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23 avril 2020 4 23 /04 /avril /2020 19:13

COVID-19. LE MASQUE. Qui…

Qui se cache derrière, quels responsables faut-il protéger ???

Ce virus ne cesse de nous questionner.

Mais qui sont ces parents qui ont ainsi éduqué leurs enfants ?

Ces enfants rois, et ces parents martyrs.

Mais qui sont donc ces hommes politiques qui ont bafoué les valeurs de notre République ?

Les citoyens sont les esclaves des dictateurs patronaux et des politiques.

Le confinement que nous subissons est me semble-t-il nécessaire, mais est-il suffisant pour enrayer la progression du covid-19 ?

Nos éminents Professeurs de la santé n’arrivent pas à maitriser le nombre d’éléments qui le composent. En conséquence tous les espoirs sont pour l’instant voués à l’échec.

Dans cette situation, aucune décision ne peut être certainement validée.

Ce confinement est arrivé trop tard parce que nos politiques ont favorisé cette dernière en maintenant le premier tour des municipales, alors que des voix discordantes retentissaient.

Des mots pour des maux.

Le monde politique a mis en danger la population, parce qu’il savait que la propagation était déjà fulgurante, et ne pouvait pas ignorer les fréquents déplacements de citoyens français vers la Chine, éléments du personnel de nos sociétés implantées dans ce pays.

Ils sont donc responsables du chaos qui plonge notre pays dans une situation que nous ne pourrons redresser avant plusieurs années.

Ce confinement ne devrait pas être assoupli si une détection totale de la population ne peut être faite.

Aujourd’hui, la France compte déjà plus de 20 000 victimes recensées, mais combien réellement ?

La cessation de ce confinement, est prématuré, il est clair que les responsables de notre nation au plus haut sommet, donne une priorité à la politique économique, reléguant la politique de santé au deuxième rang.

Une réflexion peut être basique, mais est-il préférable d’être pauvre et en bonne santé, ou bien riche et malade ?

Les images des journaux télévisés nous montrent que de nombreux rescapés de cet enfer viral, ne seront pas en capacité de reprendre une vie professionnelle normale.

De futurs handicapés que la société aura à sa charge, parce qu’une pension leur sera versée.

Moralement, quel sera leur comportement envers ceux qui auront tardivement réagi ?

N’est-il pas normal que mes compatriotes soient en colère envers tous ceux qui devraient nous dire la vérité.

La prévention est le meilleur remède contre tous les maux sur cette terre, encore faut-il s’en donner la peine.

Cette négligence ne date pas d’aujourd’hui, mais, alors que l’on nous a promis un bon changement, notre pays se trouve relégué aux dernières places de notre planète.

La politique économique de la France est inconcevable, elle a rendu notre pays dépendant de nations qui voulaient dominer la planète.

C’est ainsi que dans le monde médical, nous dépendons totalement du bon vouloir de ces dirigeants étrangers qui n’ont aucun intérêt à nous aider.

Nous manquons de masques, de ventilateurs et, pour ces derniers, une société implantée en France n’a pas été capable de fabriquer du matériel opérationnel.

Que dire de tous ces hôpitaux que nous avons fermés parce que la santé d’un citoyen français n’est pas la priorité.

Il est grand temps d’élaborer une nouvelle politique pour notre pays, nous ne pouvons pas laisser perdurer une telle débâcle.

Le peuple Français se doit d’y réfléchir dès maintenant, le confinement, est peut-être une occasion de combler ce temps pour élaborer peut-être les moyens pacifiques pour résoudre cette énigme.

Tarder, serait préparer un mouvement révolutionnaire aussi destructeur que le covid-19.

Je veux garder une lueur d’espoir car, rien n’est tout blanc ou tout noir.

Bayard.

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22 avril 2020 3 22 /04 /avril /2020 16:01

COVID-19. La Crise et après …

Ce virus, viendra-t-il réveiller les bonnes manières trop vite oubliées ?

