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Les citoyens viennent de choisir pour cinq ans un nouveau Président de la République.

Le voici devant sa feuille blanche pour écrire l’histoire de la France de ce nouveau quinquennat.

Il serait prétentieux de ma part de vous dire aujourd’hui qu’il sera un bon Président.

Qu’est-ce donc un bon Président ?

Je dirais simplement qu’il a les aptitudes indispensables pour réhabiliter la France si la conjoncture internationale ne continue pas à se dégrader.

Cette tâche est incommensurable, pour la réduire il faudra le concours sans faille de tous ses collaborateurs et bien au-delà encore. Je pense notamment à tous ceux et celles qui durant cette campagne n’ont cessé de clamer leur patriotisme. Il serait souhaitable que leurs paroles se concrétisent par des actes.

Nous sommes encore et pour longtemps dans une crise impitoyable, une guerre idéologique ouvrière et financière.

Il faut sans tarder renoncer à ces querelles tribales que mènent les femmes et les hommes politiques.

Les élections primaires, étape sélective, ont permis à Mr HOLLANDE d’être retenu pour conduire la campagne jusqu’au résultat que nous connaissons.

Il est bien conscient des difficultés à surmonter, il sait également qu’il doit continuer à être l’homme du rassemblement. Il a démontré ses compétences en la matière.

Il sait également qu’il serait utopique de créer un retournement total, action incompatible et immature qui mettrait en péril l’idée du rassemblement.

Il faut donc trouver les paroles et les moyens de réduire les inégalités injustes qui fragilisent l’équilibre de notre société.

Dans un souci de justice dont il a souvent martelé ses discours, il a pour cela les qualités humaines pour ce faire.

Il saura également faire entendre la voix de la France au-delà des frontières de l’Europe mais également au sein de cette dernière.

Il aura certainement pour cela l’appui de ces pays traités comme des vassaux par cette coalition Franco-Allemande.

La Grèce, et les prémices de mouvements sociaux en Allemagne démontrent bien que le mécontentement se généralise.

Pour la résolution de ce problème, sa faculté à rassembler sera un atout majeur.

Par des consultations répétées des acteurs sociaux, il saura redonner à ces partenaires une certaine légitimité.

Nul ne peut parler de fraternité s’il n’a pas la volonté de prendre en considération les problèmes dans leur globalité.

Il saura également déléguer et confier à son premier ministre les tâches qui lui incombent et lui donner les moyens de les mettre en œuvre.

Quant aux citoyens que nous sommes, il nous faudra (du moins pour ceux qui ne l’ont déjà fait) revoir nos coutumes de vie sociales et financières.

Une particulière attention pour ce qui concerne nos achats, veiller à consommer européen et mieux encore français. Acheter chinois par exemple c’est conforter nos entreprises délocalisées à nous inonder de produits de mauvaise qualité que nous payons proportionnellement aussi cher que les productions françaises de notre territoire.

Par ailleurs avons-nous le droit d’encourager cette puissance qui ne respecte pas les droits de l’homme ?

La jeunesse et ses attentes, voilà un sujet crucial, victime d’un oubli collectif égoïste, force incontrôlable en sommeil parce que déconnectée de la réalité.

Notre environnement artificiellement magnétisé tend vers une saturation irréversible.

Nos petites têtes brunes ou blondes influencées par ces champs magnétiques en subissent la rémanence qui les surexcite, les survolte, entrainant ainsi des comportements désordonnés et inquiétants.

Cela n’a pas échappé à notre Président qui a promis de porter à ce problème une particulière attention.

Nous comprenons que notre participation d’adultes est primordiale et complémentaire.

Un général seul ne peut gagner les batailles si les soldats désertent, c’est trop souvent l’attitude des citoyens.

Monsieur le Président vous avez donc rendez-vous en terre inconnue (admirable émission de Frédéric LOPEZ), il vous appartient donc de mettre fin à la désertification industrielle pour que notre belle France redevienne le symbole de la réussite sociale dans tous les domaines.

