30 décembre 2018
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Monsieur Le Président,
Malgré le profond respect que je porte à votre rang, et le sang bigourdan qui irrigue nos veines, je ne peux cautionner votre comportement humiliant et la répression guerrière infligé au peuple qui vous a hissé au sommet de la Présidence de notre République.
En conséquence, je n’écouterai pas vos vœux adressé à la nation, tant ils me semblent dénudés de sincérité.
BAYARD.