SOS. Entreprises en danger.
Dans un de mes articles précédents, je disais qu’il ne pouvait y avoir une intelligence artificielle sans intelligence naturelle.
En voici la preuve. Certaines administrations ou compagnies d’assurance, ont, pour supprimer du personnel, bourré le logiciel d’ordinateur de tâches à accomplir sans intervention du personnel.
Il se trouve notamment que des tâches sont programmées pour que ce brave ordinateur les fasse seul.
Dans ma société d’assurances, j’ai modifié les termes d’un contrat.
Pour ce faire, je suis entré en contact à l’aide de mon espace personnel. Jusque-là pas de problème.
Ma demande par message à bien fonctionné, j’ai reçu un appel d’un interlocuteur.
Les démarches administratives se sont bien déroulées parce que j’avais en face un être humain, avec sa voix et surtout ses compétences en la matière.
J’ai bien reçu par courrier postal ma modification du contrat, et mon avenant pour régularisation.
Le règlement de celui-ci s’est fait à l’aide d’un chèque bancaire.
C’est là, que l’intelligence artificielle de leur informatique a perdu les pédales.
L’encaissement de ces chèques se fait par l’intermédiaire de l’ordinateur à qui l’on donne en pâture ce petit bout de papier.
L’ordinateur doit donc faire le nécessaire pour que la société d’assurance reçoive l’argent.
Seulement voilà, ce jour-là, Le dispositif ne fonctionnait pas normalement et l’opération n’a pas abouti.
L’ordinateur, a, cependant considéré que tout s’était bien déroulé, mais l’intelligence artificielle n’a pas décelé l’anomalie.
Il a donc continué sa programmation qui l’invite à créer un courrier, l’éditer et me l’adresser.
Très poliment il me remerciait pour ma rapidité à traiter le problème.
Mais voilà, ma satisfaction fut de courte durée, quelques jours plus tard, alors que je voyais figurer sur mon relevé de compte que j’étais débité, je recevais une première relance pour non-paiement de cet avenant.
A l’aide de mon espace personnel (c’est plus facile, cela évite les longues attentes au téléphone), je contacte la société, qui ne peut me répondre parce la personne intéressée est en congé pendant quinze jours.
Mais l’intelligence artificielle est fougueuse, ne voyant pas de régularisation m’adresse une deuxième relance avec menaces de me supprimer ce contrat.
Une troisième relance arrive toujours aussi menaçante.
Sur mon espace personnel, je commence par montrer les dents et les menace de retirer tous mes contrats ainsi que ceux de ma famille.
C’est là que je retrouve l’intelligence naturelle d’un interlocuteur avec qui j’ai pu dialoguer dans un même langage.
Voilà le pourquoi de mon titre à cet article.
Ces sociétés, en voulant diminuer leur personnel, donc créer de nouveaux chômeurs, se retrouvent en faillite et accusent autrui d’en être la cause.
Monsieur le Président a bien trop de chantiers à surveiller s’il veut améliorer la vie des citoyens.
BAYARD.
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