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24 septembre 2017 7 24 /09 /septembre /2017 20:12

 

Voilà ce que pourront dire nos petits-enfants plus tard.

Le dimanche 07 mai 2017, l’ouragan « Macron » s’abattait sur la France.

Un nouveau Président de la République était élu.

Cet ouragan, est sûrement le plus meurtrier que notre planète aura connu.

Si les typhons ont malheureusement fait deux ou trois centaines de victimes, celui qui s’abat sur notre pays en fera plusieurs millions.

Vous remarquerez que tous ces dérangements climatiques naissent  et meurent très rapidement, mais laissent derrière eux des situations catastrophiques.

Voilà ce représente notre nouveau Président.

Ce n’est point ce qu’il veut prouver par son comportement, plus qu’inquiétant.

Le recours aux ordonnances confirme son incertitude à faire passer les réformes.

La précipitation n’est jamais une bonne méthode, les jours à venir nous le prouveront peut-être.

Aujourd’hui, les élections sénatoriales lui donnent une force d’opposition par une poussée des LR.

Ce résultat est paradoxal parce que si Mr Macron est aujourd’hui le Président de la République, ce n’est point parce qu’il avait plus de compétences que d’autres, mais parce que le LR Mr Fillon lui a donné la chance sur un plateau en or massif.

Alors cherchons l’erreur.

Il faudrait peut-être s’inquiéter sur son état de santé, le comportement de monarque pour la signature des ordonnances dénote bien des troubles inquiétants.

Ce qui lui importe, ce n’est pas le redressement de la France mais son égo, pouvoir dire « voilà, j’ai réussi là où les autres ont échoué ».

Mais qu’aurait-il donc réussi ?

Le mécontentement gronde, les manifestations se multiplient. Les routiers menacent de bloquer la circulation des produits pétroliers, une paralysie de l’économie ne peut être un atout de la relance.

Dans son obstination serait-il à même de dresser l’armée ou les CRS pour s’opposer à la grève ?

Les patrons de ces compagnies de transport oseront ils licencier plusieurs de leurs employés sans se risquer une aggravation du blocage.

Certains spécialistes politiques ont souvent fait allusion à la politique du Général de Gaulle, il s’en est suivi mai 1968, et la démission du Président.

Seule l’irresponsabilité du Président peut provoquer l’affrontement entre français, donc une guerre civile tant redoutée.

Si cela devait se produire, il est certain que des députés favorables au Président prendraient de la distance et provoquerait l’effritement de la majorité.

L’EU,  à travers l’Allemagne et ses élections présentes risque de voir s’amenuiser son importance face aux puissances mondiales. L’entrée « d’extrémistes » risque de freiner l’ardeur de la chancelière, et par conséquence la force que notre Président tente de créer avec cette dernière.

L’EU est certainement surprise par cette percée.

Vers quoi s’oriente maintenant l’Allemagne ?

Qu’elle sera dorénavant l’attitude de notre Président ?

Où vont donc notre France et l’EU ?

Notre président « Ouragan » nous a rassurés, les dégâts provoqués par cette nature déchainée seront résorbés par moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

Que deviendrait donc nos pauvres concitoyens de St Barthélémy ou St Martin si Mr Macron n’était pas leur Président.

Une annonce insensée de reconstruction, pourquoi ?

Alors que les spécialistes prévoient que ce type de situation se présentera plus fréquemment et de puissance décuplée, est-il raisonnable de prendre de telles décisions.

Pardonnez-moi j’avais oublié qu’il s’agit de « Jupiter ».

Les citoyens français sont-ils considérés de manière égale en France et dans ces îles ?

On peut penser que non, si c’était le cas, pourquoi, n’a-t-on pas autorisé la reconstruction à la Faute/ mer en Vendée ?

Révolutionner sans réfléchir nous mènera à la catastrophe.

Avons-nous fait le mauvais choix, pour ma part, c’est une erreur monumentale.

Bayard.

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18 septembre 2017 1 18 /09 /septembre /2017 19:43

Voici déjà les arbres revêtus de nouvelles parures. Mais aussi, l'apparition de fleurs qui ne viennent qu'au printemps. Que doit-on en penser? Que la nature a perdu sa raison, rien d'étonnant à cela.

