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ELYSEE. Le GPS fait fausse route.

Le savoir- faire de notre Président : il s’agenouille pour honorer les prières du patronat, rampe devant le parlement européen, fait du charme aux plus puissants de ce monde et surtout néglige les problèmes des citoyens français.

Il craint pour sa sécurité, créé des forces spéciales  de police qui s’apparentent aux milices que nous avons connues.

La transparence devait être le fer de lance de ce quinquennat. L’opacité s’accentue quotidiennement, l’intimidation factice prend le rôle principal. 

En cinq années, notre patrie ne sera plus qu’un satellite égaré dans un univers déshumanisé.

Le DRH étatique est à l’image de ceux de nos entreprises.

Toute personne ou industrie qui vient s’installer dans notre pays, est une base d’espionnage.

Les gouvernements français, en favorisant cela fait acte d’intelligence avec les ennemis.

Cinq années de braderie, et toutes nos valeurs intellectuelles auront quitté notre pays.

La CROATIE, alors que j’ignorais tout de son histoire, j’ai souhaité qu’elle soit championne du monde. Je sais aujourd’hui qu’elle le méritait.

Parce qu’elle connaît les valeurs essentielles qui mènent aux bons résultats, elle vient de donner une profonde leçon de morale au monde entier.

Sa croissance est certainement la meilleure de l’UE, au niveau mondial elle est donc un modèle que nous envions.

Cette coupe du monde nous dévoile une CROATIE constructive par des économies spectaculaires et le bon sens de l’équilibre social. Un bon exemple dont devrait s’inspirer notre président.

Le 07 mai 2017, la France entre dans une nouvelle guerre. A cette date, une minorité a déposé une bombe nucléaire à l’Elysée.

L’anéantissement du monde social français est programmé.

Le monde de la finance, ennemi du peuple social, manipule dangereusement cet engin explosif.

Alors que la France coule sous les dépenses, d’autres pays, montrent l’exemple de la modestie et des économies.

Bayard.

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UE. Les extrémistes gagnent du terrain.

Il serait temps de se rendre compte de la présence de cette dangereuse réalité.

A quoi servent donc nos manuels d’histoire.

Nombreux sont les membres de la nouvelle UE qui comptent parmi les dirigeants des extrémistes activement dangereux.

Sont trop nombreux, ceux qui l’on déjà oublié ou ne l’on jamais su.

Parmi ceux-là, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne, pour ceux qui nous cernent géographiquement.

Quand un arbre meurt, il reste toujours des racines immortelles qui, dans l’ombre, continuent leur activité.

Inconsciemment ou par négligences, nos dirigeants en fonctions apportent les sédiments stimulateurs.

La France par son Président n’est pas en reste pour ce faire.

Les allusions faites lors de la cérémonie à cette grande Dame, Simone VEIL, témoignent d’une inquiétude grandissante qui met en péril sa crédibilité.

Un déguisement de propagande pour la future campagne des élections européennes.

Je doute fort que cette illustre Dame aurait apprécié de son vivant.

Son combat pour le rapprochement des peuples (entre autres) avait une tout autre signification parce qu’elle était consciente de la présence de ces redoutables racines.

Notre Président est tout son contraire, son comportement nous entraine vers une totale déshumanisation, et, par cela réactive la force d’extrémistes de tous bords.

Telle qu’elle est, la création de l’UE est un total fiasco, un paradis pour les financiers protégés.

Après l’entrée de partis extrémistes dans les gouvernements, allemand, italien et autrichien et la disparition programmée de l’Angleterre, la France s’oriente vers une cohabitation avec le FN.

Les réformes lancées au pas de charge, amplifient les inégalités devenues insoutenables et entrainent la population vers des « valeurs refuge ».

Que deviendra notre patrie avec une prochaine cohabitation ?

Une communauté sans totale coalition est vouée à l’échec. C’est un nouveau retour à la case départ.

L’UE a l’étrange ressemblance à une propriété aux parcelles hétéroclites.

Si nous, citoyens n’apportons pas notre bienveillance, notre descendance vivra son extermination.

Puissent les mois à venir nous donner la force et le courage, non pas de revenir en arrière, mais de construire un monde équitable donc meilleur.

Bayard.

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Le chemin de fer a, de tout temps, soulevé une frénétique nostalgie.