Mr le Président est confronté à des problèmes insoupçonnés, c’est toujours le cas quand tout se déroule aisément.

Hors de responsabilités capitales, comme celles d’un chef d’Etat, on peut toujours espérer un peu de clémence, obtenir des appuis souvent injustifiés parce que dans ce monde politique, dans un groupe on serre les coudes.

Peu importe si les coups bas font mal, il y a toujours un remède pour penser les égratignures.

Un chef d’Etat devrait, plus que quiconque, être irréprochable, cependant il est avant tout un être humain avec son tempérament, ses qualités et ses défauts. Il faut avoir une maîtrise de soi qui ne s’invente pas mais que l’on acquiert. C’est valable pour chacun d’entre nous, mais ce n’est pas facile de tricher sans risquer de se faire repérer.

Notre Président semble négliger les raisons pour lesquelles une majorité de citoyens l’indiffèrent. Toutes les phrases blessantes qu’il a adressées à nos compatriotes ont ému le monde laborieux du pays. Des offenses gravées à jamais dans les esprits.

Aujourd’hui, dans cette période exceptionnellement dramatique, tout cela s’amplifie au point de porter un puissant désaveux à l’image d’un Président qui se déclarait être un rassembleur.

Le Président n’a pas souhaité écouter la détresse de tout un peuple qui a un grand besoin de justice sociale et d’écoute.

La voix d’un peuple qui souffre a une particulière résonnance, qui interpelle avec force.

Voilà, déjà bientôt trois années de mandat, durant lesquelles il a préféré traiter les problèmes de l’UE.

Une UE qui vacille sous les coups de bélier du covid-19, le déséquilibre entre les nations constituantes apparait au grand jour, chacun cherche à se protéger au mieux. Fini l’équilibre financier tant souhaité, advienne que pourra, sauvons nos meubles de ce brasier dont aucun membre n’est capable  d’avancer la moindre solution.

Aujourd’hui, Mr le Président, multiplie ses éloges envers tous ceux qu’il a ignorés, ce dévoué service de santé, qui dans des conditions déplorables, tente de sauver des vies humaines au péril de la leur. Il promet une montagne d’améliorations humaines et matérielles, oubliant les promesses faites à ces courageux citoyens, mais également à l’UE concernant la dette de la France.

Monsieur le Président a fait la sourde oreille, il espère maintenant que tout ce monde qui se bat, souffre également de surdité.

Une très forte majorité sait maintenant plus que jamais, qu’il faut se garder de faire confiance à ce monde politique, qui clame à chaque élection qu’il sera différent de ses prédécesseurs.

La crise est très grave, l’histoire est là pour nous rappeler, que chaque siècle en a supporté au moins une.

Personne ne peut imaginer l’ampleur de cette désastreuse crise.

Humaine principalement parce que les pertes de vies ne se limiteront pas aux causes du virus, mais également à la pauvreté qui va croître très rapidement.

Les prémices font déjà leur apparition, violences dans la rue, dans les familles.

Effondrement du nombre d’emplois, donc augmentation du chômage, précarité nutritionnelle, de soins indispensables, de moyens financiers pour se loger,  se nourrir, pour survivre.

Une nation, quel qu’en soit sa façon de gouverner, doit en toute circonstance, être en mesure d’assurer les besoins de sa population.

Faut-il en rire ou en pleurer, je n’ai pas le cœur à le dire, confiné, je ne vois pas le temps passer.

Cet état vient du fait que les informations données par les scientifiques sont sujettes à des mises au point permanentes, ce qui est dit à l’instant présent, n’est plus certaine dans la minute qui suit.

Nous ne pouvons pas en vouloir à tout ce personnel au dévouement exemplaire, leur tâche est si difficile, qu’ils découvrent eux aussi des comportements du virus jamais rencontrés.

Ils ont été trompés par la Chine qui a caché des informations capitales, et menti sur celles qu’elle a communiquées.

