A VOTRE BONNE SANTE
Voici un aspect des vignobles de l’Entre-deux-MERS. Ce ne sont pas les rares journées chaudes de ce début de mois de mai qui ont roussi l’herbe indésirable sous les rangs de vigne, mais les désherbants toxiques utilisés. Ce spectacle n’est pas unique sur cette parcelle mais fréquemment rencontré dans ce paysage, ceci pour vous faire prendre conscience des quantités nocives pour les plantes mais également pour tous les êtres vivants et particulièrement pour les humains.
L’utilisation à grande échelle de ces désherbants et tous les autres traitements phytosanitaires de la vigne sont dangereux pour la santé. Une récente étude faite dans les vignobles très renommés du MEDOC dénonce ces méfaits.
Mais qu’importe la boisson pourvu que l’on ait l’ivresse ou de graves maladies !!!
L’emploi de ces désherbants est toxique par leur évaporation, les infiltrations vers les nappes d’eau et surtout par la dispersion dans l’atmosphère de ces herbes desséchées et fragmentées.
Toutes ces particules inhalées ou avalées envahissent notre organisme et provoquent des complications respiratoires, neurologiques ...
Malgré les recommandations dans l’utilisation de ces produits, ces traitements sont répétés tout au long de l’évolution annuelle de la vigne.
Alors que consommez-vous du jus de raisin ou une mixture chimique ?
Que reste-t-il de naturel dans cette bouteille de vin ?
Votre bouteille n’est plus qu’un produit pharmaceutique. Qui ose encore croire que le liquide contenu est un jus naturel, comment peut-on affirmer que cette année sur cette parcelle votre vin aura le goût de noisette et l’année prochaine celui d’une mandarine, si chimiquement on ne le transforme.
Tout au long de ces décennies, la culture de la vigne s’est dénaturée, les principes des anciens qui préféraient un produit naturel et de qualité, se sont transformés en un dangereux bisness dont le motif principal est devenu le profit quel qu’en soit la méthode.
Aujourd’hui, la nature est désertée par les insectes et les oiseaux, les abeilles disparaissent par la présence des frelons asiatiques, mais ces derniers ne sont pas les seuls responsables, tous ces produits chimiques contribuent à leur disparition.
Une menace très grave fait son apparition. Dans nos forêts, des essences d’arbres, châtaigniers, chênes, arbres fruitiers subissent les attaques de cette pollution et de parasites qui détruisent la couronne d’écorce, ils sont condamnés par une déshydratation.
La pollinisation n’est plus assurée et nos jardins sont contaminés.
Voilà comment votre santé va s’amenuiser sans que personne ne pourra ou ne voudra en déterminer la cause.
Les centenaires ne vont pas se multiplier comme le prédisent certains politiques, la seule multiplication envisageable c’est celle des profits du monde pharmaceutiques ou de produits chimiques.