Quand une épidémie se propage, le gouvernement trouve systématiquement les bons arguments pour se disculper.
Seulement, voilà, les citoyens se rappellent que le gouvernement n’a pas pris en considération les demandes des services concernés.
Pour l’année 2016, nous apprenons que les services de santé ont été pris de court parce que le virus est apparu très tôt. Absence d’anticipation, non répondent les laboratoires. Le vaccin ne peut être défini trop longtemps en avance parce qu’il est en mutation permanente.
Soit je ne suis pas en mesure d’infirmer cet argument, mais je me pose réellement la question de savoir si ces inoculations massives sont vraiment efficaces.
Rappelons comment notre corps peut être prêt à se défendre contre cet assaillant.
Le vaccin a pour but de nous inoculer le virus atténué de la grippe. Notre corps fabrique son dispositif de défense. Pour cela, il lui faut un certain temps, un temps suffisant pour que le virus de la grippe attaque avant que les soldats de la défense ne soient opérationnels.
On déclare alors que le vaccin n’empêche pas d’être grippé.
Certains patients ne supportent pas ce type de vaccin. La raison principale est que les patients qui ont reçu ce vaccin sont déficients en défense immunitaire, le virus inoculé a donc pris le dessus et s’est développé.
Pourquoi ces incidents sont survenus ?
Les grands groupes pharmaceutiques, et certains médecins ne prennent pas toutes les précautions utiles et notamment la recherche de ces insuffisances immunitaires.
Le profit avant tout.
Comme le souligne un médecin de zone rurale (la campagne), les urgences des hôpitaux sont submergées par l’arrivée de patients, dirigés vers ces urgences parce que certaines zones rurales sont dépourvues de médecins.
Cette remarque, est objective.
La France est-elle un pays dépassé par une démographie inquiétante ?
Pour ma part, j’en suis persuadé depuis bien longtemps. Elle l’est sur de nombreux sujets.
Les autorités gouvernementales jouent sans cesse au jeu stupide de l’autruche.
Demain, certaines « métropoles » dont Bordeaux seront inabordables tant les déplacements même pédestres seront devenus impossibles.
Ce phénomène n’est pas encore à l’ordre du jour à l’aube de nouvelles élections Présidentielles.
Pas un seul des candidats à la Présidentielle n’effleure ce sujet.
Nous savons construire des stades grandioses, des cités du vin, mais pas des hôpitaux équipés de services des urgences capables de recevoir un afflux de victimes du à des problèmes climatiques, des catastrophes ferroviaires ou aériennes.
Faire face à l’imprévisible ce n’est pas une culture française.
Alors les malades ruraux sont acheminés vers ces urgences, les ambulances privées stationnent dans les cours de ces hôpitaux avec à l’intérieur des patients grippés, sans moyens de chauffage sauf celui de laisser tourner le moteur jusqu’à épuisement de carburant.
Que dire de la pollution engendrée par ces pratiques ?
La France dans des conditions aussi dramatique a déjà été confrontée à un problème similaire avec cette fois une canicule qui fit des milliers de victimes.
C’était déjà il y a très longtemps 2003 peut-être mais tout cela est oublié.
Tous les pays reconnaissent que le changement climatique s’accélère, et pourtant que fait-on pour anticiper ?
BAYARD