Une écologie surprenante, inquiétante .Mr le Maire ne veut plus voir de voitures dans la ville.
Des aménagements surprenants à la voirie, source de multiples accrochages, de collisions avec le tram sont, en regrettable augmentation.
La région bordelaise n'échappe pas aux déplacements des populations, qui durant ces dernières décennies a décidé les habitants à partir construire en zone rurale.
Mouvements de foule, qui conduit à construire leur demeure principale loin de la population de la ville.
Comportement qui pourrait paraître normal, malheureusement mal réfléchi, car toute cette population est active et leur lieu de travail se trouve en périphérie de BORDEAUX.
Cette situation provoque des embouteillages importants de véhicules thermiques qui produisent la pollution qui vient stagner sur la ville de BORDEAUX. Des files interminables bloquent les voies d'accès à la capitale girondine.
Le stationnent payant le long des trottoirs impacte le commerce de la ville entraînant la fermeture de nombreux commerces par l'absence forcée de clients. Résultat de décisions irréfléchies.
Il a également pénalisé les familles qui se rendent au chevet des parents, les privant ainsi des relations d'assistance.
Cette municipalité d'écologistes débutants, incapables de mesurer les conséquences en voulant créer la ville en sanctuaire de l'écologie, a décidé de créer une ville verte.
Pour ce faire, ils ont décidé de planter sur les trottoirs, côté murs d'habitation, des plantes grimpantes accrochées aux façades, réduisant ainsi le passage des piétons, et dégradant les maisons en pierres calcaire. Des trottoirs en mauvais état dont certains ne respectent pas les largeurs recommandées.
La commune endettée ponctionne les résidents, méthode à présent généralisée.
Notre commune a la chance et les inconvénients de la présence du fleuve GARONNE, ce fleuve soumis à canaliser les eaux en provenance du Massif Central, mais également des eaux marines de l'Océan Atlantique. Ces phénomènes entraîne des dépôts au fond de son lit. Jadis ce phénomène était résolu par le dragage du lit, ce qui permettait de limiter le niveau de ce fleuve.
Depuis plusieurs années, ce procédé a été abandonné. Le niveau en augmentation, la construction de murs latéraux a été indispensable pour éviter l'inondation des deux rives. Cet ensablement du lit a conduit a la surélévation de ces murs pour pallier à cette augmentation du niveau. Cet ensablement continu, prenant la place du volume accentue le risque d'inondation par l'augmentation du volume d'eau à retenir. Sommes nous capables de garantir la résistance de ces murs à cette augmentation ?
A terme, ce phénomène va entrainer la rivière son cours de création, inondant ainsi toutes les constructions nouvelles et provoquant de nombreuses victimes.
Que dire des nouvelles constructions? L'architecture et la qualité reflètent bien le désir du profit. Les bâtiments récents dévoilent déjà des défauts importants de fabrication, et de négligences dans les contrôles de conformité.
BAYARD