Nul ne connaîtra la date du début de la contamination, pour preuve la rapidité de propagation dans cette ville si touchée. Des intérêts importants sont en jeu, il faut démontrer qu’ils dominent le monde et qu’ils ne veulent pas partager le podium avec les US.

Malgré leur superficie territoriale, ils constatent à présent que la démographie galopante gangrène leur économie.

Ils exploitent avec un savoir-faire exceptionnel, la crédulité enfantine des pays occidentaux.

La France, incapable d’assumer ses responsabilités, principalement en matière de santé, achète par millions des masques de protection pour notre personnel soignant, alors que nous avions des fabrications de haute technologie.

Certaines ont cessé leur activité, jetant leur matériel, et, mettant au chômage leurs salariés qualifiés.

Quant au monde politique, nous savons quelle est la principale préoccupation, savoir comment faire pour rebondir sur ce tapis d’embûches qu’ils ont créé.

Une erreur capitale, parmi tant d’autres, c’est d’avoir maintenu la date des élections municipales.

Une partie de poker, il fallait rapidement savoir si le parti majoritaire de Mr le Président obtiendrait une majorité de communes.

Il a créé par cette erreur une situation inextricable, l’impossibilité d’organiser le deuxième tour dans les délais impartis.

Le covid-19, et le confinement tardif ont compliqué la situation. Ce confinement tardif est la conséquence du maintien de la date du premier tour.

Cette erreur, nous en payons déjà la note, par les décès d’une part, mais également financièrement par notre économie qui risque de s’effondrer, par une augmentation de la misère.

Une aggravation des revendications sociales est en voie de préparation, à craindre que ce gouvernement ne multiplie les moyens de répression et provoque cette guerre civile que bon nombre d’entre nous redoute.

Le confinement décidé ne tient pas compte de tous les paramètres, à tel point qu’aujourd’hui nous constatons que le nombre de décès journalier est stable ou en augmentation.

A ce jour, plus de vingt mille sont dénombrés, à cette cadence de 450 personnes au quotidien durant cette année 2020, au 31 décembre, au moins 150 000 concitoyens auront disparu.

Notre Président aurait-il la lucidité pour faire son choix, soit privilégier une politique économique, ou, une politique de santé.

Pour réussir la première, il ne connait pas tous les paramètres, quant à la deuxième il se heurte à ce covid-19 dont personne ne connait la durée de son action.

Aujourd’hui, Monsieur le Président, pouvez-vous nous dire qui sera ce premier de cordée auquel vous aviez fait allusion ?

Comme le précédent, finira-t-il donc l’escalade au fond de l’abîme ?

Pour faire une politique économique, il faudra de la main d’œuvre motivée et en bonne santé, si l’on en croit les souhaits du monde patronal qui réclame déjà le recours massif à des heures supplémentaires, le résultat ne semble  pas apparaître satisfaisant.

Dans mes articles, je fais souvent allusion à cette démographie galopante et à ses graves conséquences.

Aujourd’hui, plus que jamais les faits me donnent raison.

Pour 15 millions de concitoyens, la France à ce jour est incapable de satisfaire la détection du virus et de santé en général, de satisfaire aux besoins en logements, en nourriture, en matière de transport, en matière d’enseignement et bien plus encore.

Est-ce là, le modèle d’une nation exemplaire ?

Nous sommes tous responsables, soit, parce que nous n’avons pas su choisir nos politiques dirigeants, soit parce que nous, citoyens,  n’avons pas su créer une force d’équilibre capable de démontrer que nous étions sur un mauvais chemin.

La France souffre surtout de l’absence de scientifiques et du surplus de décideurs du monde administratif, incapable d’appliquer des attitudes relevant de la logique et du partage des idées.

Toutes nos institutions travaillent en dépit du bon sens, incapables, dans un même service d’appliquer la même disposition, des institutions qui bâclent les dossiers importants, mettant souvent en danger la vie de nos concitoyens.

Nous avons créé une population délinquante mal jugée par faute de lieux de détention.

