GOUVERNEMENT. Négociations par branches…
C’est une des formules définies dans la loi sur le travail.
Aujourd’hui, le gouvernement, principal employeur de notre pays, se trouve pris à son propre piège.
La police et les forces de l’ordre sont bien leurs employés.
Des employés qui commencent par comprendre, qu’ils sont eux aussi les <dindons de la farce>.
Plusieurs millions d’heures supplémentaires leurs sont dues.
Ils ne sont pas les seuls dans ce cas, les autres ne vont pas tarder à réclamer leur dû.
Comment en sommes-nous arrivés à ce stade d’endettement ?
A quoi cet argent non déboursé des caisses de l’état a-t-il servi ?
Comment à présent renforcer ces effectifs insuffisants et payer toutes ces heures ?
Réduire les effectifs pour payer les nouveaux recrutés serait empirer le problème ?
Faudra-t-il demander à la machine à billets de doubler sa fourniture, impossible cela impliquerait une dévaluation impossible si nous appartenons à l’UE.
Il va falloir que l’UE s’assoit sur la dette de la France, une France discréditée parce qu’elle devient le plus mauvais élève.
Le gouvernement va devoir recadrer ses effectifs de maintien de l’ordre.
Comment pourrait-il agir pour réprimer leurs actions de protestation ?
Qu’elles forces peut-il envoyer pour réprimer un tel soulèvement ?
Voilà, en cette journée de Noël un plat succulent pour le premier ministre.
BAYARD.