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Réunis en assemblée, les maires de France demandent à Monsieur le Président de la République de retirer de son programme le texte qui prévoit la suppression de la Taxe d’habitation pour 80% des ménages.

Mesdames et Messieurs les maires de France, vos propos et vos actes sont en totale incohérence.

Votre attitude envers un Président de la République est, pour ce qui me concerne inadmissible.

Vous connaissiez le Programme de Monsieur Emmanuel MACRON et par conséquent ce projet de suppression de cette taxe.

Malgré cela, vous avez appelé vos concitoyens à voter pour lui majoritairement.

Vos raisons, qu’elles soient réfléchies ou fantaisistes font que vous approuviez son programme, c’est du moins ce vous clamiez haut et fort lors de la campagne pour l’élection Présidentielle.

Priorité à la valeur des programmes disiez-vous.

Vous aviez la possibilité de ne pas lui apporter vos suffrages, il vous suffisait de vous abstenir, ce que vous n’avez pas eu le courage de faire.

Oui, mesdames et messieurs les maires, l’abstention est une véritable façon de s’exprimer.

Cette abstention démontre bien que les citoyens savent ce qui est bon ou mauvais pour notre pays.

Comment pourrions-nous vous faire confiance devant de telles procédures ?

Demander aujourd’hui, le maintien de cette taxe d’habitation, c’est faire endosser à Monsieur le Président son manque de parole envers les citoyens.

Mesdames et messieurs les maires, votre attitude confirme que vous êtes dans l’incapacité de gérer les problèmes de vos communes et notamment la répartition financière qui vous est allouée.

Il y a des choix à faire, à commencer par réduire les engagements financiers non productifs, vérifier les critères pour l’attribution d’aides, réguler la démographie en vous assurant que la construction de logements sociaux est en adéquation avec immigration et les ressources de votre commune.

Nous constatons que dans toutes les communes de la plus petite à la plus grande, des dépenses inutiles nuisent à des travaux d’entretien des structures existantes, que des populations se retrouvent isolées dans nos campagnes, sans moyens de transport, de subsistances, de moyens de communication.

Toute une population qui contribue à l’équilibre entre génération parce que par solidarité, ces personnes du troisième âge contribuent à la scolarisation des petits enfants, à leur subsistance, et par cela à une stabilité fragile de l’absence de révolte.

Oui, mesdames et messieurs les maires, il faut vous adapter à une réduction des dépenses inutiles, oublier votre soucis principal de vouloir plaire en vue d’une probable réélection.

Vous avez fait votre choix en contribuant à l’élection de notre Président, la démocratie nous a donné Monsieur MACRON comme président, je me dois de respecter ce choix, et, je vous invite dans faire de même.

Cette élection présidentielle a mis en lumière une contestation permanente que des journalistes sans talents se plaisent à attiser.

Nul d’entre nous n’est parfait, en conséquence, il nous appartient d’œuvrer pour l’intérêt de tous dans le respect de la légalité.

Que ceux qui ont des responsabilités politiques quittent leurs postes s’ils ne sont pas en accord avec les décisions gouvernementales.

BAYARD

Alerte, consommateurs en danger.

Le commerce et l’industrie dans notre pays sont laissés volontairement libres de pratiquer et d’appliquer des méthodes qui mettent en péril notre économie individuelle et collective de notre nation.

Tous les constructeurs, de tous les domaines, fabriquent et assemblent des pièces dont la durée de vie est de plus en plus courte, c’est cela « l’obsolescence ».

Rappelons-nous, il y a 20 ou 30 ans, tous les produits fabriqués étaient garantis une bonne dizaine d’années, les pannes étaient rares parce que toutes les pièces étaient minutieusement testées et contrôlées.

Actuellement, ces contrôles sont ponctuels, ce qui ouvre la porte à la défectuosité des éléments constitutifs.

Qu’il s’agisse de l’automobile, de l’électroménager, de la téléphonie ou autres, tous pratiquent en toute tranquillité les mêmes méthodes, bénéficiant de la complicité de l’état qui voit là une occasion d’engranger la TVA.

Vous l’aurez remarqué, sur les publicités de la TV, le prix de vente d’une voiture n’est plus mentionné.

On se contente de nous dire que les mensualités sont de « … € », le nombre de mensualités défilent si vite que nous n’avons pas le temps de voir. Ils oublient, encore volontairement, de mentionner le montant de l’apport initial. Le « trompe » l’œil fonctionne car en raisonnant sur les mensualités, ce montant ne nous effraie pas. Ainsi le surendettement va galopant.