Toutes ces carences sont tellement nombreuses que je ne pourrais jamais les  énoncer.

L’après covid-19, dont personne ne peut en définir la date, sera une terrible épreuve que nous ne saurons maîtriser.

A craindre un soulèvement populaire, souvent créé par cette impossibilité de trouver un compromis qui ne laissera personne sur le bord du chemin.

Nous n’aurons pas assez de larmes pour pleurer ceux que nous aurons perdus trop tôt.

Nul ne peut quantifier la force de tous ces bénévoles qui œuvrent pour soulager un peu cette misère.

J’espère que ce réveil sera le moins cruel possible et que chacun d’entre nous saura apporter, suivant ses moyens, un peu de cette solidarité qui nous fait défaut.

BAYARD

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19 avril 2020 7 19 /04 /avril /2020 20:05

CESSAC. Covid-19. La protection s’organise.

Conformément aux dispositions gouvernementales préconisées d’équiper de masques de protection tous les citoyens, la mairie de notre commune nous informe de la mise à notre disposition de ces protections.

Ces protections sont disponibles le vendredi 17 avril 2020 de 14 heures à 17 heures à la mairie de la commune.

Nous bénéficions de cette offre grâce à la citoyenneté d’une concitoyenne de notre modeste commune.

Personnellement, j’ai un profond respect et une grande estime pour cette personne, son dévouement n’étonnera pas ceux, qui comme moi ont eu la chance de la rencontrer.

Engagée plusieurs années durant dans le conseil municipal, j’ai pu mesurer ses valeurs humaines et son intéressement à la conduite des projets communaux.

Ce dévouement pour la cause humaine, encore aujourd’hui, elle le met au service de ses concitoyens, alors qu’elle pourrait profiter d’une retraite bien méritée.

Ces masques de protection, elle les créé avec une parfaite maîtrise de son savoir-faire, mais également avec cette passion de vouloir venir en aide sans aucune distinction.

Aujourd’hui encore, elle nous donne une bonne leçon du savoir vivre ensemble.

Elle a rejoint, par ce geste, tous ceux et celles, qui, depuis plusieurs jours se battent jour et nuit contre cet ennemi qui n’épargne personne.

Au péril de leur vie pour de nombreux d’entre eux, pour de multiples raisons,  éloignés de leurs familles, tenaillés par cette épée sur leur tête, d’une contagion possible.

C’est peut-être l’occasion  pour certains d’entre nous de se rappeler que nous sommes tous responsables, victimes vulnérables, de comportements inconscients que nous n’avons pas su maîtriser.

Mon épouse et moi-même, très amicalement, nous te remercions pour cette heureuse initiative et t’adressons nos très sincères félicitations.

Bayard.

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1 avril 2020 3 01 /04 /avril /2020 18:02

La CHAUVE SOURIS …

Un petit garçon, Pierre, confiné chez lui, joue gentiment dans le jardin.

Sa maman condamnée au même régime vaque à ses occupations.

Subitement la porte s’ouvre violemment, le petit Pierre entre précipitamment pour annoncer une terrible nouvelle.

Maman ! Maman ! Je viens d’attraper le coronavirus.

Stupéfaction de la maman ! Mais comment as-tu osé faire cela alors que je t’avais recommandé de n’approcher personne.

Maman, c’est très simple.

Un monsieur chauve me sourit, s’approche de la clôture et me serre la main.

Il était si gentil que je n’ai pas réfléchi.

Après ma surprise, je me suis rappelé ce que tu m’avais dit…

Qu’ai-je donc dit ?

Tu as dit que ce virus est arrivé parce que les Chinois mangeaient des chauves-souris
Mais Pierre, la chauve-souris est un petit animal qui vole particulièrement la nuit.

Maman, ce monsieur chauve est sûrement un gros animal qui ne distingue pas le jour et la nuit.

Maman, dit Pierre, tu es une maman exceptionnelle, je sais que tu aimes le poisson.

