédez le passage ».

Vous n’êtes pas au bout de vos découvertes.

Dans le sens SAUVETERRE de GUYENNE vers CREON, vous rencontrez le panneau d’agglomération accompagné du petit panneau fin de route prioritaire.

Cinquante mètres en aval vous rencontrez un panneau signalant que vous êtes sur une voie principale auquel est adjoint un panneau route prioritaire « grand format ».

Situation cocasse s’il en est.

Donc, à la traversée de cette commune, par la même RD 671, dans un sens vous n’êtes pas prioritaire et dans le sens inverse vous l’êtes.

Qui donc peut m’expliquer les raisons de cette situation ?

De grâce, nous souhaiterions un peu de cohérence dans l’application de nos codes.

Comment peut-on enseigner efficacement ce code de la route à nos jeunes conducteurs ?

Je pense que cette multiplication des panneaux est une source supplémentaire de distraction des conducteurs.

Comment, en cas d’accident, les compagnies d’assurance et les forces de police vont-elles décider objectivement de la responsabilité de chacun ?

Depuis quelques temps, nous voyons un accroissement du nombre de panneaux, je me demande si ce n’est pas pour satisfaire les fabricants de ce type de signalisation.

Je crois que les décideurs de signalisation routière devraient se rapprocher d’autres services techniques de signalisation, une référence en la matière, la SNCF.

Un grand point ?subsiste cependant.

Ces deux nouveaux panneaux de fin de route prioritaire, adjoints à ceux de l’identification de la commune, ont-ils changé quelque chose à l’application du code de la route ?

Non, le CD 671 perdait déjà sa priorité au franchissement des panneaux d’identification, et la signalisation par « Stop » ou « Cédez le passage » étaient eux aussi installés.

Encore des dépenses injustifiées qui pénalisent l’exécution de travaux indispensables pour le maintien en bon état de toutes les voies de circulation.

Ces deux citations ont retenu mon attention.

Il me semble qu’elles reflètent l’état de notre société.

La première pourrait être le reflet de la société en cette période électorale, qui plonge bon nombre de mes concitoyens dans un écran de fumée où personne ne sait plus retrouver la respiration.

La deuxième est souvent le reflet du comportement qui se généralise, où l’égoïsme prend une grande place.

Charles BUKOWSKI écrit :

Le problème avec le monde c’est que les gens intelligents sont pleins de doutes, alors que les imbéciles sont pleins de certitudes.

SCHOPENHAUER écrit :

L’amour des animaux est intimement lié à la bonté de caractère, de telle manière qu’on peut affirmer que celui qui est cruel envers les animaux ne peut être une bonne personne.

Chers lecteurs qu’en pensez-vous ?

Ce n’est pas un truquage, c’est bien réel, elle se trouve depuis plusieurs jours à cet emplacement. Une station -service près de la gendarmerie de CREON.

C’est un véhicule à voir, tant son état est de bonne qualité.

Pour ceux qui connaissent les moyens de fabrication de l’époque et du métier de l’artisan qui a réalisé ce chef d’œuvre, vous serez émerveillé.

Cette charrette est peut-être à vendre parce qu’elle est dans la brocante de ce commerce.

Ce n’est pas un pur-sang de champs de course qui pourrait la tirer.

Bayard

La nature ne cesse de nous surprendre, nous étonner, nous inciter à une attention permanente.

L’hiver s’éloigne, le printemps réveille cette nature que l’on croit endormie.

Je pense qu’elle n’a pas le temps de dormir, elle prépare chaque jour celui qui sera demain.

Les premières fleurs font leur apparition, les arbres fruitiers se parent d’habits étincelants, de couleurs éclatantes, difficiles à reproduire par nos compositions chimiques.

Ces fleurs qu’ils portent, seront remplacées par des fruits qui viendront exciter nos papilles.

Mais pour l’heure, des insectes s’adonnent à la pollinisation, d’autres font la cueillette de ce pollen qui finit dans la ruche, pour fabriquer ce miel parfumé qui adoucira notre gorge irritée par le froid du prochain hiver.

Ces abeilles infatigables, transportent accroché à leurs pattes ce pollen, un poids démesuré par rapport à leur taille.

Ce n’est pas geste facile que de vouloir les photographier. Elles ne cessent de se déplacer d’une fleur à l’autre, seule la surprise peut les placer devant l’objectif.

C’est pour cela que je vous offre ces deux clichés qui immortalisent ces insectes laborieux en risquant leur vie à tout instant.

Leurs pires ennemis, ces frelons « asiatiques », mais également les européens.

Si nous avons la chance d’avoir ce plaisir dans notre jardin, c’est parce que nous n’employons pas d’engrais ou pesticides chimiques et que nous capturons de nombreux frelons.

Nous leur devons bien cela.

Nature, tu seras toujours la plus belle, la plus douce et la plus généreuse, malgré que, parfois tu te déchaînes pour nous rappeler que tu es également la plus forte.

Bayard