Les pompes funèbres s'organisent.

Monsieur HOLLANDE, le Président de la République en fonctions, est le <fossoyeur> de la France.

Monsieur SARKOZY ex-Président, est le <sarkofage> qui fait sa réapparition.

Madame Marine Le Pen prépare l’oraison funèbre.

Voilà le cliché de la France que nous pouvons faire aujourd’hui.

Quel spectacle désolant pour l’Europe et le monde tout entier !!!

L’imposture et le mépris, voilà les principaux vecteurs de nos hommes politiques au plus haut niveau.

Sans pudeur et respect pour les citoyens, ils nous inondent de discours insensés, nous rabaissent au rang des débiles mentaux, d’esclaves anéantis par le fardeau des impôts, des loyers aux montants exorbitants, d’une dette qui ne cesse de monter.

Qui d’entre nous peut encore croire que ces politiques pourraient changer ?

Leur comportement est comme leur ADN, unique et non modifiable.

Aujourd’hui, j’aimerais connaître le jugement de ceux qui me riaient au nez quand, en 2008 je disais que la crise perdurerait au moins jusqu’en 2015.

N’en déplaise à ces citoyens si je leur dit qu’aujourd’hui les <trente miséreuses> commencent.

Il faudra attendre au moins 2050 pour que la France retrouve le niveau d’il y a cinquante ans.

Trente années pour détruire, soixante années pour reconstruire.

Cette hypothèse n’est valable que si nous trouvons un Président loyal et déterminé. Certains aujourd’hui regrettent d’avoir congédié Mr DE GAULLE.

Comment pourrait-il en être autrement, le gouvernement donne 40 milliards au patronat et veut réduire ses dépenses de cinquante milliards, soit un total de quatre-vingt-dix milliards. Où trouver cette somme ?

Dans les poches des contribuables, mais comme le nombre de ces derniers va diminuer l’état fouillera dans les poches mieux remplies.

En cascade ces derniers se retrouveront dans la même situation que les plus démunis.

Par cette élimination progressive, demain nous serons tous des gueux.

La trahison des deux Présidents de ces derniers quinquennats est à jamais gravée dans l’esprit de la génération des cinquantenaires.

Que pourront-ils offrir à leurs enfants ? LA MISERE.

Bayard