PUISSEGUIN. La Vérité qui dérange.

PUISSEGUIN. La Vérité qui dérange.

Certains propos de mes articles réveillent les susceptibilités de mes lecteurs et sont considérés comme provocateurs.

Cela est le résultat de mon attachement à la démocratie, à la liberté de penser et de s’exprimer.

Mon dernier article, PUISSEGUIN. RD 17, 06 décembre 2016, relatif à l’accident tragique du 23 octobre 2015, n’est pas apprécié par des lecteurs « anonymes ».

Par des moyens peu responsables, ces lecteurs cherchent à discréditer mes révélations. Ces auteurs ne semblent pas connaître les règles du savoir- faire, et prennent certains risques dont ils ne mesurent pas les conséquences.

Je rappelle que les révélations faites sur ce précédent article sont le fruit de mes investigations sur le lieu de cette tragédie.

Si certains rapporteurs, journalistes ou autres se contentent de rapporter les potins des uns et des autres sans vérification de l’exactitude des propos, cela n’engage que leur crédibilité.

Je pourrais également faire comme eux et utiliser tous les articles publiés dans les presses locales ou nationales.

Certaines des révélations qui y figurent sont alarmantes, je ne me risque pas de diffuser ce que je ne veux, ni peut pas vérifier.

Trop d’hypothèses sur les causes sont avancées, pour la plupart données par des autorités « compétentes », mais dont nous ne pouvons dire qu’elles sont le reflet de la réalité.

Certains d’entre vous se rappellent du tragique accident d’ALLINGES en Savoie, des écoliers périrent dans un accident de bus entré en collision avec un train.

Comme pour ce dernier, je fus terriblement touché par l’ampleur du drame qui a une similitude avec celui de PUISSEGUIN.

Dans les deux cas, les voyageurs partaient pour une journée détente.

Comme pour ce dernier, je me sens concerné pour une principale raison, je connais très bien la signalisation ferroviaire et principalement celle des Passages à niveau (PN) à fonctionnement automatique.

Le conducteur du bus fût mis en examen et écroué parce que le fonctionnement du PN était conforme aux installations, et que par conséquence il aurait franchi les barrières alors qu’elles étaient baissées.

Avec des documents et des démonstrations, j’ai démontré que cette accusation était erronée.

Je pris connaissance de l’identité de l’avocat du conducteur du bus et je lui adressais, en total désintéressement mes documents.

Simultanément, j’adressais un courrier à Madame la juge chargée de cette affaire.

Quinze jours plus tard, j’appris par la presse locale que le conducteur était remis en liberté provisoire.

Vous connaissez donc le résultat du procès définitif totalement favorable à cet homme si sévèrement touché.

Là comme ailleurs, de gros intérêts étaient en jeu, il fallait un lampiste.

Mesdames, Messieurs, vous comprendrez peut-être pourquoi je m’attache à ce que mes révélations soient exactes.

Dans ces deux cas, des hommes et des femmes, parents ou amis sont sous le lourd fardeau de la tristesse et de la peine.

Il est légitime, pour le moins de les assurer de notre soutien et de la sincérité des faits.

S’offusquer des remarques d’un citoyens lambda que je suis est pratique commune, ce n’est pas mon cas parce que, par expérience je sais que la logique est un gage de bons résultats.

Mes suggestions ne sont pas irréalisables, peu onéreuses, il suffit seulement de savoir reconnaître qu’elles peuvent protéger d’autres vies.

Si les responsables de cette attitude à mon égard avaient pris soin de vouloir me rencontrer, ils auraient peut-être eu un autre comportement.

Bayard.

PS :

Pour ceux qui ne le savent pas, vous pouvez déposer vos commentaires au-bas de cet article.