L’enfant est fasciné par les modèles réduits, des réseaux minutieusement créés pour nourrir une vocation.

L’histoire de ce mode de locomotion a passionné des générations, certaines familles sont le berceau de nombreux cheminots, une passion presque héréditaire.

Certainement le moyen de se déplacer avec une sécurité totale.

Aujourd’hui, certains mettent en cause ce transport, détruisent certainement l’un des joyaux de notre nation.

La culture cheminote est particulière, cela certains ne veulent pas l’admettre.

La suppression de ligne dites secondaires, tout comme certaines de nos routes, ont pourtant un rôle important dans le maillage des relations d’un point à un autre.

Les images qui illustrent cet article en sont un témoignage.

Dans le département 65 de nombreuses de ces lignes ont été abandonnées. Notamment TARBES à BAGNERES de BIGORRE, ligne électrifiée au jour de sa mise hors service.

Pourtant, aujourd’hui encore des vestiges sont en place, ce qui démontre que lors de la prise de la décision de la fermée, certains espéraient une réouverture.

Il s’agissait très certainement de promesses « électorales » comme nous avons l’habitude d’entendre.

Curieusement, alors que, pour améliorer la sécurité routière, on veut abaisser la vitesse sur ces routes secondaires, on voit sur ces dernières la signalisation de passage à niveau (PN), panneaux qui accaparent inutilement l’attention des conducteurs. Incohérence encore entre les différents services publics d’un pays qui n’a pas les moyens financiers et humains.

Des amoureux de chemins de fer, il en existe encore, pour le bonheur de tous et principalement des enfants.

A l’ancienne gare de MONTGAILLARD, une pâtisserie renommée s’est installée, les produits VEDERE.

Pour salon de dégustation, ils ont choisi un magnifique wagon, et pour compléter les décors, il y a également une locomotive qui n’est plus en circulation sur notre réseau.

Une excellente initiative que je suis heureux de saluer, moi qi n’était pas destiné à rejoindre cette grande famille de cheminots.

Bayard.

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Comme moi, vous avez pu voir sur les écrans de télé, le déplacement de notre Président de la République, en visite privée à BAGNERES DE BIGORRE.

D’après mes informations, il venait en vacances scolaires chez sa grand-mère qui résidait dans une des communes voisines. J’ai appris, cela est une coïncidence, que tous deux venaient rendre visite à une famille domiciliée dans mon village natal. Un de mes amis me dit l’avoir rencontré chez cette dernière.

Comme il se dit communément, « le monde est petit ».

Monsieur MACRON, et sa grand-mère avait pour habitude de fréquenter une pâtisserie de BAGNERES dont je vous offre le cliché.

Sans le savoir, au vu de mon âge, j’ai peut-être croisé sa grand-mère.

Cependant, ce qui est certain, je ne l’aurais pas croisée dans cette pâtisserie, parce que mes moyens financiers ne permettaient pas de déguster ces gâteries.

On voit bien que son attitude à la tête du pays est cultivée de longue date.

Si vous avez la chance de connaître les tarifs pratiqués, vous reviendrez sur vos pas pour vérifier l’information enregistrée.

Des demeures comme cet établissement, la ville en regorge, le thermalisme en fait un lieu de prédilection pour les « notables ».

Ces derniers, médecins, avocats, notaires, enseignants …, créé une classe de société qui fréquente le casino et des lieux privés inaccessibles à la classe des « Cu terreux ».

 Ces « notables » n’étaient pas si bien notés que l’on peut l’imaginer.

Il serait particulièrement intéressant de connaître l’identité de tous ces notables en mal de sensations en tous genres.

Des noms pourraient y figurer à la grande stupéfaction de tous ces concitoyens qui accordaient leurs respectueuses attentions, alors qu’ils ne représentaient pas le dessus du panier.

Cette ignorance n’est toutefois pas totale si l’on en croit les potins.

 Un jour peut-être de nouvelles révélations pourraient nous surprendre.

Cela n’a pas changé à ce jour.

Cette agréable petite ville, en cherchant à rivaliser avec les métropoles a subi de désagréables transformations.

Sur la place des COUSTOUS, il y avait de nombreux commerces.

 La population a vieilli et ces commerces sont aujourd’hui remplacés par des banques.

Ceci n’est pas pour déplaire à notre président « des riches ».

