SINCERES PENSEES EN CE JOUR…
Cette tragique journée du 14 décembre 2017, nous ne l’oublions pas et nous ne vous oublions pas.
Personne ne peut accepter que le destin soit aussi brutal. Les telles circonstances du départ d’un proche, surtout quand il s’agit d’un enfant, mettent en chacun des sentiments bien différents, mais surtout cette impuissance à accepter ce départ auquel personne n’est préparé.
C’est souvent que nous évoquons dans nos conversations ce drame qui nous bouleverse, et pour lequel nous ne pouvons efficacement vous aider.
Nous rendons courage à votre comportement, à votre force de combat pour faire éclater la vérité.
Nous savons, que ce combat, vous le menez pour cet enfant que vous avez perdu, cette noble attitude, vous conforte et nous interpelle par sa grandeur et sa générosité.
Cette journée du 14 décembre 2018, doit être celle du recueillement, du souvenir, de l’espoir de penser que toute la lumière soit faite sur les circonstances de ce désastre humain.
Le destin de chacun d’entre nous est écrit, les divers éléments se sont associés pour ce résultats que personne n’a désiré, n’a pu contrôler.
La même question revient, POURQUOI ?
Depuis le premier jour de ce drame, j’ai cherché à établir les différentes hypothèses, constituantes de mon analyse.
Je ne veux, et ne peut pas porter mes soupçons sur une quelconque responsabilité de chacun des intervenants, cependant, mes investigations, m’invitent à m’attarder sur une direction.
Comme vous tous, je veux vous dire que l’enquête menée par les divers services font apparaitre de nombreux points d’ombre et des comportements incohérents.
J’ai regardé avec attention l’émission sur le canal 9, et certains propos s’avèrent empreints de déclarations orientées.
Je rends un hommage particulier à Fabien et Sandra pour leur capacité à supporter avec dignité ce lourd fardeau et regrette de ne pas être près d’eux pour les soutenir dans ce cruel combat.
Je n’oublie pas la conductrice du car, pour ces souffrances morales qui lui sont infligées, et suis heureux de savoir que parmi ces parents éplorés certains lui apportent leur soutien.
Maître CODOGNES, met beaucoup d’ardeur pour que la vérité éclate, je suis confiant dans son implication.
J’ai participé au dénouement de l’affaire d’ALLINGES, similaire à la vôtre, car il s’agissait d’enfants en sortie scolaire.
Là également, on a tenté de mettre la responsabilité sur le conducteur du car. Grâce aux images j’ai pu démontrer que ce qui lui était reproché ne pouvait être la réalité.
Le dénouement fut heureux car cet homme fut acquitté.
Je vous disais qu’une similitude existe dans ce problème de MILLAS.
Pour cela, je veux vous dire qu’il faut garder espoir, car on arrive souvent à trouver l’aiguille dans la botte de foin.
BAYARD
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