SERONS-NOUS TOUS ATTEINTS PAR LA D.M.L.A
Notre vue nous apporte souvent des déboires, la DMLA par exemple.
Dans cet article, ce n’est pas de celle-là dont je veux vous entretenir, mais de la DMLA : Dégénérescence Mentale Liée à l’ARGENT.
Nos deux principaux partis politiques, normalement opposés par leurs idées ne le sont pas autant que l’on voudrait nous le faire croire.
Sur la mauvaise utilisation des fonds publics dont ils sont conjointement responsables, la droite aide les banques à se goberger, et la gauche à gaver une population dans la décadence.
Dans les deux cas, l’argent aide les uns à s’enrichir tout en préparant notre perte et les autres à s’enfoncer dans la déchéance et l’oisiveté.
Donner un pouvoir à quelqu’un c’est vendre son âme au diable.
Tous s’achète et tout se vend et particulièrement son honneur.
En politique pour un service rendu, certains se trouvent propulsés ministres, d’autres sont relaxés pour des méfaits condamnables. Dans ce dernier cas, il s’agit d’un acte de corruption.
Le monde va mal, la France est au bord de l’implosion.
Les gouvernements qui se succèdent usent impunément de l’imposture.
La population déprime, les suicides croissent dangereusement.
Qui osera poursuivre ces responsables qui nous gouvernent pour crime contre l’humanité ?
L’inhumanité engendre une haine implacable qu’à terme nul ne saura ni ne pourra maîtriser.
Les faits navrants qui divisent les partis politiques et les citoyens démontrent bien que les responsables de ces partis sont rongés par la nécessité de devoir réussir leur carrière.
Notre argent a servi à renflouer les banques spéculatives, aujourd’hui elles refusent tout crédit bloquant ainsi toute consommation.
Dans quel but agissent-elles ainsi ?
Pour nous citoyens le dénouement de cette crise implacable ne se présente pas sous un bon angle.
Pourquoi ce pessimisme ?
Tout simplement parce que notre argent est dans leurs coffres, et que dans le cas de faillite de la France, nous aurons perdu tous nos biens mobiliers.
Voilà pourquoi nos banquiers dorment tranquillement sur leurs deux oreilles.
Gageons que cette DMLA ne nous atteigne pas.