14 juin 2008
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Pour la deuxième fois consécutive, la ratification du projet de Convention Européenne a échoué.
Il est intéressant et important de remarquer que dans les deux cas, ces deux projets ont étaient présentés par la FRANCE.
Les français ont dit <non> au premier, les irlandais ont dit non au deuxième.
Il y a donc un problème mais lequel?
Un premier constat fait remarquer la complexité et le manque de clarté des textes.
Pour ce dernier projet, s'ajoute un point qui n'échappe à personne : le problème de la <<démocratie confinée>>.
Monsieur Le Président de la République Française n'a pas souhaité une ratification par référendum du traité de Lisbonne, privant ainsi les citoyens français d'une expression démocratique.
Nul ne peut affirmer quel en aurait été le résultat, même si nombreux sont ceux qui voyaient là l'occasion de sanctionner la politique menée par le gouvernement sous la pression constante de Mr Le Président.
Ses décisions autoritaires n'échappent pas aux citoyens membres de la Communauté Européenne.
Pour cela, les irlandais ont jugé bon de ne pas cautionner une politique Européenne calquée sur le modèle français surtout à la veille de l'attribution de la Présidence à la FRANCE (01 juillet 2008).
La construction de l'Europe manque d'actions dans l'élaboration et la mise en place d'institutions du point de vue social, de disparité salariale, dans la transposition de directives européennes en droit français...
Sur ce dernier point, la France est trop souvent sanctionnée.
Le déficit de la France est souvent montré du doigt, et les moyens mis en oeuvre pour le contenir jugés inefficaces.
Peut-on imposer une morale de bonne conduite si nous ne l'appliquons pas à nous même?
Monsieur Le Président saura-t-il tirer une leçon de ce nouveau revers?
Les citoyens européens quelle qu'en soit leur nationalité diront unanimement <<OUI>> à un projet de Constitution quand ce dernier sera socialement structuré et que le mode de ratification sera le même pour les 25 États membres.
Pour un projet d'une telle ampleur, cette ratification doit se faire par référendum et à une date unique.
Il est intéressant et important de remarquer que dans les deux cas, ces deux projets ont étaient présentés par la FRANCE.
Les français ont dit <non> au premier, les irlandais ont dit non au deuxième.
Il y a donc un problème mais lequel?
Un premier constat fait remarquer la complexité et le manque de clarté des textes.
Pour ce dernier projet, s'ajoute un point qui n'échappe à personne : le problème de la <<démocratie confinée>>.
Monsieur Le Président de la République Française n'a pas souhaité une ratification par référendum du traité de Lisbonne, privant ainsi les citoyens français d'une expression démocratique.
Nul ne peut affirmer quel en aurait été le résultat, même si nombreux sont ceux qui voyaient là l'occasion de sanctionner la politique menée par le gouvernement sous la pression constante de Mr Le Président.
Ses décisions autoritaires n'échappent pas aux citoyens membres de la Communauté Européenne.
Pour cela, les irlandais ont jugé bon de ne pas cautionner une politique Européenne calquée sur le modèle français surtout à la veille de l'attribution de la Présidence à la FRANCE (01 juillet 2008).
La construction de l'Europe manque d'actions dans l'élaboration et la mise en place d'institutions du point de vue social, de disparité salariale, dans la transposition de directives européennes en droit français...
Sur ce dernier point, la France est trop souvent sanctionnée.
Le déficit de la France est souvent montré du doigt, et les moyens mis en oeuvre pour le contenir jugés inefficaces.
Peut-on imposer une morale de bonne conduite si nous ne l'appliquons pas à nous même?
Monsieur Le Président saura-t-il tirer une leçon de ce nouveau revers?
Les citoyens européens quelle qu'en soit leur nationalité diront unanimement <<OUI>> à un projet de Constitution quand ce dernier sera socialement structuré et que le mode de ratification sera le même pour les 25 États membres.
Pour un projet d'une telle ampleur, cette ratification doit se faire par référendum et à une date unique.