CESSAC. L’eau miraculeuse et la facture salée.
Le mille feuille, qui gonfle nos factures et que sont ces organismes publics incontrôlés dont l’utilité reste encore à démontrer appauvrissent les citoyens et mettent en péril l’équilibre social.
Mis en place et cautionnés par nos maires dont le savoir gérer pose bien des questions, ces Présidents de syndicats qui prélèvent sans justifications jusqu’à 54 % des facturations, alors qu’à peine, 46% reviennent au fournisseur.
Ce constat permet de relever que nos factures pourraient s’alléger d’au moins 50%.
Nous pourrions espérer que ces sommes seraient destinées à l’amélioration et au développement du réseau de distribution, ce n’est pas le cas pour la commune de CESSAC et notamment pout le quartier de REDON.
Pourtant, d’autres taxes viennent encore alimenter le mille-feuille comme la TLE ou CAUE.
Compte tenu de la qualité des prestations, une question est inéluctable, à quoi sert cet argent ?
Le quartier de REDON subit des coupures répétitives dont les conséquences sont d’un profond désagrément : coup de bélier dans nos canalisations intérieures, disfonctionnement des cumulus, pression et débit fluctuants.
La purge automatique régulatrice est hors service depuis plusieurs années, le cheminement des canalisations est indéfini et entraine des situations inquiétantes.
Quand une coupure intervient, le service de distribution n’est pas en mesure de nous en donner la raison.
En parfaite connaissance du problème, les maires accordent de nouveaux permis de construire qui aggravent la situation.
Ce comportement ne relève-t-il pas de l’imposture ?
Comment et à qui sont attribués le financement de travaux urgents ?