L’objet de mon article est de vous faire participer à mon enquête.
Par cette image, je vous présente l’objet de mon énigme et vous demande, à l’aide des éléments suivants d’identifier cette plante.
C’est une plante potagère, utilisée comme condiment, de la famille des liliacées, peu recommandable en cas de rendez-vous galant.
Son aspect physique sur cette image n’est pas celui par lequel nous la connaissons.
C’est pour cela que je diligente cette recherche scientifique.
Son aspect est dû, soit à un caprice de la nature, soit aux méfaits de l’homme, prémices d’homicides par imprudence.
Caprice de la nature parce qu’elle a l’aspect de la même plante à l’état sauvage qui affectionne les terres dures.
Méfaits graves que l’homme généralise pour offrir l’exclusivité aux semenciers, en d’autres termes infliger aux plantes comestibles un traitement qui inhibe la reproduction.
En quelque sorte en faire un OGM.
Qui donc à ce jour peut garantir que la consommation de tels aliments n’agit pas sur la reproduction animale ou humaine ?
Alors caprice de la nature ou méfaits de l’homme ?
Comment ai-je obtenu ce spécimen ?
Mon épouse vient de me confier trois caïeux d’une gousse d’ail qui germait, immédiatement mis en terre et repérés avec des bâtonnets pour en connaître le développement.
Je suis curieux de nature et particulièrement avec la nature, je suis également respectueux des traditions et du savoir-faire de mes ancêtres.
Jadis, pour des raisons aussi importantes que pertinentes les unes que les autres, nos anciens prenaient soin de réserver un peu de leur récolte pour ensemencer l’année suivante.
Ils se garantissaient ainsi l’authenticité du produit et surtout la parfaite adaptation à la terre qui recevait les semences.
Des années durant, la France <d’en bas> a survécu à toutes les turpitudes, écartant ainsi le démon du profit et les entourloupettes.
Elle a nourri sans problèmes majeurs toutes les familles même les plus modestes.
Avec la bénédiction de toutes les gouvernances, la corruption a envahi les nouvelles générations.
Place a été cédée à l’égoïsme et à l’indifférence.
L’humanité toute entière est sur la voie de la perdition.