9 juillet 2008
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14:07
Par trop d'amour on se donne, par trop de haine on se déchire.
Comment peut-on devenir si diaboliques dans cet accident de la vie?
Que sont devenus les sentiments qui nous ont unis?
La totalité de cet échec ne peut en aucun cas être supportée uniquement par l'une ou l'autre des parties.
On note toutefois une attitude différente de la femme et de l'homme.
Si ce dernier reste discret sur les motivations de cet acte, la femme au contraire multiplie les déclarations se comportant comme l'unique victime.
Généralement les fautes sont équitablement réparties et nul ne peut se targuer d'innocence.
Le divorce est un véritable chantier de démolition auquel participent de trop nombreux artisants incompétents.
Au-delà de l'effondrement matériel et psychologique, il y a la souffrance de ces innocentes victimes que sont les enfants, le fruit charnel de l'amour.
On voit apparaître les <charognards> coordonnateurs de cette débâcle que sont les avocats, les avoués, les huissiers prêchant la haine avec l'espoir de faire perdurer le conflit et engranger de substantiels revenus.
L'escalade des reproches s'anime jusqu'au point de non retour.
Dans ce combat bestial tous les coups sont oermis ou presque, certains heureusement sont violemment réprimés par la loi.
Les traits de caractère jusque là dissimulés apparaîssent et chacun de découvrir l'innomable supercherie.
Les motifs qui prévalent dans cette discorde sont multiples et plus ou moins graves. Certains pourraient être balayés d'un revers de manche si des acteurs indélicats et spéculatifs ne venaient s'en mêler.
Alors apparaîssent des comportements insoupçonnés tel le dépouillement des biens mobiliers communs.
Fini le partage équitable, la haine et le mépris s'installent.
Tout cela m'est insignifiant au regard du traumatisme infligé aux enfants.
Ces derniers aiment les deux parents et ne peuvent et ne savent pas partager cet état virtuel.
Puissent les parents banir de leur comportement la haine pour préserver au moins ces êtres qui n'attendent qu'amour et protection.
Les enfants ne sont pas une monnaie d'échange, uniquement dressés contre l'autre parent dénigré.
Les parents commettent de graves et absurdes spéculations.
Quand l'enfant grandira, quand de l'amour extérieur il se nourrira, il comprendra alors les causes de son désarroi et il nous jugera.
Le respect de l'enfant doit rester la priorité des priorités .
Pour s'épanouir dans cette séparation, il doit pouvoir bénéficier de la protection, de l'éducation, de la tendresse et de l'amour de ses deux parents, des frères, des soeurs, des grands-parents.
Tous sont indispensables et complémentaires à l'équilibre moral de tous ces petits êtres qui souffrent en silence.
J'en appelle donc à la sagesse de tous pour que la future société sache faire les sacrifices et les concessions indispensables à l'équilibre psychologique de chacun.
Comment peut-on devenir si diaboliques dans cet accident de la vie?
Que sont devenus les sentiments qui nous ont unis?
La totalité de cet échec ne peut en aucun cas être supportée uniquement par l'une ou l'autre des parties.
On note toutefois une attitude différente de la femme et de l'homme.
Si ce dernier reste discret sur les motivations de cet acte, la femme au contraire multiplie les déclarations se comportant comme l'unique victime.
Généralement les fautes sont équitablement réparties et nul ne peut se targuer d'innocence.
Le divorce est un véritable chantier de démolition auquel participent de trop nombreux artisants incompétents.
Au-delà de l'effondrement matériel et psychologique, il y a la souffrance de ces innocentes victimes que sont les enfants, le fruit charnel de l'amour.
On voit apparaître les <charognards> coordonnateurs de cette débâcle que sont les avocats, les avoués, les huissiers prêchant la haine avec l'espoir de faire perdurer le conflit et engranger de substantiels revenus.
L'escalade des reproches s'anime jusqu'au point de non retour.
Dans ce combat bestial tous les coups sont oermis ou presque, certains heureusement sont violemment réprimés par la loi.
Les traits de caractère jusque là dissimulés apparaîssent et chacun de découvrir l'innomable supercherie.
Les motifs qui prévalent dans cette discorde sont multiples et plus ou moins graves. Certains pourraient être balayés d'un revers de manche si des acteurs indélicats et spéculatifs ne venaient s'en mêler.
Alors apparaîssent des comportements insoupçonnés tel le dépouillement des biens mobiliers communs.
Fini le partage équitable, la haine et le mépris s'installent.
Tout cela m'est insignifiant au regard du traumatisme infligé aux enfants.
Ces derniers aiment les deux parents et ne peuvent et ne savent pas partager cet état virtuel.
Puissent les parents banir de leur comportement la haine pour préserver au moins ces êtres qui n'attendent qu'amour et protection.
Les enfants ne sont pas une monnaie d'échange, uniquement dressés contre l'autre parent dénigré.
Les parents commettent de graves et absurdes spéculations.
Quand l'enfant grandira, quand de l'amour extérieur il se nourrira, il comprendra alors les causes de son désarroi et il nous jugera.
Le respect de l'enfant doit rester la priorité des priorités .
Pour s'épanouir dans cette séparation, il doit pouvoir bénéficier de la protection, de l'éducation, de la tendresse et de l'amour de ses deux parents, des frères, des soeurs, des grands-parents.
Tous sont indispensables et complémentaires à l'équilibre moral de tous ces petits êtres qui souffrent en silence.
J'en appelle donc à la sagesse de tous pour que la future société sache faire les sacrifices et les concessions indispensables à l'équilibre psychologique de chacun.