Je constate à regret, que rien n’a changé dans le fonctionnement des institutions communales depuis les élections de 2014.
Notre commune, et particulièrement, le secteur « REDON » est souvent perturbé pas des coupures d’eau potable.
Ces incidents répétitifs, deux en trois jours ces derniers temps sont inadmissibles parce que dus à des négligences et des incompétences.
Les conséquences sont graves, notamment en matière de défense contre les incendies.
Cela l’est aussi par les dégâts sur les robinetteries, le linge des machines à laver en cours qui conduisent à la destruction de linge souillé.
Nous sommes intervenus auprès du prestataire de ce service afin de connaître les causes, et particulièrement sur une intervention programmée sur le réseau de distribution.
Ces interventions programmées, sont, par le protocole d’accord annoncées en amont des travaux.
Nous avons été informés que ces deux incidents n’entraient pas dans ce cadre du protocole, mais qu’il s’agissait de travaux réalisés par des entreprises dans le cadre de gros chantiers.
Nul doute, la commune doit être informée de l’ouverture de tels chantiers dès lors qu’ils se déroulent sur le territoire d’une commune.
Or, étant donné l’incompétence totale en matière technique des conseillers municipaux, aucune surveillance de ces chantiers n’est possible.
L’enfouissement du câble de la fibre optique, est une opération délicate qui nécessite de grandes précautions dans l’application des directives.
La coexistence avec d’autres réseaux souterrains est soumise à des normes strictes.
Le réseau d’eau potable en milieu rural n’est pas répertorié avec précision. Même si ce n’était pas le cas, ces entreprises sont tenues de s’informer sur les éventuelles particularités.
Des réunions préparatoires sont normalement organisées. Ont-elles eu lieu dans ce cas précis ?
Les informations reçues du fournisseur de cette eau potable (SAUR), stipulent que la première coupure est la conséquence des travaux d’enfouissement du câble de la fibre optique.
Très surprenant, quand on sait que la promiscuité de ces deux canalisation est proscrite.
La deuxième serait celle d’une entreprise privée en exercice pour un particulier.
Je doute fort, que dans ce cas la commune soit informée de ce type de travaux
La conclusion est sans appel, nos institutions communales sont incompétentes dans de trop nombreux sujets.
Comment peut-on faire confiance à la qualité de l’eau de nos robinets, quand cette eau reste souillée durant plusieurs heures et que, depuis une vingtaine d’années que nous résidons en ce lieu, aucune analyse de l’eau du robinet n’a été effectuée in situ.
J’attire donc, la responsabilité de ces intervenants sur les drames qu’une telle situation peut engendrer.
BAYARD