 

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14 septembre 2017 4 14 /09 /septembre /2017 16:56

Négligence, incompétence, complaisance … Superlatifs ?

Ceci résume la situation générale de notre pays, avec une note particulière pour le monde rural, et une note particulière pour notre lieu de vie.

Il est bien regrettable que les citoyens ne veuillent pas exprimer tout haut ce qu’ils chuchotent à voix basse.

C’est ainsi que l’on a laissé s’installer ce climat désastreux et dangereux.

Les insignifiantes communes du monde rural, dont la moyenne de la population est de moins de 200 habitants, n’ont pas un sens de leur responsabilité.

C’est ainsi que les travaux effectués sur leur territoire ne sont pas surveillés faute de connaissances.

Ce laissé faire profite en priorité aux entreprises mandatées pour l’exécution de travaux. Elles ont pris l’habitude de s’imposer au détriment des conseils municipaux, et par voie de conséquences sur tous les citoyens.

La gravité à cela, c’est que certaines malfaçons ou travaux inachevés mettent en danger la population.

C’est ce que je veux démontrer à l’aide du cliché.

La ligne aérienne d’alimentation électrique multi filaire du quartier REDON a été remplacée par un câble autoporté.

Ceci a entrainé le remplacement de supports béton obsolètes. Ces derniers supportaient également la partie aérienne des lignes de télécommunication et l’appareillage, mais également l’éclairage public en ce point.

Si la partie ligne d’alimentation électrique est réalisée et mise en service avec succès, il n’en est pas de même pour le reste.

Comme vous pouvez le constater sur ce cliché l’encrage de la ligne aérienne téléphonique reste dangereusement accrochée par des moyens inappropriés. Le risque de chute est  certain, les conséquences pourraient être dramatiques pour la population.

Quant à l’éclairage public, il ne fonctionne plus depuis la réalisation des travaux.

Ceci aussi, est très grave parce que des personnes du secteur sont vulnérables par leur situation physique.

Je sais que certains lecteurs n’apprécient pas ce type de propos, ce que je comprends très bien, mais je préfère cela à des remords de n’avoir rien dit.

Si seulement cela pouvait réveiller les consciences, il y aurait plus de prise en compte des responsabilités et moins de laxisme.

Bayard.

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10 septembre 2017 7 10 /09 /septembre /2017 19:29

Il est fermement recommandé de consommer cinq fruits et légumes par jour.

Trop nombreux sont ceux qui voudrait bien le faire, mais voilà, l’inégalité (encore elle) en a décidé autrement. Ces produits sont chers s’ils sont reconnus sans traitements phytosanitaires donc financièrement inabordables

Je suis devant un cas de conscience qui me met mal à l’aise. Nous avons choisi l’exil à la campagne pour diverses raisons, nous avons aménagé notre parcelle de terrain en créant un petit potager et également un petit verger. Cela sur un terrain en friches. Un peu de courage et de détermination nous permettent de profiter aujourd’hui de quelques résultats.

L’objet de ma détresse est ce « Triste Constat » des tas de fruits que je mets au rebus.

Nous avons la possibilité de donner ces produits, exempts de ces traitements chimiques dont nous ne pouvons mesurer les conséquences sur nos organismes.

Nous ne pouvons pas nous targuer de l’appellation BIO, mais d’une culture raisonnée dont certains se plaisent à clamer.

Pourquoi, cette donation n’est pas possible, par respect pour nos semblables, je ne peux pas garantir que ces fruits ne sont pas « véreux ».

Ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas qu’on vous fit.

Nous en donnons cependant à ceux qui nous disent qu’ils les acceptent ainsi.

Voilà pourquoi, cette photo résume ce « Triste Constat ».

Suis-je  le seul responsable de ce gâchis ?

Respecter les personnes et les biens serait-ce répréhensible ?

Nos fruits sont consommables, nous les utilisons après avoir éliminé les parasites qui les occupent.

Pourquoi donc ces derniers préfèrent-ils nos produits à ce point ?

J’ai heureusement connu une nature sans traitements chimiques, parce que mes parents étaient intransigeants sur la qualité des produits, la productivité n’était pas la priorité, la qualité oui.