Parfois on recherche des justifications pour comprendre le comportement de certains de nos confrères, on trouve ici peut-être les premiers éléments qui ont fait de Mr MACRON ce qu’il représente aujourd’hui aux yeux des français.

Que vous soyez considéré comme « notable » ou pas, si vous avez la chance d’aller flâner dans ce berceau thermal, vous apprécierez la beauté du vallon de SALUT, à défaut de partager un thé et ses pâtisseries dans cet établissement si accueillant pour notre Président.

BAYARD

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LA Transhumance dans les PYRENEES.

Malgré un mauvais printemps pluvieux en plaine et tardivement neigeux en altitude, la transhumance s’est déroulée sans trop de retard.

Quand j’étais enfant, c’était une fête pastorale que nous ne voulions pas manquer. Cette frénésie sommeille au fond de notre être et ne demande qu’à ressurgir.

C’est bien cela qui s’est produit au premier son de cloches portées par certains animaux.

Il existe, dans le monde animal, un protocole qui consiste à réserver à l’un d’entre eux le port d’une cloche.

La bête qui a cet honneur doit avoir des aptitudes bien définies, parce qu’elle permet de situer la position de son troupeau dans ce vaste domaine d’estives. Cet animal a pour qualité principale un caractère sociable que le reste du troupeau respecte soigneusement. Elle a pour obligation de repérer un élément en difficulté, et de lui porter assistance si possible.

Mais, plus important encore, c’est elle qui prend la tête du cortège.

Elle tient le milieu de la chaussée, suivi par le reste du troupeau qui avance avec une grande discipline pour éviter toute bousculade qui pourrait avoir de graves conséquences.

Cette caravane emprunte tout type de voie de circulation ou se mélangent véhicules motorisés, piétons, groupes de randonneurs, tout cela doit cohabiter tout au long du parcours.

Rares sont les problèmes.

Dans quelques heures, après de nombreux kilomètres épuisants, animaux et encadrement humains pourront profiter d’un magnifique paysage et d’un air vivifiant et pur.

Parmi ces humains, malgré la nuit encore présente, des enfants depuis l’âge de cinq ou six ans accompagnent à pied ce bruyant troupeau, protégé par des riverains penchés à leurs fenêtres avec de chaleureux encouragements.

Pour ces accompagnateurs, c’est la fête. Les tons divers de toutes ces cloches fournissent un vacarme assourdissant qui raisonne entre ces deux flancs montagneux.

Cette vallée de CAMPAN se divise en deux autres principales donnant respectivement accès aux pentes herbues du col du TOURMALET et du col d’ASPIN.

Avant de commencer l’ascension de ce dernier, nous traversons le site touristique de PAYOLLE, magnifique lieu pour passer une très agréable journée.

En ce point déjà, le déplacement même à pied est difficile parce que déjà occupé par de nombreux animaux en estives.

Les vaches, les chevaux, les ânes, les brebis se partagent cet espace avec les étals des commerces.

Tantôt un cheval vient quémander une caresse, une vache tend sa tête pour une douce tape entre les cornes, quant aux brebis et leurs agneaux, elles repèrent les poches plastiques pensant y trouver quelques grains de sel.

Tout comme pour l’être humain, il y a des excentriques, telle la robe de ce docile et attachant cheval.

Ici, il faut s’armer de patience pour se déplacer, ce domaine appartient au monde animal.

Le cortège que nous avons rencontré dans la vallée est à présent rendu sur le territoire des estives au sommet du col d’ASPIN.

Après l’effort le réconfort aussi bien pour le bétail que pour les accompagnateurs.

Un petit festin est organisé, tout est prévu de longue date, le réconfort restaurant est à la mesure de l’effort consenti.

Les plus heureux semblent être les enfants. Emerveillés par tout cet environnement de verdure, l’image du col   d’ASPIN fuyant sur l’autre versant vers ARREAU par une route aux multiples lacets.

A cet instant, on imagine tous les efforts consentis pour cette liaison entre les deux vallées.

La nature en ces lieux est généreuse, dans quelques jours on y trouvera des fraises des bois et de myrtilles, les authentiques sans OGM.

Je ne saurai terminer cet article, sans y joindre l’image de ces deux animaux captivants par besoin de tendresse.

BAYARD

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