Cette belle et surprenante photographie est tirée du livre Portraits de Chiens dont les auteurs sont Mr François-Xavier ALLONNEAU et Mr Serge SIMON, éditions Sud-Ouest 2007.

Nous avons quelque chose en nous du cynophile, et ce livre ne peut que développer ce comportement.

Cette photographie est accompagnée de ce petit texte : Le regard du border collie est des plus vifs, on le dit volontiers hypnotique. Cette photo d’un chien au travail n’en-est-elle pas la preuve ?

Débat, à chacun son style, celui-ci est fascinant, mais des similitudes existent bien.

Voici donc deux animaux aussi attachants l’un comme l’autre, mais qui ne s’expriment pas avec le même langage, l’un bêle et l’autre aboie.

Pourtant ils se comprennent et se respectent, ce qui n’est pas toujours le cas chez les humains.

Ici leurs regards sont plus éloquents que leurs dialectes.

Je ne connais pas les circonstances qui conduisent ces deux animaux à cette posture, mais leur différent est important.

Je constate que la brebis porte une cloche, généralement c’est une distinction que le berger accorde à un sujet pourvu d’un fort caractère, d’une grande lucidité et d’une certaine bravoure.

Les animaux comme les humains ont un rôle à jouer au sein de leurs communautés respectives. Je peux penser que dans cette posture, la brebis fait part de son état de mère attentionnée et protectrice pour son agneau égaré.

Le chien joue le rôle du policier qui fait appliquer les ordres donnés par son maître à savoir, maintenir groupés tous les pensionnaires sur un espace bien délimité.

Le chien n’a rien de menaçant et la brebis comprendra rapidement que son agneau n’est pas en danger. Elle regagnera paisiblement le troupeau avec son petit aventureux.

Ainsi se résolvent souvent les problèmes chez les animaux, sans paroles injurieuses, sans gestes déplacés, sans armes et sans blessures morales ou physiques.

CD 671. AMENAGEMENT du TERRITOIRE.                                    

Développement  Durable, Environnement, Ecologie, Citoyenneté Participative, Réduction des Déficits, Contrôle des Dépenses etc… voilà le refrain quotidien.         

Des travaux pharaoniens sont entrepris sur le CD 671 entre LA SAUVE et le carrefour avec le CD11, en vue de l’amélioration de la fluidité de la circulation sur cet axe.

Décongestionner les axes routiers qui contournent BORDEAUX  est le principal objectif.

L’engorgement quotidien de ces derniers est lourd de conséquences, concentration de la pollution atmosphérique, alourdissement du coût des déplacements et des transports, aggravation du nombre des accidents…

Cette réalisation, comme bien d’autres mérite une parfaite cohérence dans le choix des décisions.

Personnellement, je constate (et je ne suis pas le seul) que ce n’est pas le cas. Pourquoi ?

Les réflexions faites au plus haut niveau donnent comme l’un des objectifs prioritaires la sécurité des véhicules en déplacement, tout en améliorant la fluidité par la suppression de sections à vitesse limitée, d’obstacles à la traversée des agglomérations, par la création de contournements quand ces obstacles posent des problèmes majeurs.

Comment concilier ces derniers, quand par ailleurs il faut protéger ces communes de la désertification ?

Pour ce projet, je considère que l’aménagement du territoire n’a pas bénéficié de l’attention qu’il méritait.

La commune de La SAUVE mérite une particulière attention en raison de son patrimoine culturel.

Un point noir ou tache indélébile handicape ce parcours.

Cette situation avait attiré l’attention depuis for longtemps. Un panneau de signalisation installé en drapeau au-dessus de la chaussée, complété par un feu clignotant orange indique que la route principale tourne à droite.

Cette installation est judicieuse mais inefficace.

Voilà plusieurs années que le feu ne s’éclaire pas. Sa visibilité est impossible depuis le poste de conduite d’un véhicule de tourisme parce que la déclivité sur les 150 m qui le précèdent est trop importante et que l’attention du conducteur est captée par les obstacles au sol (stationnement, passages pour piétons, trottoirs inutilisables, sorties des commerces).

Pour ces motifs, je déclare que la concertation n’a pas été l’intérêt principal.