J’ai vu mon oncle refuser de vendre son lait à de grandes laiteries parce que déjà à l’époque ils introduisaient un produit pour en prolonger la conservation. Il préféra le donner à la portée de petits cochons qui venait de naître.

Il fit ainsi une bonne opération parce que le jour du marché, cette portée de petits cochons était retenue avant même l’heure légale des transactions. Le nouveau propriétaire récompensa largement la décision de mon oncle.

Mais voilà, la « mise au pas » du collecteur de lait porta ses fruits.

Tous les petits producteurs du village produisait du lait de bonne qualité, tous suivirent la position de mon oncle, le collecteur reprit sa collecte dans les conditions sanitaires précédentes, et fut même contraint à majorer le prix du litre de lait.

Ceci ne doit pas occulter, la recherche des responsabilités évoquée ci-dessus.

Jadis nos vergers, notamment ceux plantés de pommiers ne recevaient aucun des traitements phytosanitaires.

Quelques fruits, mais rarement, étaient occupés par ces parasites.

Pourquoi cala ?

A l’époque, nos campagnes étaient peuplées de multiples oiseaux destructeurs de tous ces porteurs de parasites. Pas besoin pour eux de déterminer à quelle époque de l’année ils devaient intervenir.

Pourquoi ? La nature a été bien conçue, les oiseaux interviennent en fonction de la transformation de la végétation pour s’approprier une nourriture copieuse substantielle de la mère couveuse et des petits oisillons.

Aujourd’hui, tout cet équilibre est rompu par la prolifération de ces traitements qui détruisent ces oiseaux dont l’équilibre des forces, mais plus grave encore la valeur nutritive des aliments et la santé des consommateurs.

Je crois ne pas avoir une quelconque responsabilité dans cette affaire, sauf celle d’être peut-être trop sincère.

Bayard

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9 septembre 2017 6 09 /09 /septembre /2017 18:37
Il y a toujours un rayon de soleil pour faire renaître l'espoir

 

Qui d’entre nous n’est pas bouleversé par ce désastre qui touche nos compatriotes et tous ceux qui vivent là-bas, quelle qu’en soit la nationalité.

La nature nous montre encore que c’est elle qui gère les phénomènes sur cette planète. Cette force indomptable, ce déchainement des éléments, prévisibles mais à courte échéance, ne permettent pas d’assurer la protection des personnes et des biens.

Dans cette contrée de la planète ces phénomènes sont récurrents. On peut se demander pourquoi ces habitants risquent volontairement leur vie.

Peut-on pour quelques années de paradis risquer de vivre l’enfer pour le mieux, mais surtout perdre la vie.

Comme chaque fois dans de telles circonstances, on nous demande d’être généreux.

Nous le sommes tous par la force des choses. Les assurances emmagasinent des sommes colossales avec nos contrats par la rubrique « Catastrophes naturelles », sommes qui paraissent dérisoires mais qui leur permettent de fructifier.

Que dire de toutes ces associations, plus d’une trentaine pour ce qui nous concerne.

Nous sommes contactés par tous les moyens mis à leur disposition, courriers accompagnés de petits cadeaux, téléphoniquement, par internet.

Tout cela a un coup qui ne va pas vers les sinistrés ou nécessiteux.

Mais comment sont rémunérés tous ces emplois ? Encore une réduction importante du montant du soutien à ceux qui en ont besoin.

Tout cela mériterait plus de transparence.

Quand le gouvernement décide d’accorder des aides aux sinistrés, ce sont nos taxes et impôts qui sont utilisés, encore une obligation forcée d’aides envers ces plus démunis.

Nous ne pouvons rien contrôler et cela décourage nos donateurs.

Généreux, je crois que les citoyens français le sont.

Il n’y a pas que ces secours que nous finançons, il y a toutes ces recherches médicales de plus en plus nombreuses parce que de nouveaux virus sont quotidiennement rencontrés.

Alors oui la générosité serait mieux acceptée si nous pouvions en vérifier les applications.

A tous nos compatriotes, à tous ceux qui pour des raisons multiples ne veulent pas ou ne peuvent pas quitter ce paradis démoniaque, nous adressons nos encouragements et nos sincères pensées.

