18 septembre 2007
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Je précise que je n'ai aucune appartenance à un parti politique.
Monsieur JOSPIN dans son dernier livre n'est pas tendre avec Madame ROYAL c'est tout à fait son droit.
Ce qui m'attriste dans ce comportement c'est la manière d'exprimer sa rancoeur. Une explication en tête à tête eût été préférable.
Ce comportement m'interpelle à tel point que je me demande si en 2002 nous n'avons pas frôlé la catastrophe.
Un tel comportement est-il digne d'un futur PRESIDENT de la REPUBLIQUE FRANCAISE?
Je note en toute franchise que d'autres n'ont pas mieux fait.
En 2002 après son départ en claquant la porte, j'ai adressé un courrier à Madame AUBRY lui déclarant que le PS aurait de grandes difficultés à s'en remettre.
Les faits me donnent raison.
Cependant, en écrivant cela je n'aurai jamais pensé que les querelles des partis étaient un tel bouillon de culture.
J'ai pour certains hommes ou femmes politiques que je ne nommerai pas un profond respect et une grande admiration.
Tous ceux-là sans exceptions ont été écartés du pouvoir ou se sont retirés honnorablement.
Leur dévouement pour la FRANCE et ses citoyens leur permettait de faire abstraction des clivages, ignorant le terme de <Carrièriste>.
Je ne mets pas en doute les valeurs intellectuelles de Mr JOSPIN, l'absence de convenances inhibe ses capacités.
N'a-t-il pas soutenu Mme ROYAL pendant sa campagne?
Mais qui donc a choisi Mme ROYAL comme candidate ?
Les adhérents des partis politiques seraient-ils incompétents en tant que membre d'un jury?
Si Mme ROYAL et Mr JOSPIN ont échoué à qui le doivent-lis?
Devant un tel constat je me pose et vous pose la question: pour élire un candidat avons nous tous les éléments nécessaires pour faire le bon choix? Que savons nous d'eux et des éléments indispensables pour juger?
VOTER EST NOTRE DEVOIR, MAIS FAUT-IL VRAIMENT CHOISIR UN CANDIDAT?
Monsieur JOSPIN dans son dernier livre n'est pas tendre avec Madame ROYAL c'est tout à fait son droit.
Ce qui m'attriste dans ce comportement c'est la manière d'exprimer sa rancoeur. Une explication en tête à tête eût été préférable.
Ce comportement m'interpelle à tel point que je me demande si en 2002 nous n'avons pas frôlé la catastrophe.
Un tel comportement est-il digne d'un futur PRESIDENT de la REPUBLIQUE FRANCAISE?
Je note en toute franchise que d'autres n'ont pas mieux fait.
En 2002 après son départ en claquant la porte, j'ai adressé un courrier à Madame AUBRY lui déclarant que le PS aurait de grandes difficultés à s'en remettre.
Les faits me donnent raison.
Cependant, en écrivant cela je n'aurai jamais pensé que les querelles des partis étaient un tel bouillon de culture.
J'ai pour certains hommes ou femmes politiques que je ne nommerai pas un profond respect et une grande admiration.
Tous ceux-là sans exceptions ont été écartés du pouvoir ou se sont retirés honnorablement.
Leur dévouement pour la FRANCE et ses citoyens leur permettait de faire abstraction des clivages, ignorant le terme de <Carrièriste>.
Je ne mets pas en doute les valeurs intellectuelles de Mr JOSPIN, l'absence de convenances inhibe ses capacités.
N'a-t-il pas soutenu Mme ROYAL pendant sa campagne?
Mais qui donc a choisi Mme ROYAL comme candidate ?
Les adhérents des partis politiques seraient-ils incompétents en tant que membre d'un jury?
Si Mme ROYAL et Mr JOSPIN ont échoué à qui le doivent-lis?
Devant un tel constat je me pose et vous pose la question: pour élire un candidat avons nous tous les éléments nécessaires pour faire le bon choix? Que savons nous d'eux et des éléments indispensables pour juger?
VOTER EST NOTRE DEVOIR, MAIS FAUT-IL VRAIMENT CHOISIR UN CANDIDAT?