Pour en être le témoin, fréquemment j’ai constaté que :

     Des automobilistes franchissent ce point dangereux sans précautions parce qu’ils ignorent la direction de la voie principale, s’engagent sur la voie en face, s’arrêtent et recule sans aucune visibilité.

     Le croisement de deux longs véhicules est impossible, il s’ensuit un blocage de la circulation parce que ces deux véhicules ne peuvent plus manœuvrer, gênés par les véhicules qui s’entassent derrière eux.

Le maintien de cette situation ne valorise pas les résultats espérés.

Notons au passage que l’habitation implantée à l’angle côté droit de la chaussée a récemment fait l’objet de mutation de propriétaire. Il est donc inconcevable qu’il ne soit pas fait usage du droit de préemption.

Itinéraire de détournement, son aménagement aurait du faire l’objet de la priorité dans les travaux connexes et s’exécuter en amont des travaux principaux du CD 671.

Ce n’a pas été le cas et c’est regrettable pour les raisons qui suivent :

-         la largeur de la chaussée sur ce parcours n’est pas adaptée à l’accroissement prévisible de la circulation d’une part, et à la circulation de véhicules longs et lourds.

-         Le tracé notamment au droit de l’ancienne maison de garde n’offre aucune visibilité.

A elles seules, ces deux carences entraînent une dégradation irréversible des accotements et des fossés jouxtant.

L’empreinte laissée par les circulations fait apparaître que la bande de roulement méritait d’être aménagée d’au moins un mètre de part et d’autre.

Si ces travaux avaient été réalisés en amont de ceux du chantier principal, le montant pouvait être divisé par deux.

Mais qu’importe c’est le contribuable qui paye.

Un élément contribue à conforter mes allégations, celui qui a obligé les décideurs à aménager un carrefour pour permettre aux nombreux véhicules du SEMOCTOM  d’accéder provisoirement à la déchetterie de St LEON.

En ce point, un arrêt pour les transports en commun a été aménagé, je n’en connais pas la raison, mais je me pose la question de l’origine de son financement. Opaque transparence.

Ce projet fractionné sur le CD 671 s’étend du carrefour sur le CD 936 (lieu dit Planteyre) jusqu’à Sauveterre de Guyenne.

La fraction s’étendant  de la commune de CREON à celle de La SAUVE, réalisée précédemment fait apparaître une négligence environnementale qui peut avoir de graves conséquences.

Il s’agit de l’effritement du talus qui vient combler progressivement le fossé entrainant la submersion partielle de la chaussée. Cet incident pouvait être évité par la mise en place de plantes prévues à cet effet. Ce phénomène peut également entrainer le basculement des postes électriques de transformation.

En continuant notre parcours sur ce CD 671, sur le côté gauche du virage situé avant le panneau d’entrée de BELLEBAT, la chaussée se fissure et se désagrège depuis plusieurs mois ce qui peut entraîner la perte de contrôle des véhicules hauts et lourds.

Le tracé à la traversée de BELLEBAT ne permet pas aux véhicules de grande longueur de respecter la ligne continue, ils engagent donc la partie gauche de la chaussée obligeant par cela les véhicules circulant en sens inverse à freiner brusquement.

Voilà pour les critiques.

Voici ce que je suggère pour le point noir de La SAUVE :

-         l’implantation judicieuse d’une signalisation à distance.

-         l’implantation judicieuse d’une signalisation de proximité appuyée par un feu clignotant jaune.

-         l’implantation d’une signalisation d’interdiction de stationner des deux côtés depuis le commerce d’informatique NOPANIK.

Les citoyens sont toujours le réceptacle des critiques, soit parce qu’ils ne participent pas, soit parce qu’ils critiquent.

Je peux concevoir que certaines erreurs de décision peuvent être excusables parce qu’elles doivent être prises en urgence, mais ce n’est pas le cas pour ce projet qui a trop traîné dans les tiroirs.

La vie d’un être humain n’a pas de prix, pensez-y aujourd’hui pour n’avoir pas à le regretter demain.