Que disent les autorités gouvernementales sur cette pratique ? RIEN.

Si cela est déjà scandaleux, la pratique de la vente de pièces détachées est une arnaque sans qualification.

Un commerce particulièrement scandaleux, c’est celui de l’électroménager.

Les lignes qui suivent en sont une démonstration à laquelle j’ai mise toute mon attention.

Toutes les grandes enseignes ont la même pratique, qu’il s’agisse de Brandt, Vedette, Arthur Martin, Whirpool et bien d’autres, l’obsolescence est généralisée.

Si nous voulons la confirmation à cela, la démonstration est facile.

Interrogeons les sites internet de ces sociétés ou indépendantes, certaines de ces pièces que vous recherchez sont en rupture de stock. Pourquoi ?

Cette rupture de stock confirme l’obsolescence, la défectuosité des pièces fabriquées est bien avérée.

A qui profite cette arnaque, surtout pas à nous consommateurs.

Partons à présent à la recherche d’une pièce de gazinière.

Cette pièce, un thermostat pour four électrique est en rupture de stock sur plusieurs sites.

Le plus grave, si vous entrez sur le site du fabriquant, il vous demande les références de votre appareil électroménager, ce qui est une évidence, mais insiste sur le fait qu’il me faut entrer en contact avec un spécialiste qui vient constater que c’est bien cette pièce qui est défectueuse.

Vous l’avez bien compris, ils cherchent à fidéliser leur clientèle, et surtout à nous influencer pour nous faire croire que notre appareil ne mérite pas une réparation mais l’achat d’un nouvel appareil.

J’ai refusé en prétextant que mes recherches, très simples pour celui qui a quelques bonnes notions de dépannage, étaient fiables et que je n’avais pas les moyens de débourser des frais de déplacement et de main d’œuvre, pour m’entendre dire que mon appareil ne méritait pas la réparation, alors qu’il est en excellent état général.

Conséquence, acquisition d’un nouvel appareil surfacturé par les frais de déplacement d’un « spécialiste »

J’’ai poussé mais investigations, j’ai cherché à savoir combien coûterait le même appareil acheté en pièces détachées. Là c’est « l’ARNAQUE » à échelle surdimensionnée.

J’ai donc choisi sur leur catalogue de pièces détachées certaines pièces qui composent cet appareil électroménager.

Ces pièces, choisies au hasard, représentent au grand mot moins du tiers des pièces constitutives de cet appareil.

Le montant de cet achat s’élève à l’étonnante somme de 527,52 €, soit près de 75% de la valeur d’un nouvel appareil de type équivalent.

Voilà comment fonctionne notre économie, comment les ménages s’engouffrent dans l’endettement par obligation.

Qui peut se dispenser d’un appareil de cuisson ?

Voilà ce à quoi nous sommes confrontés quotidiennement.

Tout acte de la vie a des conséquences. Ces conséquences aiguisent nos comportements, nous avons l’impression d’être seuls contre tous parce que la solidarité est inhibée par l’égoïsme et l’hypocrisie.

Chacun d’entre nous a des connaissances dans un ou plusieurs domaines, seul nous ne savons ni pouvons lutter, mais en unissant ces savoirs nous pouvons pour le moins contrarier ces pratiques obscènes.

La solidarité est le maillon indispensable à une société, elle est un des éléments des valeurs essentielles que nous portons.

Quoi de plus enrichissant que de donner ce savoir que nous avons reçu. Par ce don, nous remboursons cette dette, et enrichissons notre esprit.

Comment peut-on contribuer à l’amélioration des conditions des plus démunis, tout simplement en donnant un peu de notre savoir et de son temps, en refusant de jeter, en restaurant ce qui peut encore servir, en refusant le gaspillage.

Nous avons les réseaux sociaux pour dénoncer les abus perpétrés par ces grands groupes qui réalisent de très gros profits en profitant de notre crédulité.

C’est le cas pour ma part.

Je viens à l’instant de répondre à une de ces structures qui me demandait si j’étais satisfait de leur service commercial. Je crois qu’ils ne seront pas déçus du « voyage » comme il se dit communément.

Alors, pour le bien de tous, jouons au colibri, apportons notre quotte part pour le bien de tous.

BAYARD

Je ne peux m’empêcher de publier ce document surtout en cette période électorale ou les valeurs essentielles sont bafouées.