BAYARD

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4 septembre 2017 1 04 /09 /septembre /2017 16:35

Qui voudra bien me donner l'identité de cette créature captivante ?

Elle a des yeux verts magnifiques, de longues et fines antennes .La partie postérieure de son corps se termine par une partie plate qui pourrait être un dard.

Sa présence est peut-être due au changement climatique et aux fortes chaleurs de cet été.

Merci.

 

Une meilleure photo. Elle était mieux disposée pour la prise de vue.

Une meilleure photo. Elle était mieux disposée pour la prise de vue.

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29 août 2017 2 29 /08 /août /2017 19:49

 

Nous ne savons pas tous parler l’italien. Pourquoi ne pas dire le « MERCAT » ?

Savez-vous en quelle langue ont dit cela ? Tous les français ne savent pas parler l’occitan, c’est bien normal.

Qu’à cela ne tienne, ce qui me dérange c’est le sujet qui utilise ce terme.

Il me semblait que l’esclavage n’existait plus en France et dans les pays membres de l’UE. Je dois être en retard dans les décrets de lois.

Il s’agit d’êtres humains que les clubs vendent leurs joueurs, des sommes qui font froid dans le dos.

On exploite des hommes qui ont la chance d’avoir le don de contrôler un ballon qui rapporte gros à ces trafiquants de races humaines.

La plupart de ces joueurs n’ont que cet atout, car la majorité n’a aucune instruction. Ce n’est pas de leur faute, ils ne peuvent pas être à peaufiner leurs gestes et éduquer leur cerveau.

Ils le pourraient cependant parce qu’ils ont les mêmes chances que nous.

On achète ou on vend comme si nous étions sur un « marché » à bestiaux avec une portée de petits cochons ou lapins.

L’humain n’a plus sa place dans ce milieu d’argent plus ou moins sale. On a tôt fait d’oublier tous les scandales, de nombreux entraîneurs de clubs ont été condamnés, cela ne les a pas empêchés de revenir dans les affaires pour parfaire ce qu’ils avaient temporairement laissé à d’autres complices.

Je crains que cela ne s’amplifie avec les nouvelles dispositions envisagées par le gouvernement.

On pourra échanger son personnel sans avis des intéressés, il n’y a plus d’humanité.

L’esclavage moderne a de beaux jours devant lui si les citoyens continuent à tourner la tête pour ne pas voir la grogne monter.

Je trouve décevant de savoir que des gens se rendent dans les stades en payant très cher les places, pour assister à des matchs qui jadis étaient gratuits ou à prix modeste.

Ils critiquent les conditions de leur vie quotidienne en prétextant que le coût de l’indispensable est exagérément cher, mais mettent en danger l’équilibre de leur budget mensuel.

Voilà encore une incohérence qui fait bondir.

Toutes les grandes villes ont investi dans des stades, alors qu’aujourd’hui, elles critiquent les rentrées scolaires dont ils ne peuvent pas financer les équipements indispensables.

Même les plus petites communes ont emboîté le pas sur un domaine semblable. Elles organisent des fêtes locales d’intérêts déficitaires, il faut le plus grandiose, peu importe si les enfants manquent de salles de classe normalement équipée.

Le culte du paraître brille au grand jour.

Pauvre humanité, que fais-tu dans ce monde d’inconscients ?

Bayard.

 

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25 août 2017 5 25 /08 /août /2017 16:21

Il me parait évident que j’écrive cet article, il met en lumière des pratiques inqualifiables, facilités par la crédulité enfantine des consommateurs.

Je suis surpris par le nombre de mes concitoyens consommateurs qui, jettent le ticket de caisse sans le contrôler. Huit fois sur dix au moins, mon épouse se rend à l’accueil pour signaler des erreurs.

Les personnes en charge du traitement de ces remarques, ont toute une panoplie d’arguments pour justifier ces erreurs, dont la plupart sont volontaires.

Au-delà de cela, ce petit bout de papier a une valeur capitale.

Il justifie que ce que vous avez dans votre caddie a bien été payé, et que cela est devenu votre propriété.

Mais encore, il peut vous servir d’argument de présence en ce lieu si par ailleurs vous avez un problème avec les forces de police ou la justice. Il possède la date et l’heure de vos achats. Vous comprendrez donc qu’il peut vous innocenter d’un méfait que vous n’auriez pas commis.