Alors vois-tu, en ce 1er avril, tu viens d’attraper le plus gros  de la journée.

Bayard.

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30 mars 2020 1 30 /03 /mars /2020 09:57

LA COMPLAINTE DE MR Le PRESIDENT

Monsieur Gilbert BECAUD chantait :

Et maintenant que vais-je faire !

Mr le Président prendra-il le temps de réfléchir, de mesurer  ses propos afin de ne pas offenser ses concitoyens, notamment, ceux qui à ses yeux sont des riens.

Que compte-t-il faire de ces derniers, humains comme tous les autres.

Le covid-19 les marquera-t-il de cette distinction de bons à rien, seront-ils jugés sommairement et oubliés à leurs souffrances, identiques à celles de ceux qui ont la chance d’être temporairement considérés.

Comment avoir encore confiance après tant de mépris pour ceux qui maintiennent notre patrie, la tête hors de l’eau ?

Comment croire à une résurrection intellectuelle subite, à une prise de conscience que tout être humain a une valeur inestimable et que nul n’a le droit d’y porter atteinte.

Il nous a déclaré que nous étions en guerre contre cet ennemi invisible armé d’une arme, qui pour l’instant est indestructible.

En tant que chef des armées, il ne peut ignorer que l’on ne peut gagner une guerre sans armes et sans soldats expérimentés.

Notre armée, n’est pas dotée de moyens conventionnels, ceux qui sont nos vrais soldats actuels, ont pour armes leurs valeurs intellectuelles, et pour uniformes les blouses blanches.

Voilà leurs tenues camouflées, avec lesquelles ils se protègent tant bien que mal contre les attaques du covid-19,  épuisés par des combats permanents et dépourvus de protections efficaces. Cruellement, à chaque instant, ils sont aux premières lignes, harassés par l’obsession de tomber sous les coups du virus, et, d’entrainer avec eux épouses et enfants, proches, connus et inconnus.

En un mot toute la population des pays de ce monde.

Mr le Président ne pourra mesurer la détresse s’il n’a pas dans son entourage un être humain soumis à cet ennemi.

Mr le Président, je suis conscient que nous sommes tous responsables de l’état de notre pays, que, nous simples citoyens aurions dû, avec plus de pugnacité, soutenir les revendications sociales de tous ces nombreux citoyens abandonnés par ce monde politique depuis plusieurs décennies.

Vous n’avez pas su mesurer l’importance de ces diverses revendications, mais pire encore, vous les avez réprimées avec une exagération brutale.

Quant à nous citoyen lambda, nous n’avons pas suffisamment soutenu, ces <Gilets jaunes>, ce monde médical exemplaire qui, aujourd’hui se trouve dépourvu de moyens humains, matériels et de salaires rémunérateurs, au regard des sacrifices quotidiens qu’ils déploient.

Certains vont jusqu’à penser que ce covid-19, par sa prolongation d’effets, pourrait vous servir, ainsi que les intérêts du monde politique et financier.

Ils font allusion à cette montée démographique, qui, aggrave la situation.

Comment peut-on imaginer, que, des gouvernements successifs n’ont pas remarqué que notre monde médical s’affaiblissait en nombre et en moyens, que la production et l’élevage de notre pays ne suffirait pas à satisfaire nos besoins ?

Parce que, le temps perdu ne se rattrape jamais, < TOUT CE TEMPS> sera insuffisant pour combler le retard accumulé dans tous les domaines.

Tous les gouvernements, depuis au moins trente ans ont négligé les augmentations des salaires pour favoriser les dividendes des actionnaires, des augmentations injustifiées des produits de consommation de première nécessité.

Ces dispositions ont engendré une perte cumulée des salaires d’au moins 30%.

Il aurait fallu pour éviter cela que les gouvernements exigent le modique effort d’augmentation de 1%.

Comment notre Président peut-il espérer la disparition instantanée de la totale <<indifférence> de nos concitoyens ?

 

Pour répondre à la question : Que vais-je faire ?

