GUILLOT criait au loup, BACHELOT ...

GUILLOT criait au loup, BACHELOT…

GUILLOT criait au loup, BACHELOT hurle à la mort.

Que Madame La Ministre de la santé comptabilise les morts <<victimes>> du virus de la grippe AH1N1, cela je peux le comprendre et l’admettre.

Quelle brandisse ces résultats dénote d’une morbidité déplacée.

Ce nombre que beaucoup qualifient d’injustifié n’a rien d’alarmant si on le compare au nombre de tués sur les routes tous les week end.

Loin de moi l’idée de penser que la disparition d’un concitoyen n’a pas d’impact sur mon ressentir. Quel qu’en soit le motif de cette disparition, quelque part elle afflige d’autres êtres humains.

La pression infligée à nos concitoyens par l’intermédiaire des médias démontre bien l’affolement du gouvernement face à un problème dont il a mal anticipé les conséquences.

Les informations distillées deçà, delà démontrent que la population affectée par ce problème serait des enfants et surtout les citoyens aptes à faire fonctionner l’économie et maintenir la productivité.

 C’est bien de cela qu’il s’agit.

La crise a déjà mis à l’écart un nombre trop important de l’effectif productif et c’est cela qui pénalise la France aujourd’hui.

Pourquoi ?

Une raison évidente, toutes les sociétés de production, les hôpitaux, l’enseignement, les administrations, les grandes entreprises nationalisées fonctionnent tant bien que mal avec un minimum d’effectif.

Dans une telle hypothèse, l’absence de quelques éléments par maladie ou autre motif met en péril la productivité.

Avec la complicité de tout le gouvernement, voilà le virus que vous avez introduit dans notre société et pour lequel vous n’avez pas de vaccin.

Affaiblis par les nombreux problèmes qui mettent en péril l’équilibre des ménages, nos concitoyens n’ont plus les ressources morales pour réagir. En sont pour preuve les nombreux suicides dans les entreprises, la police et ailleurs. Là non plus vous n’avez pas le médicament ou le vaccin.

Cependant, ils ont su détecter dans le comportement du gouvernement l’incohérence des propos et la mise en application désordonnée de cette campagne de vaccination.

Etaler cette vaccination jusqu’au mois de mars est une aberration et démontre si besoin était qu’il s’agit là d’une opération financière pour venir en aide au milieu pharmaceutique, comme cela à été fait pour les banques et l’automobile.

Un seul mot est Roi : LE PROFIT.

Les effets pervers commencent à se faire ressentir.

Madame la Ministre, je ne veux pas préjuger du résultat de cette campagne, cependant, je pense qu’elle n’atteindra jamais l’objectif que vous vous êtes fixé.

Si tel était le cas, la crédibilité du Président et du gouvernement s’en trouverait encore affaiblie.

En cette période de crise la prudence est de mise pour les citoyens équilibrés. Ce n’est pas le cas en haut lieu. Ces dépenses inconsidérées ne peuvent qu’aggraver la situation financière du pays.

Vous pourrez tenter de minimiser les résultats de cet échec, mais ne réussirez pas à nous convaincre

A moins que vous ne soyez médium, pouvez-vous affirmer aujourd’hui, preuves à l’appui que les personnes vaccinées à ce jour devaient être atteintes par ce virus ? NON.

Alors le doute subsiste. N’ont-elles pas échappé à la grippe parce qu’elles ne devaient pas la contracter ou bien parce qu’elles ont été vaccinées ?

Un résultat certain aura été obtenu cependant, la diminution des compétences de notre corps à se défendre sans l’assistance de vaccins. Comme dans toute assistance, l’effet pervers est au premier plan.

La mutation du virus est déjà présente comment pourrait-il en être autrement.

Quant au diagnostic concernant ce virus AH1N1, quelle confiance lui accorder si des examens complémentaires ne sont pas faits ?

C’est en connaissance de cause que je mets en doute le nombre de cas.

Un membre de notre famille a été déclaré atteint du virusAH1N1 et soigné au tamiflu. Quinze jours plus tard, pour cette même personne on nous déclare qu’elle a encore la grippe, sans précisions cette fois.

Alors n’a-t-on pas le droit d’être perplexe ?

Madame La Ministre, j’espère que ce virus, le vaccin ou le tamiflu n’auront aucun effet néfaste sur nos cerveaux et que ces derniers sauront se souvenir de cette mascarade.

Monsieur Le Président vous a choisis et confié des responsabilités sous réserve d’obtenir des résultats (sans précisions bien entendu).

Nous avions pensé <<Positifs>>, mais aujourd’hui nous constatons que ce sont les Négatifs qui prennent le pas.