Ça, c’est un des effets positifs.

Tous ces types de commerces font usage de subterfuges élaborés avec finesse pour détourner l’attention des consommateurs.

Certains n’hésitent pas à mettre en danger la sécurité du personnel employé et des clients.

C’est le cas de CARREFOUR market de CREON.

Cette structure commercialise principalement des denrées alimentaires, mais également du vestimentaire, un peu de bricolage, des produits d’entretien …

Il se trouve que, pratiquement quotidiennement, à son ouverture à 9 heures, les travées sont impraticables, parce que la mise en place des produits n’est pas encore terminée.

Beaucoup de gens de la clientèle sont des personnes âgées qui ont des difficultés à se déplacer dans ce dédale.

C’est une irresponsabilité insensée de la direction, parce que toute alerte pour raison d’incendie ou autre met en péril la vie de nombreuses personnes qui ne pourront  pas emprunter ces espaces de déplacement.

Il est fréquent de trouver en rayons des denrées dont la date de consommation est dépassée depuis plusieurs jours.

Comment pourrait-il en être autrement, quand les conditions des employés sont mauvaises.

Nous avons constaté, en écoutant les commentaires de la clientèle, que, nombreux se sont dirigés vers des structures plus petites mais irréprochables. Dans ces dernières, si quelque chose venait à déplaire, un responsable est disponible pour écouter nos doléances.

Tous ceux qui sont un peu attentifs auront remarqué que la clientèle a diminué pour d’autres raisons, et qu’en conséquence, le chiffre d’affaire a chuté vertigineusement.

Cela a entrainé pour ces grandes surfaces une augmentation des stocks de produits périssables. Il a fallu donc trouver une solution pour écouler ce surplus qui devenait dangereux financièrement.

C’est ainsi que l’on vous propose par exemple un troisième pour l’achat de deux, tout en vous démontrant

 l’économie que vous croyez faire.

Que constatez-vous en arrivant à votre domicile ?

Un de vos produits a dépassé la date de consommation ou doit être consommé aujourd’hui si vous ne voulez pas le jeter à la poubelle.

Mais aujourd’hui, vous aviez prévu autre chose pour le repas, parce que dans votre frigidaire il y a un produit à consommer impérativement si vous ne voulez pas le jeter.

C’est là que vous commencez à comprendre que l’on vous a dirigé non point vers des économies mais vers le gaspillage.

Mais vous n’êtes pas au bout de vos surprises.

 Généralement, quand on se rend dans ce type de commerces, nous sommes là pour de multiples achats. Donc, ce qui est à prendre en considération c’est le montant global de vos achats.

Pourquoi ???

Simple démonstration que chacun d’entre nous peut comprendre, parce qu’il s’agit de mathématiques de base.

Sur ces produits  proposés, groupés, vous avez peut-être économisé 2 euros, mais, le commerçant a la facile possibilité de récupérer, le plus simplement du monde,  le montant de cette réduction..

Leurs statistiques permettent de cibler les produits de grande consommation.

 Donc il choisit dix produits de ces produits et en majore chacun d’eux de vingt centimes pour récupérer la somme que vous croyez avoir économisée. Il peut même s’assurer d’un gain plus important.

Vous pensez peut-être que je vous raconte des histoires. Non c’est la réalité parce que nous avons répertorié certains produits que nous consommons en quantité par rapport à d’autres et nous avons constaté une progression constante des augmentations.

Malheureusement, par notre crédulité nous cautionnons ces pratiques, notre responsabilité est engagée, qu’il s’agisse des dangers que présente la mise en place des denrées dans les rayons, ou le principe de commercialisation.

Il y a un autre aspect de cette commercialisation, tout aussi important, sinon plus, le conditionnement des emballages et la publicité minutieusement élaborée.

Les photographies présentées dans cet article en sont un témoignage.

L’exemple qui suit est très évocateur.

Il s’agit d’un produit de consommation maximale, qui d’entre nous ne consomme pas d’œufs ?

Nous sommes tellement habitués à leur conditionnement, que nous ne prêtons plus attention à celui-ci.

Avec la complicité des producteurs, la marque LOUE, conditionne maintenant ses œufs Bio en boîtes de dix (10) et non plus de douze(12) comme auparavant.