En un premier temps, branche par branche, réunir tous ceux qui vous ferons part de leurs doléances, des besoins immédiats et impératifs, car cette <Guerre> ainsi par vous nommée n’est pas prête à se terminer.

Il est à craindre que des milliers d’entre nous vont mourir, et, que dans ce domaine également vous n’aurez pas de solution autre que les fosses communes.

Notre République et notre Constitution sont en danger parce qu’elles s’étiolent progressivement.

DE TOUT CE TEMPS.

Nous avons tous tendance à croire que nous avons beaucoup de temps devant nous, c’est l’une de nos plus grandes erreurs, parce que nous ne pouvons pas estimer justement un acte que nous ne maîtrisons qu’intellectuellement.

Malheureusement, il faut impérativement avoir d’autres moyens, matériels et humains, et la conviction que nous devons atteindre ce but malgré les embûches.

Ces dernières font l’objet de notre comportement, d’une mauvaise analyse, du refus d’admettre que nous avons fait fausse route, qu’il faut considérer comme un bienfait et non comme une humiliation.

Certaines fautes sont graves, cette pénurie médicale en est une énorme illustration.

De nombreux hôpitaux fermaient partiellement ou totalement, alors que la population ne cesse d’augmenter.

Parmi cette population, plusieurs millions dénombrés dans notre pays, les travailleurs en état de précarité qui n’arrivent pas à se loger, se nourrir convenablement et se soigner correctement.

Tous ces êtres humains que la terre entière a négligés et qui seront la proie facile pour cet ennemi le covid-19.

Qui ira retirer ces corps sans vie de tous ces ghettos, de ces cités gangrenées par la drogue, l’alcool et la prostitution.

Comment les familles pourront-elles leur rendre hommage, si nos institutions sont incapables de les identifier.

Par ce simple sujet, nous constatons que tous ces retards accumulés comblent au centuple ce temps qui nous paraissait si long.

Que sera ma vie.

Quel qu’en soit notre rang dans la hiérarchie sociale, j’ai grand peine à croire que nous puissions rester indifférents à tous ces problèmes de relations humaines.

Nous ne pouvons pas tous avoir un cœur généreux ou un cœur de pierre, la relation humaine est peut-être la minuscule différence que nous sépare d’avec les animaux.

Cependant, je me demande souvent si elle existe, car dans de nombreux domaines, et, particulièrement celui-là, nous avons beaucoup à recevoir.

Peut-on honnêtement penser qu’un personnage politique ne soit pas l’un ou l’autre de ces citoyens ?

Mr le Président, je crois honnêtement  que l’examen de notre conscience, mérite que nous lui accordions un peu de ce temps, afin, que par négligence, nous ne laissions personne au bord du chemin.

Il est toujours temps de s’améliorer, premièrement pour une satisfaction personnelle, en accordant un peu plus de justice et d’humanité à notre environnement.

Le retour a une vie normale se fera attendre, des efforts importants seront nécessaires, ils ne seront fructueux que si et seulement si nos institutions reprennent assidûment et honnêtement leur activité.

Si cet objectif n’est pas atteint, alors, la France deviendra l’un de ces fardeaux qui pourrissent la société tout entière.

 

DE  TOUS  CES  GENS  QUI  M’INDIFFERENT  QUI <DESESPERENT>

Qui sont donc ces premiers, tous ceux que vous avez directement humiliés par vos propos blessants, mais, par voie de conséquence, tous ceux qui se trouvaient sans la même situation.

Que diriez-vous, si aujourd’hui, dans la situation où se trouve notre patrie, un citoyen vous dirait < il suffit de traverser la rue> pour trouver un hôpital totalement équipé du matériel, et, suffisamment doté de  personnel ?

Et, demain, comment trouvera-t-on des emplois, quand, cette <Guerre> nous donnera un peu de répit, dont personne n’est capable de certifier que le traité de paix sera définitif ?