Dans mes précédents messages, je prévoyais une forte abstention, les électeurs ne m’ont pas donné raison, ce dont je me réjouis.

Ce résultat me réconforte parce que, j’avais souhaité que les concitoyens se rendent aux urnes et qu’il donne l’espoir d’un sursaut.

Ce résultat prouve encore si besoin en est que lorsque le peuple se mobilise, aucune certitude ne peut être attribuée aux sondages. Pour ma part, il y a bien longtemps que je n’écoute plus ces chimères.

Le réservoir des absentéistes est donc pratiquement vide, ce qui met en évidence la réalité.

Pour la droite, comme pour la gauche, il ne reste que le réservoir des <extrémistes>

A mon humble avis, celui-ci se divise en deux tendances.

La première est celle des adhérents temporaires au comportement indéfinissable. Pour s’exprimer deux possibilités, la première, apporter leurs voix au candidat plus modéré qui cependant s’apparente à leurs idées.

Et puis il y a ceux qui sont convaincus que leur comportement <extrémiste> mérite d’être reconnu comme adhérents à un parti indépendant.

Ces derniers sont à la recherche de cette reconnaissance qui, leur permettrait de siéger à la chambre des députés (élection oblige).

N’est-ce point là, la véritable démocratie ?

Ces contestataires (classifiés ainsi) sont diabolisés par la rumeur publique et les médias, comme des <extrémistes> ou des marginaux dangereux.

Des résultats de ce scrutin, je tire les enseignements suivants :

Premièrement, la condamnation sans appel de la politique menée durant ce dernier quinquennat est évidente.

Condamnation non point parce que le candidat de l’opposition arrive en tête, mais par les <extrémistes > de gauche comme de droite.

Deuxièmement, le recul de l’absentéisme peut être l’amorce d’une prise de conscience que je souhaite florissante et pérenne.

Si nous voulons maîtriser la crise, il faudra obligatoirement que cette prise de conscience perdure et s’applique quotidiennement.

Un résultat probant ne peut être espéré que si tous les partenaires de l’économie du pays acceptent l’effort qui leur sera proposé.

Dans le cas contraire, l’affrontement est inévitable.

Troisièmement, la remarquable participation de la jeunesse à ce scrutin pourrait être le moteur du changement de société.

L’espoir est maintenant plus que jamais notre raison de se battre contre les inégalités.

Résister se conjugue toujours au présent. Ceux qui l’ont écrit nous l’ont démontré.

Pour ma part, mes convictions sont inchangées depuis mon entrée dans le monde du travail.

Cependant, je n’ai pas toujours partagé aveuglément les directions prises par les représentants de mon courant, mais je ne les ai jamais trahis.

Le 07 mai au petit matin, l’avenir de notre destin sera entre les mains d’un nouveau Président.

Ce jour là, tout est encore à reconstruire, honnêtement je n’attends point de jours meilleurs durant ce quinquennat.

Puissent encore, les faits fassent que mes soupçons ne deviennent une incompréhensible réalité.

BLESIGNAC

Exposition vente de plantes et de produits locaux.

Ce dimanche 1^er avril 2012, par une très belle journée ensoleillée, les amoureux de la nature et des produits naturels ont pu apprécier la convivialité qui régnait pour cette manifestation. On pouvait déguster sur place le pain chaud fabriqué avec de la farine bio, les crêpes succulentes qui embaumaient l’espace, le fromage fermier au lait de brebis, acquérir des produits naturels pour traiter nos jardins ou apprécier les conseils des horticulteurs.

Une invitation nous est faite par Mme et Mr DREILLARD pour assister le 20 mai 2012 à une visite de son exploitation sur la commune de DAIGNAC.

Vous pouvez vous renseigner à l’aide de l’adresse mail bergeriededaignac@orange.fr ou en consultant le site www.bergeriededaignac.com , vous pouvez également interroger ce site http://www.bienvenue-a-la-ferme.com/gironde/ferme-bergerie-de-daignac-176418  et aussi par téléphone : Annie DREILLARD 06 81 45 88 66 et Alain DREILLARD 06 84 63 80 43