Dans le précédent conditionnement, la quantité était mentionnée en gros caractères sur le dessus de la boîte, visible au premier coup d’œil.

Le malheureux défaut des habitudes est favorable à ces « requins » du commerce et de la finance.

La mésaventure, a d’énormes conséquences. La ménagère a programmé un plat pour midi qui nécessite une douzaine d’œufs, elle prend sa boîte confiante la met dans son caddie, règle son achat et rentre chez elle heureuse de pouvoir préparer son plat très apprécié de ses convives.

Mais voilà, il n’y a que dix (10) œufs dans son emballage.

Que faire ? Retourner dans la grande surface pour acheter les deux œufs qui  manquent ?

C’est trop tard pour ce faire, mais, si cette possibilité se présentait, c’est son porte-monnaie qui va en prendre un coup. Consommation de carburant, mais encore, comment compléter sa douzaine sans, pour le moins acheter une boîte de six (6) œufs.

Nous savons tous que si nous achetons un même produit en conditionnement plus petit, le prix est plus élevé.

Donc, ces grandes surfaces ont réussi leur tour de magie. Pourquoi ?

S’il nous faut réellement douze (12) œufs nous sommes obligés d’acheter soit deux boîtes de douze, et nous en aurons huit de trop dont nous n’avons pas l’utilité immédiate, soit nous achetons deux boîtes de six (6) qui nous font débourser davantage qu’avec une boîte de douze (12).

Le tour est joué, le commerçant a réussi son coup de maître.

Voyez-vous ce qui m’inquiète, c’est que ce producteur, réside dans un département qui a beaucoup fait parler de lui durant la campagne présidentielle, y aurait-il une contamination de la population, des citoyens enclins à la « tromperie » ?

Pour ce qui nous concerne, nous ne voulons pas être complices, c’est pour cela que je dénonce ces comportements à la limite de la légalité.

Demain, nous serons ou vous serez peut-être victimes d’un accident, dans cette structure commerciale, croyez-moi, nos indemnisations, s’il y en a, ne viendront pas compenser le préjudice subi.

Comme pour vos produits de consommation, à vous de choisir, SUBIR ou REAGIR.

BAYARD.

 

 

 

Bon appétit. Si vous n'aimez pas cela, faut pas en dégoûter les autres.
Bon appétit. Si vous n'aimez pas cela, faut pas en dégoûter les autres.
Bon appétit. Si vous n'aimez pas cela, faut pas en dégoûter les autres.

Bon appétit. Si vous n'aimez pas cela, faut pas en dégoûter les autres.

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24 août 2017 4 24 /08 /août /2017 15:09

Je ne sais si comme moi vous ignoriez cette poésie, mais je crois qu'il est bon que je la porte à votre connaissance.

Quatre siècles plus tard, elle est plus que jamais d'actualité.

Je croyais que notre Président était un homme de lettres, maintenant j'en doute, parce qu'il préconise de recevoir davantage de migrants, alors que nous sommes incapables de loger et nourrir ceux qui sont nés sur notre territoire.

J'espère que mes concitoyens vont ouvrir leurs yeux pour mesurer l'ampleur des dégâts.

Je vous saurais gré de diffuser cet article le plus largement possible.

Il faut faire entendre notre voix.

 

 

 Étonnant ce que cette fable vieille de quatre siècles est aujourd’hui d’actualité, en voyant ce que des migrants font aux pays hospitaliers !   Lisez  attentivement cette fable, peu connue  !!

 Elle doit  dater de 1671.

Un sacré  visionnaire, ce Jean de la Fontaine                                                        

 LE CHIEN ET LES CHACALS  !!! (JAMAIS APPRISE A L' ECOLE)

  

 Du coquin que l'on choie, il faut  craindre les tours  

 Et ne  point espérer de caresse en  retour

 Pour l'avoir ignoré,  maints nigauds en pâtirent.

 C'est ce dont je  désire, lecteur, t'entretenir.