Comment croire que cette paix sera mondiale, quand nous constatons que tous les pays de cette planète seront envahis à des dates échelonnées sur plusieurs mois et peut-être des années ?

Comment se prémunir sur un retour du virus dans quelques mois si les échanges entre pays reprennent ?

Est-ce bien de faire appel à la Chine qui aujourd’hui enregistre de nouveaux cas ?

De recevoir des masques dont certains ne sont opérationnels ?

Ne serait-il pas urgent de repenser à un autre mode de vie en s’appuyant sur des bases qui ont fait leurs preuves ?

Mr le Président aurez-vous la force et le courage de proposer une régulation des naissances pour rééquilibrer notre population ?

Est-ce bien logique de laisser naître des enfants qui seront frappé par le covid-19 ou tout autre de ce genre, sans que l’on puisse leur garantir des soins indispensables ?

N’est-ce point là une mise en danger de la vie d’autrui ?

En l’état actuel de la situation, les scientifiques ne peuvent pas se prononcer sur la possibilité de voir ce dernier s’installer ou pas, latent, dans notre organisme ?

Qui peut certifier qu’une réapparition dans les mois qui viennent n’est pas possible ?

Oui, nombreux sont ceux qui vous indiffèrent, mes plus nombreux sont ceux <DESESPERENT>.

Que deviendront tous ceux qui dirigent une petite ou moyenne entreprise ?

Tous ceux qui perdront leur emploi parce que celles ci-dessus seront en liquidation judiciaire ?

Qu’avez-vous prévu pour soutenir  toute cette population ?

Comment réussir à conserver l’intégralité de L’EU, alors que les pays du nord sont en opposition avec ceux du sud ?

La Grande Bretagne aurait elle anticipé cet éclatement ?

Oui la population est inquiète parce que des dispositions prises aujourd’hui seront détruites demain, parce que les citoyens français n’arrivent pas à mettre de côté leur égoïsme ?

On interdit aujourd’hui, on aménage demain parce que certains ne voient que leurs intérêts.

Ceci dans des domaines dont on peut se dispenser sans mettre en péril la santé d’autrui.

Dans de telles situations, la cohésion est indispensable, ce que vous préconisez, nous assistons à des décisions contradictoires, ce qui nous incite à croire que nos institutions sont vraiment incapables de tenir le cap.

Dans de telles conditions, au réveil, je crains le pire car il faudra très rapidement traiter honnêtement, les sujets des <Gilets Jaunes> et toutes les revendications de cette population active qui fait tourner un pays.

Chers concitoyens.

Si le cœur vous en dit, écoutez la chanson de Gilbert BECAUD :

Et maintenant que vais-je faire ?

C’est la question que je me pose dans une mauvaise hypothèse.

 Bayard

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27 mars 2020 5 27 /03 /mars /2020 19:16

TARGON. Groupe de Médecine Générale.

Nous savons tous que le covid-19 est notre principale préoccupation depuis déjà de nombreux jours.

Le monde médical est sollicité au-delà des possibilités humaines.

Nous leur devons toutes nos félicitations et remerciements, car ils mettent en danger leurs vies et celle de leurs proches. Les trop nombreuses contaminations sont malheureusement dues à des décisions politiques injustifiées. Chacun d’entre nous a le droit de juger cette attitude qui jette notre France dans un profond désarroi.

Avec les moyens du bord, c’est-à-dire rien ou presque, à chaque instant tout ce personnel soignant et personnel auxiliaire, multiplient les heures de travail, avec pour handicap ce stress de devenir un sujet contaminant.

Je tiens par cet article à saluer l’heureuse initiative du groupement médical de TARGON qui a mis en place un service d’aide psychologique de ses patients.

Certains diront peut-être que ce n’est pas suffisant, avec mon épouse, nous saluons fort cette excellente idée.

S’informer de notre état de santé en général, et, de l’état du moral surtout quand, pour diverses raisons, nous pourrions être traumatisés.

