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6 mai 2017 6 06 /05 /mai /2017 19:44

 

La France, nation :

  • de l’irresponsabilité

  • de l’assistance incontrôlée

  • de la rupture sociale commanditée

  • de la solidarité forcée

  • subordonnée.

    Il est grand temps que nous prenions conscience de la situation catastrophique de notre pays.

    Pourquoi, jusqu’à ce jour, notre pays a pu résister à la crise qui perdure ?

    Combien de temps encore les citoyens puiseront ils sur leurs économies faites au prix de nombreux sacrifices ?

    Contrairement aux services de l’état, les travailleurs, force vive de notre nation, ont su anticiper sur le futur incertain et garantir un revenu constant les mettant hors de l’abîme.

    Tous les gouvernements depuis plus de vingt ans n’ont cessé de stigmatiser ces fourmis et les entrainer à se débarrasser de ce maigre pactole.

    Voilà où réside l’irresponsabilité. Qui subviendrai aujourd’hui à notre jeunesse ou simplement à nous-même ?

    L’état n’est pas en mesure d’assurer à tous, les moyens de vivre dans la dignité.

    Ces maigres économies, garantissent un équilibre fragile de la paix sociale, mais pour combien de temps encore.

    Notre génération, solidaire par nos valeurs essentielles, finance les études de nos petits-enfants parce que leurs parents sont dans l’impossibilité de faire face à de telles situations.

    Ces aides s’élèvent à plusieurs millions d’euros, peut-être des milliards…

    Irresponsabilité encore quand on sait que cette fracture sociale qui existe malgré cela, entraine le malaise des banlieues, mais aussi de ces laborieux qui n’arrivent pas à joindre les deux bouts.

    Un viol, mais cela qui voudra l’entendre ?

    L’assistance incontrôlée, elle aussi objet de la rupture sociale, parce qu’injuste envers ceux qui travaillent pour un salaire de misère et qui n’ont droit à rien.

    Injuste quand des familles entières vivent dans des taudis parce que l’on a permis des augmentations injustifiées des loyers, que l’on a négligé la construction de logements à loyers modérés.

    Injuste encore quand des familles ont accès gratuit aux soins et que le travailleur et sa famille souffrent de maladies chroniques et se rendent quand même au travail.

    Voilà ce qu’est notre chère patrie.

    La rupture sociale commanditée, parce que nous sommes sous le dictat d’une UE qui impose sans se soucier des problèmes propres à chaque état.

    Cette rupture est le fruit de la précipitation qui a préféré la protection de certains états aux dépends des autres, écartant toute mise en place d’une politique sociale commune.

    La France écrasée par une centralisation d’un pouvoir de l’UE est incapable d’imposer à ses entreprises une politique de partage des ressources produites par le travail.

    Encore un élément qui jette de l’huile sur ce feu dormant dont l’embrassement lèvera mes concitoyens les uns contre les autres. Ce jour-là, notre belle France ne sera plus qu’une ombre sur la planète.

    Fini alors cette France qui brillait, elle ne sera plus que cette étoile qui scintille sans fournir d’éclat.

    La solidarité forcée, c’est bien de cela qu’il s’agit. Les prélèvements sur nos salaires ou pensions de retraites ne cessent d’augmenter.

    Le citoyen français est plus généreux qu’il ne se dit.

    La France ne subit pas encore le chaos qui lui est destiné parce qu’il y a cette multitudes d’associations qui œuvrent pour minimiser la souffrance et apporter une lueur d’espoir.

    Vous êtes un de ceux-là.

    La solidarité est bien là mais elle ne peut seule effacer la douleur d’un désarroi.

    Nous sommes en droit de se demander à quoi tous nos efforts peuvent bien servir quand l’état ne se sent pas concerné

    Pouvons-nous espérer un changement, j’en doute quand je mesure l’ampleur du chantier.

    Subordonnée, c’est certain.

    La constitution de l’UE est telle que les dispositions qu’elle comporte empêchent toute initiative. Toute infraction à ses directives nous relègue au rang de dissident condamnable.

    Qui a pu penser si malhonnêtement que tous les états seraient en accord total, alors que chaque nation a des impératifs personnels ?

    Nous sommes dans une période électorale difficile, qui ridiculise notre patrie, affaibli la valeur morale, accentue la subordination.

    Que pourra améliorer celui ou celle qui va prendre le destin de la France en main ?

    Dans cette lutte des classes, des idées religieuses, de la pluralité des races et des cultures, comment régler ces différents problèmes quand l’autorité de l’état est au plus bas.

    Voilà comment je vois la situation présente, je crains le futur pour nous mais principalement pour les générations futures.

    Que penseront-elles de nous ?

    BAYARD

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