Les Migrants Asiatiques

En visite au JAPON, Madame Edith CRESSON, alors Premier Ministre, a qualifié les japonais de <fourmis>, précisant qu’ils courent en tous sens et sont sans cesse en mouvement.

Si tous ces asiatiques ne sont pas venus en France comme les frelons, leurs méthodes sont bien là et fermement installées.

On dit souvent que l’on voit la paille qui est dans l’œil du voisin, mais pas la poutre qui est dans le sien. Cela se vérifie encore cette fois.

Les parisiens ont exactement les mêmes comportements, en 1960, c’était déjà ainsi, cela attirait l’attention des provinciaux.

Je constate avec inquiétude que cela a fait de nombreux émules au sein du patronat français, et ce jusque dans nos provinces reculées.

Oui, après les frelons les fourmis, migrants indésirables qui se disputent notre territoire. Concernant les fourmis, durant leur voyage, elles sont devenues bipèdes.

La comparaison ne manque pas de lucidité, la similitude d’action des fourmis avec ces travailleurs modernes que l’on trouve notamment dans les drives est spectaculaire.

Ces jeunes employés dans les grandes surfaces courent dans les allées des travées pour composer des commandes qui n’ont aucune urgence, risquant à tout instant de blesser un client et mériter pour cela le renvoi immédiat.

Ces fourmis bipèdes apprendront-elles à se débarrasser de leurs cadavres comme le font les fourmis insectes ?

Ces dernières ont une raison de s’activer ainsi, la saison leur permettant de rassembler la nourriture et de subsister jusqu’à la prochaine saison est très courte, elles savent aussi anticiper la possible période de mauvais temps, ce qui précipite encore la vitesse de leurs déplacements. Elles ne veulent pas mettre en péril leur collecte de subsistance.

Ces jeunes travailleurs sont eux obligés de cumuler plusieurs emplois. Malgré cela, ils n’arrivent pas à obtenir un salaire suffisant pour se nourrir et régler les factures. Alors ils s’épuisent et perdent la lucidité qui leur fait défaut et entrave le suivi des cours leurs permettant d’obtenir les diplômes et peut être une vie meilleure.

N’y a t il pas là une notion d’exotisme ?

Les échanges de denrées avec les pays asiatiques ou africains, n’auraient-ils pas influencé nos esprits au point d’en faire une transposition ?

Des épices en provenance de ces pays étaient-ils nécessaires ou indispensables à ce point ? Inversement, ces pays sont également frappés par cet exotisme en achetant par exemple nos vins ?

Nous savons par expérience que ces derniers sont porteurs de comportements néfastes à nos santés et perturbateurs de nos agissements, et pourtant la France en fait la promotion.

Le profit inhibe toute logique et le respect de la personne humaine.

Toutes les migrations, tout comme nos mutations de comportements sont dangereuses, le laxisme de nos gouvernements à l’échelle planétaire est responsable de ce désastre pour lequel nous n’avons aucune solution pérenne.

Ce n’est pas parce que nous allons héberger un migrant que nous résoudrons cette équation sans égalité.

Ou trouver autant de logements alors que nous n’arrivons pas à loger nos ressortissants ?

Je constate, toujours avec autant d’amertume le disfonctionnement de l’EU incapable de trouver une action commune efficace.

Peut-être un miracle de dernière minute sauvera ces hommes, femmes et enfants à la dérive. Bayard.