Cette lettre écrite pour parler de sa mère, résume les comportements humains, patriotes et souvent désintéressés.

Les épisodes de cette campagne électorale sont propices à de telles révélations. Combien d’actes de cette envergure ont pu voir le jour durant cette période de guerre que certains encore ne peuvent oublier.

Aussi, je pense qu’il y a encore aujourd’hui, y compris dans la jeunesse, des hommes et des femmes qui sont capables de tels comportements.

Je remercie l’auteur de ce courrier, qui, interpellera les esprits vagabonds.

L’OEIL DE MA MÈRE SERA AVEC MOI DANS L’ISOLOIR

Ma mère avait ancrée en elle les valeurs que son père Abel, le maçon rouge lui avait inculquées. Elle a quitté ce monde il y a un peu plus d’un an avec ses convictions jamais reniées. Toute sa vie elle l’avait passée à Sadirac à vivre au rythme de cette République qui lui avait tout donné à travers l’école publique tenue par ce hussard noir meurtri par la Grande guerre, celle de 14-18 qu’était Georges Vasseur, l’enfant de Liévin ! Elle lui a ensuite restitué ce qu’elle lui avait donné en la servant plus de 40 ans nuit et jour et sept jours sur sept, dans la Mairie où nous habitions. Je n’ose même pas penser à ce qu’elle me dirait en abordant ce second tour des présidentielles comme toutes ces personnes ne plus de 90 ans ayant traversé les périodes de peste brune agissante. Elle qui était tellement intransigeante avec les idées de gauche; elle, qui m’avait fait ôter dans sa chambre de l’EHPAD de Créon la photo où je dialoguais quelques instants avec François Hollande au prétexte qu’elle considérait qu’il avait trahi sa confiance n’aurait pas hésité uns seul instant dans son vote de dimanche.

Ma mère ayant épousé juste après la libération un fils d’immigré italien dans un mariage mixte dont on n’imagine pas les exigences et les affres, avait en elle des souvenirs sur ce pétainisme ordinaire ayant conduit au racisme banalisé. Elle savait au plus profond d’elle-même que la bête immonde restait très présente et sommeillait dans bien des esprits… toujours prêts à se réveiller à travers un bulletin de vote. Elle les connaissait toutes et tous et le jour des élections elle était capable de dire qui avait voté Tixier-Vignancourt ou Le Pen… et qui avait voté Jacques Duclos ou Georges Marchais. Elle votait socialiste sans état d’âme et sans aucune retenue et elle n’avait aucune illusion sur le courage des gens !

Elle m’aurait simplement rappelé, avant dimanche, les images qui la hantaient et qu’elle avaient quelque part en réserve dans sa mémoire intacte jusqu’au dernier moment. Celles par exemple du jour où un gros propriétaire de sécherie de morues Béglaise propriétaire d’un domaine sadiracais était venu exiger des passe-droits auprès de Georges Vasseur l’instituteur secrétaire de Mairie pendant la période noire des restrictions imposées par l’Occupation. Terrorisée elle assista à cette algarade musclée. Son « maître » ne céda pas d’un pouce sur les principes ! Il éconduit avec vigueur le notable pétainiste affirmé que son origine auvergnate autorisa cependant à lancer « Ne vous inquiétez pas !Je m’en souviendrai je vais écrire à mon cousin Laval. Il va s’occuper de vous… ! » L’instituteur l’accompagna sans ménagement dehors. Sa femme se mit à pleurer et ma mère eut la peur de sa vie ! Cette menace était indélébile… comme l’illustration parfaite de ce que les fascistes portaient en eux sous des apparences se voulant respectables. L’hystérie menaçante de Le Pen, formule supposée édulcorée, dans u débat transformée en diarrhée verbale insultante aurait résonné dans son esprit. Elle aurait réveillé ses souvenirs du « bon » peuple de Sadirac considérant que le malheur promis au « autres » prenait une toute autre signification quand justement le pouvoir est donné par des Français aux tenants d’un idéologie niant la fraternité.

