UMP. Mr COPPE se proclame empereur.

UMP. Mr COPPE se proclame empereur.

Les dernières informations semblent donner raison à Mr FILLON.

L’attitude de la commission de contrôle au sein du parti fait apparaître la présence d’irrégularités inqualifiables et des comportements partisans.

Comme dans le CID, on ne sait par quel moyen le nombre des voix en faveur de Mr COPPE passe de 90 à 900.

Comment pourrions-nous faire confiance à un tel organisme ?

Le moins que je puisse en dire c’est que parler du monde des élus politiques me donne la nausée.

Pourquoi donc Mr SARKOZY et d’autres redoutent que cette affaire aille devant un juge ?

Qu’a-t-on encore à nous cacher que je ne pouvais pas soupçonner ?

J’apprends à l’instant présent que les deux protagonistes se sont mis d’accord pour soumettre à un référendum les adhérents du parti, c'est-à-dire faire voter ces derniers pour savoir s’il faut revoter pour élire un président. Cocasse non ?

Avant d’en arriver à cela, ne faut-il pas s’attacher à clarifier la situation. Premièrement actualiser la liste des adhérents à jour de leurs cotisations, interdire le vote par correspondance.

Le pire qui pouvait arriver c’est la scission du parti à l’assemblée nationale.

Peut-il y avoir au sein du même parti deux idées différentes d’opposition ?

A qui peut bénéficier cette situation ?

Peut-il y avoir un glissement de certains députés vers les centristes ?

Ces derniers ne pourraient-ils pas devenir la deuxième force politique capable d’accéder à la présidence de la République ?

Qui pourrait à présent apporter sa voix à ces deux représentants de l’UMP ?

Mr FILLON surprend par son énergie, lui qui est trop longtemps est resté dans l’ombre d’un dictat, au point que l’on le surnommait le toutou du Président. Il apparaît avec des crocs acérés et la force d’un prétendant sérieux à la Présidence de 2017.

Pour nous citoyens affaiblis par une trop longue exposition à l’ombre, il est temps de reprendre ses esprits et de s’intéresser à la résolution de la crise financière qui ne cesse de s’aggraver.