Nombreuses et légitimes sont les questions que se posent les citoyens français au
lendemain de la libération de 15 prisonniers retenus par les FARC.
La médiatisation exhorbitante de cet évènement ne peut échapper aux soupçons.
La complicité? De qui?
Pourquoi? A qui profite cette situation?
La participation? De quels pays? Pour quels motifs? Pour quels intérêts?
L'organisation?
Comment est-il possible de se déplacer en ces lieux sans attirer l'attention de l'un des nombreux groupes de FARC?
Comment peut-on imaginer que des
prisonniers privés de leurs chaussures depuis de longs mois ou années puissent marcher si longtemps sans entraver la progression du déplacement?
Comment a-t-on pu communiquer avec la base arrière (hélicoptères) sans se faire remarquer?
La neutralisation de l'officier FARC n'est elle pas une mise en scène?
Sommes nous bien certains qu'il n'y a pas eu de suppression de vie dans le camp des FARC? L'arme blanche n'est elle pas la préférée des commandos?
Conditions de détention?
La photographie de Mme BETANCOURT présentée aux citoyens français en novembre 2007 n'a-t-elle pas subi des retouches pour attendrir le coeur des citoyens du pays des droits de l'homme?
Quelqu'un a-t-il remarqué <<l'enchaînement>> dont elle nous parle?
Le chapelet porté en bracelet à son poignet ne s'oppose-t-il pas à l'immobilisation des bras et des mains?
Cette immobilisation n'atrophie-t-elle pas les muscles?
Quel intérêt pour les FARC à publier cette photo après tant d'années de captivité?
La présence de son mari colombien auprès du Président de Colombie a-t-elle influencé cette mission?
Pourquoi avoir attendu 6 ans?
Fin de la première partie, suite sur prochain article