Elle savait qu’elle n’avait vraiment jamais disparu de cette France brune ordinaire, silencieuse, indifférente à tout autre considération que son intérêt corporatiste ou personnel ! Elle l’avait retrouvée quand mon père se faisait traiter de macaroni dans les réunions publiques où il allait apporter la contradiction ou quand les commentaires des élus d’alors (est-ce bien différent maintenant?) ne faisant pas de politique, portaient sur les Polacs, les Portos ou les Arabes employés et exploités des grandes propriétés sadiracaises où on avait rangé les idées extrémistes à la cave ! Elle haïssait ces Pétainistes de la première heure devenus des Gaullistes de la dernière heure au nom du principe chrétien que les derniers pouvaient devenir, grâce à leur dévotion subite, les premiers !

Ma mère conservait aussi la cicatrice vive du départ à la gare de Sadirac de la famille juive Schultz, réfugiée dans une maison perdue et que la Gendarmerie de l’État Français avait retrouvée, recensée et expédiée vers un terrible sort qu’elle ignorait. « Je revois toujours leurs deux petites filles blondes de trois et quatre ans. Elles étaient belles comme des poupées de porcelaine… Je n’ai jamais oublié leur silhouette sur le quai de la gare. Elles sont là… Elles viennent vers moi… et moi je ne sais pas qu’elles partent vers la mort…Elles avaient la naïveté et la confiance des enfants dans des adultes qui eux savaient peut-être pas mais qui exécutaient l’ignoble ! Je me suis jamais pardonnée d’avoir taper leur fiche de recensement. Je les ai gardées après la guerre et je n’ai jamais voulu les détruire… » Si elle était là et si elle avait entendu les intonations, le vocabulaire, les allégations, les absurdités populistes de l’égérie du FN elle m’aurait inévitablement remémoré ces faits.

Elle aimait par-dessus tout que ses fils, ses petites-filles, son petit-fils ne renoncent jamais à se battre contre ce qu’elle avait vécu comme les germes de la désagrégation de cette République qui coulait dans ses veines. Demandez donc aux nonagénaires qui le peuvent encore ce que recouvrent les mots dits ou les non-dits de ce pur produit du fascisme décomplexé. En ce qui me concerne, ne serait-ce que pour ne pas trahir ma mère, ne pas la décevoir, ne pas la ramener sur ce passé dont elle ne peut plus reparler, je voterai sans hésitation contre Marine Le Pen. Maman je t’aime encore pour m’avoir appris que souvent le courage est parfois simplement de refuser le pire . « Ne te prends pas pour un justicier pur, inflexible que tu ne seras jamais. Fais ton devoir : c’est déjà pas mal ! » . Je l’entends !

Jean Marie DARMIAN

La France, nation :

• de l’irresponsabilité

• de l’assistance incontrôlée

• de la rupture sociale commanditée

• de la solidarité forcée

• subordonnée.

  Il est grand temps que nous prenions conscience de la situation catastrophique de notre pays.

  Pourquoi, jusqu’à ce jour, notre pays a pu résister à la crise qui perdure ?

  Combien de temps encore les citoyens puiseront ils sur leurs économies faites au prix de nombreux sacrifices ?

  Contrairement aux services de l’état, les travailleurs, force vive de notre nation, ont su anticiper sur le futur incertain et garantir un revenu constant les mettant hors de l’abîme.

  Tous les gouvernements depuis plus de vingt ans n’ont cessé de stigmatiser ces fourmis et les entrainer à se débarrasser de ce maigre pactole.

  Voilà où réside l’irresponsabilité. Qui subviendrai aujourd’hui à notre jeunesse ou simplement à nous-même ?

  L’état n’est pas en mesure d’assurer à tous, les moyens de vivre dans la dignité.

  Ces maigres économies, garantissent un équilibre fragile de la paix sociale, mais pour combien de temps encore.

  Notre génération, solidaire par nos valeurs essentielles, finance les études de nos petits-enfants parce que leurs parents sont dans l’impossibilité de faire face à de telles situations.

  Ces aides s’élèvent à plusieurs millions d’euros, peut-être des milliards…

  Irresponsabilité encore quand on sait que cette fracture sociale qui existe malgré cela, entraine le malaise des banlieues, mais aussi de ces laborieux qui n’arrivent pas à joindre les deux bouts.

  Un viol, mais cela qui voudra l’entendre ?

  L’assistance incontrôlée, elle aussi objet de la rupture sociale, parce qu’injuste envers ceux qui travaillent pour un salaire de misère et qui n’ont droit à rien.

  Injuste quand des familles entières vivent dans des taudis parce que l’on a permis des augmentations injustifiées des loyers, que l’on a négligé la construction de logements à loyers modérés.