 Après dix ans  et plus d'homériques  batailles,

 De méchants pugilats, d'incessantes  chamailles,

Un chien était bien aise d'avoir signé la  paix

 Avec son voisin, chacal fort  éclopé

Qui n'avait plus  qu'un œil, chassieux de  surcroît,

Et dont l'odeur, partout,  de loin le précédait. Voulant sceller  l'événement Et le célébrer  dignement,

 Le chien se donna grande  peine

 Pour se montrer doux et  amène.

 Il pria le galeux chez lui, 

 Le fit  entrer, referma l'huis,

 L'assit dans un  moelleux velours

 Et lui tint ce pieux  discours :

 « Or donc, Seigneur Chacal, vous  êtes ici chez vous !

 Profitez, dégustez,  sachez combien je voue

 D'amour à la  concorde nouvelle entre nous ! Hélas, que j’ai  de torts envers vous et les  vôtres,

Et comme je voudrais que le passé fût  autre !

Reprenez de ce rôt, goûtez à tous les  mets,

 Ne laissez un iota de ce que vous  aimez ! »

 L'interpellé eut  très à cœur 

 D'obéir à tant de  candeur. 

 La gueule entière à son  affaire,

 Il fit de chaque plat  désert

 Cependant que son hôte  affable

 Se bornait à garnir la  table.

 Puis, tout d'humilité et la  mine contrite,

 En parfait comédien,  en fieffée chattemite,

 Il dit : «Mais,  j'y songe,  mon cher, 

 Nous voici  faisant bonne chère

 Quand je sais là,  dehors, ma pauvrette famille :

 Mes épouses, mes  fils, mes neveux et mes filles,

 Mes oncles et  mes tantes que ronge la  disette, 

 Toute ma  parentèle tant nue que  maigrelette. 

 Allons-nous  les laisser jeûner  jusqu'au matin ?  »

 "Certes non ! »  répliqua, prodigue, le matin,

 Qui se leva,  ouvrit, et devant qui passèrent

Quarante et un  chacals parmi les moins  sincères.

Sans tarder cliquetèrent les  prestes mandibules 

 Des grands  et des menus, même des  minuscules.

 Ils avaient tant de  crocs, de rage et d'appétit,

 Ils mangèrent  si bien que petit à petit

 Les vivres s'étrécirent comme  peau de chagrin Jusqu'à ce qu'à la fin il  n'en restât  plus rien. 

Ce que  voyant, l'ingrat  bondit :

 « Ah ça, compère, je  vous prédis

 Que si point ne nous  nourrissez

 Et tout affamés nous  laissez

Tandis que vous allez  repu.

 La trêve entre nous est rompue !»

 Ayant alors, quoi qu'il eût  dit,

 Retrouvé forces et  furie,

 Il se jeta sur son  mécène, 

 Et en une  attaque soudaine 

 Il lui  récura la toison, 

Aidé de  toute sa maison. 

Puis, le  voyant à demi-mort,

De chez lui il le  bouta hors. 

 Et  l'infortuné  crie encore  «La peste  soit de mon cœur  d'or !  » 

 Retenez la  leçon, peuples trop accueillants  : 

 A la gent famélique, point ne devez promettre.

 Ces êtres arriérés,  assassins et  pillards 

 Marchent  en rangs serrés sous le vert  étendard.

Vous en invitez un,  l'emplissez  d'ortolans, 

Et  c'est  jusqu'à vos  clefs qu'il vous  faut lui remettre.

                                               

Jean de LA  FONTAINE

 

 

 

 

 

 

 

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22 août 2017 2 22 /08 /août /2017 16:02

La revue « Que Choisir » n° 561 Bis de septembre 2017, porte à notre connaissance une information qui met à mal le tri sélectif.

La photocopie ne peut vous apporter une lecture satisfaisante, en conséquence, je retranscris les points forts de cet article.

Quand le gouvernement de l’époque a mis en service l’application de ce type de tri, j’avais édité plusieurs articles qui mettaient en doute la valeur de ces dispositions.

Nombreux ont été à me critiquer, et ont avalé les bonnes paroles.

J’avais évoqué notamment la raison qui mettait en doute la qualité de ce tri, qui n’était qu’un pré-tri.

Je disais qu’il ne pouvait être fait que par du personnel formé à la reconnaissance des produits à trier.

Cette revue par son article me donne raison.

Pourquoi, cela finirait ainsi ?

