ARCHIMEDE disait : donnez-moi un point d’appuis et je soulèverai le monde.
Le Politique dit : donnez-moi le pouvoir et je ferai de vous des vassaux.
Les maîtres mots qui caractérisent ces derniers sont l’hypocrisie et l’imposture.
Tout est bon pour gagner la confiance des citoyens et principalement les promesses non tenues.
A l’impossible nul n’est tenu dit-on …voilà un argument qui les conforte.
La nausée vient de ce champ de bataille où tous les coups sont permis. Sans état d’âme on y abandonne les blessés, les mourants et les morts.
Quel qu’en soit le parti, combien de promesses avons-nous entendues ?
Les tractations au sein de la droite (tordue) en sont une piteuse image.
Amis d’un jour, ennemis pour toujours.
Qui aujourd’hui pourrait accorder la confiance aux uns ou aux autres ?
La course à l’investiture est lancée, lequel d’entre eux aura assez de souffle et de roublardise pour tromper 50% d’électeurs ?
Dès les prochaines élections, les bulletins blancs seront pris en compte, c’est certainement un pas en avant, mais à quoi ce pas servira-t-il ?
Pour avoir un réel reflet de la volonté du peuple, il faudrait que, seul le candidat qui aura atteint 50% des inscrits soit élu.
Pendant que cette guerre perdure, la France continue de couler.
Dans un tel climat on oubli de féliciter et d’encourager celles et ceux qui, malgré les difficultés rencontrées continuent de fabriquer en France et exportent avec succès leur savoir-faire.
En France, on s’intéresse principalement aux grosses sociétés tant du point de vue productif que du licenciement, pourtant, quotidiennement de petites entreprises licencient sans qu’aucune information ne nous soit donnée.
Ces petites entreprises ne se délocalisent pas et font preuve de patriotisme, alors pourquoi cette absence de considération ?
Devenir demandeur d’emploi n’arrive pas qu’aux autres !!!
De grâce, messieurs les politiques, cessez vos combats ridicules et ravageurs et mettez vos compétences au secours de notre nation.
Seuls vous ne pouvez rien, donnez-nous de bonnes raisons pour vous écouter et croire en vos prières.
Vous faites la guerre, mais c’est une révolution qui vous détruira.
Bayard.