SANCTION pour…
Sanction pour le proviseur, encouragements pour le délinquant.
Vingt cinq pour cent de mes concitoyens construisent, soixante quinze pour cent démolissent, voilà comment fonctionne la société française.
Pour avoir corrigé un élève qui lui manquait de respect, ou ne respectait pas les règles de vie en société, un proviseur s’est vu condamné.
Cette décision prise par un juge (que je ne qualifierai ni d’injuste, ni de nécessaire) ne peut être qu’un encouragement pour cet élève et plus généralement à la multiplication de ces actes de désobéissance.
Faudra-t-il peut-être que ce juge soit un jour confronté dans sa vie privée à un tel acte pour mesurer l’importance de sa décision.
Nous ne pouvons plus à présent tolérer de dérive à l’application des règles de vie en société.
La situation de la France, fragilisée par trop de chômage, ouvre la porte à la pire des situations.
Il est à regretter que nos responsables politiques quels qu’ils soient mettent en marche la pire des révolutions que le pays n’a jamais connue.
Chacun d’entre nous doit prendre conscience que notre participation à l’éducation de nos enfants est primordiale si nous ne voulons pas revivre en pire les affrontements de mai 1968.
Réagissons maintenant si nous ne voulons pas pleurer demain la perte de nos enfants ou petits enfants.