Une seule et unique raison, le résultat financier bénéfique aux actionnaires et cautionné par les services de l’état.

Une constante qui ne changera jamais, est, que le tri sélectif ne peut modifier le volume ou le poids des déchets produits.

On a tout fait pour tenter de modifier ces deux constantes, diminution de l’épaisseur des récipients en matière plastique, qu’il s’agisse de bouteilles d’eau ou autres. Ces efforts sont réduits à néant aujourd’hui par ces nouvelles bouteilles pour le lait.

Peu importe qu’elles viennent perturber le recyclage des autres plastiques, les fournisseurs de lait y trouvent leur bénéfice.

Ce n’est pas parce que le prix de revient a été réduit, que le consommateur a vu le prix de la bouteille de lait diminuer.

La Revue « Que Choisir »écrit ceci :

A l’ère du tri sélectif et du recyclage, c’est un retour en arrière qu’on croyait impossible. Pourtant, le lait se vend de plus en plus en bouteilles non recyclables.

Toute la filière du tri est perturbée.

Bouteilles de lait ; BOYCOTTEZ le PET OPAQUE.

Le PET, on pourrait immédiatement penser qu’il faut le boycotter parce qu’il sent mauvais…

La revue ajoute à son article le paragraphe suivant :

BEAUCOUP DE COMPLAISANCE.

Bien que ce PET devienne une catastrophe pour toute la filière du tri, Eco-Emballages n’y trouve rien à redire.

L’éco-organisme, qui a pour mission d’augmenter le taux de recyclage des emballages, fait en l’occurrence l’inverse.

Son cahier des charges prévoit un malus pour les emballages perturbateurs du tri mais il ne l’applique pas au PET opaque. Et les cotisations pour ce plastique, plus léger, sont moindres que celles du PEHD recyclable !

Il laisse également les bouteilles en PET opaque non recyclable afficher qu’elles le sont, sans même que le ministère de l’Ecologie et l’Ademe (Agence de l’Environnement et de la maîtrise de l’énergie), qui contrôlent la filière, interviennent.

Il aura fallu les actions lancées par Zéro Waste France pour que le ministre rappelle Eco-Emballages à ses obligations, seulement début février.

En attendant une hypothétique interdiction du PET opaque, « QUE CHOISIR » appelle au boycott des bouteilles de lait non recyclables.

En pratique :

Cette revue apporte une information complémentaire.

Comment reconnaître le PET OPAQUE ?

Les distributeurs de lait qui font des économies avec le PET opaque ne reviendront pas au PEHD sans la pression des consommateurs. Heureusement, il est facile d’identifier le PET opaque au rayon pour l’éviter.

Si la bouteille de lait attire plus votre œil qu’une autre, elle est en PET opaque.

Il est en effet plus lisse, plus fin et plus brillant que le PEHD.

En cas de doute, retournez la bouteille :

Si vous voyez le chiffre 2(dans un triangle ou pas) ou la mention HDPE ou PEHD, pas de souci, c’est du PEHD recyclable.

S’il n’y a rien, si vous voyez le chiffre 1 ou si l’étiquette de la bouteille vante ses « 15% de plastique en moins », c’est du PET opaque non recyclable.

La plupart des grandes marques de lait, Candia et Lactel en tête, utilisent encore des bouteilles en PEHD.

En revanche, plusieurs marques de la grande distribution sont passées, partiellement ou en totalité, au PET opaque.

C’est le cas de Carrefour, Casino, Intermarché, Monoprix, U.

Certaines enseignes de la grande distribution osent même vendre leur lait BIO, en principe meilleur pour l’environnement, dans des bouteilles non recyclables en PET opaque. Un comble.

 

Je me pose la question de savoir, combien de mes concitoyens se comportent en personnes responsables ?

Combien d’entre nous sont réellement au courant de ces pratiques de fraudeurs ?

Peut-on encore faire confiance à ces organismes à la solde de l’état ?

Comment, nos dirigeants politiques, peuvent s’offenser du nombre croissant des citoyens qui boudent les urnes.

De telles révélations sont la confirmation d’un laxisme grandissant.

Alors oui, il faut boycotter ces grandes surfaces avec autant d’énergie que les urnes.

Bayard.

 

 

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