  Injuste encore quand des familles ont accès gratuit aux soins et que le travailleur et sa famille souffrent de maladies chroniques et se rendent quand même au travail.

  Voilà ce qu’est notre chère patrie.

  La rupture sociale commanditée, parce que nous sommes sous le dictat d’une UE qui impose sans se soucier des problèmes propres à chaque état.

  Cette rupture est le fruit de la précipitation qui a préféré la protection de certains états aux dépends des autres, écartant toute mise en place d’une politique sociale commune.

  La France écrasée par une centralisation d’un pouvoir de l’UE est incapable d’imposer à ses entreprises une politique de partage des ressources produites par le travail.

  Encore un élément qui jette de l’huile sur ce feu dormant dont l’embrassement lèvera mes concitoyens les uns contre les autres. Ce jour-là, notre belle France ne sera plus qu’une ombre sur la planète.

  Fini alors cette France qui brillait, elle ne sera plus que cette étoile qui scintille sans fournir d’éclat.

  La solidarité forcée, c’est bien de cela qu’il s’agit. Les prélèvements sur nos salaires ou pensions de retraites ne cessent d’augmenter.

  Le citoyen français est plus généreux qu’il ne se dit.

  La France ne subit pas encore le chaos qui lui est destiné parce qu’il y a cette multitudes d’associations qui œuvrent pour minimiser la souffrance et apporter une lueur d’espoir.

  Vous êtes un de ceux-là.

  La solidarité est bien là mais elle ne peut seule effacer la douleur d’un désarroi.

  Nous sommes en droit de se demander à quoi tous nos efforts peuvent bien servir quand l’état ne se sent pas concerné

  Pouvons-nous espérer un changement, j’en doute quand je mesure l’ampleur du chantier.

  Subordonnée, c’est certain.

  La constitution de l’UE est telle que les dispositions qu’elle comporte empêchent toute initiative. Toute infraction à ses directives nous relègue au rang de dissident condamnable.

  Qui a pu penser si malhonnêtement que tous les états seraient en accord total, alors que chaque nation a des impératifs personnels ?

  Nous sommes dans une période électorale difficile, qui ridiculise notre patrie, affaibli la valeur morale, accentue la subordination.

  Que pourra améliorer celui ou celle qui va prendre le destin de la France en main ?

  Dans cette lutte des classes, des idées religieuses, de la pluralité des races et des cultures, comment régler ces différents problèmes quand l’autorité de l’état est au plus bas.

  Voilà comment je vois la situation présente, je crains le futur pour nous mais principalement pour les générations futures.

  Que penseront-elles de nous ?

  BAYARD

Si vous appréciez la convivialité, alors choisissez les chambres d’hôtes La Rocaille à CHATELAILLON.

Dès que vous franchissez la porte, vous êtes subjugué par le chaleureux accueil qui nous est réservé.

Tout ici est minutieusement concocté pour que notre séjour soit inoubliable.

Vous découvrirez un paradis sur terre, les chambres douillettes, décorées avec raffinement, le calme qui règne vous offre la quiétude et un sommeil réparateur.

En ouvrant la fenêtre, vous pourrez admirer un parc soigneusement arboré et fleuri.

Une piscine complète les décors, un barbecue à notre disposition permet de déguster les grillades que vous souhaitez déguster.

Ceci est une mise « en bouche », une surprise vous attend pour le petit déjeuner.

Madame SUZANNE, notre hôte ne sait que faire pour nous satisfaire.

La plupart des produits que vous consommerez sont des produits frais locaux, préparés avec amour et perfectionnement. Des conseils culinaires vous sont même prodigués.

Je ne vous donne pas les détails, vous avez déjà l’eau à la bouche. Si votre appétit est démesuré, vous serez cependant certainement rassasiés.

Cet éden, c’est ainsi que je le qualifie n’a pas fini de vous étonner. Situé à 800 m de la magnifique plage et de son front de mer, vous évitera, si vous le souhaitez les déplacements en voiture. Le trajet pédestre souvent ombragé, vous laissera le temps de vous imprégner de l’habitat typiquement régional et des nombreux espaces verts qui les accompagnent.

La restauration est nombreuse et de bonne qualité.

Notre séjour, que nous avons trouvé trop court, nous a apporté cette sérénité tant recherchée quand notre organisme arrive à saturation.

Nous reviendrons avec enthousiasme pour nous ressourcer et partager avec l’hôte de ce lieu la douceur d’un accueil exceptionnel.