Cette initiative, montre bien, qu’au-delà de l’aspect physique il y a cette part humaine dominante.

De quoi sera fait demain, nul ne le sait, nous pourrions être parmi les porteurs de cet ennemi invisible et redoutable.

Pour aider de notre mieux ce monde médical, il nous faut respecter les recommandations de confinement, car il vaut mieux se résigner pour quelques jours plus tôt que de basculer dans cet au-delà d’où personne ne revient.

MERCI ENCORE POUR CE QUE VOUS FAITES. NOUS SOUHAITERIONS ÊTRE A VOS

CÔTES POUR SOUTENIR VOS LEGITIMES REVENDICATIONS.

Bayard.

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27 mars 2020 5 27 /03 /mars /2020 17:16

L’Indiscipline et la mise en danger de la vie d’autrui.

Je constate avec stupéfaction que les recommandations préconisées par le gouvernement sont fréquemment bafouées.

Ce fait semble plus fréquent en milieu urbain qu’en milieu rural, cela est dû au nombre des habitants, plus dense en ce premier lieu.

La propagation du virus ne peut être exactement mesurée parce que la détection n’est pas systématique. Nous sommes peut-être porteurs de cet ennemi qui, semble-t-il n’épargne personne.

Les vastes zones cultivées  en vignes dans mon secteur de l’Entre-Deux-Mers permettent de déroger facilement à ces préconisations. Je ne sais pas si ce type de travaux  est autorisé, car  ces travaux sont pratiqués en tenant compte des impératifs des saisons.

Je vois quotidiennement du personnel travaillant dans les nombreuses parcelles, la majeure partie appartient à des sociétés locales, mais également d’ailleurs, composées de main d’œuvre étrangère.

Si sur le terrain, elles respectent les distances préconisées, elles ne portent pas de masques, contamination possible mais pas certaine.

Durant le transport dans des véhicules utilitaires aménagés pour transporter le personnel, ce n’est pas le cas, car entassés comme des sardines dans une boîte, sans aucune protection.

Qui donc est chargé de l’application des recommandations gouvernementales ?

Je blâme ces comportements irresponsables.

Ces employeurs ignorent sûrement les risques pris en matière de responsabilités.

Ont-ils conscience qu’ils mettent en danger la vie d’autrui, que cet acte est sévèrement puni par la loi, fortes amendes et peines de prison ferme.

Au-delà de ces actions juridiques, il y a notre responsabilité humaine totalement absente dans leurs têtes, un être humain est une valeur inestimable que nul n’a le droit de détruire.

J’espère donc que ces personnages indélicats seront rapidement identifiés et sévèrement punis.

BAYARD.

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11 mars 2020 3 11 /03 /mars /2020 18:04

CESSAC. DISCRIMINATION ABUSIVE.

 

Certains propos de mes articles réveillent les susceptibilités de mes lecteurs et sont considérés comme provocateurs.

Cela est le résultat de mon attachement à la démocratie, à la liberté de penser et de s’exprimer.

Les éléments édités sur mes articles, sont analysés et étayés par des pièces à conviction.

Je ne prends aucun risque de démenti, parce que je suis fidèle aux règles que mes parents et mon entourage m’ont transmises. L’arme que je combats depuis toujours n’est autre que L’INJUSTICE.

Comme chacun d’entre nous certaines des lois ne correspondent pas à la logique et encore moins aux résultats espérés. Cependant en tant que citoyen je respecte les termes des textes qui me sont fixés.

SELON QUE VOUS SOYEZ ? <RICHE> ou <MISERABLE>, LA JUSTICE VOUS FERA BLANC OU NOIR.

Cette citation revient souvent à mon esprit, car elle résume le comportement de ceux qui devraient nous juger avec la même égalité.

Quand, à cela vient s’ajouter la discrimination idiote, cela devient un acte d’irresponsabilité.

Dans quelques jours, le 15 mars 2020, un nouveau CM va être élu dans toutes les communes de France.

Pour la nôtre, Madame le maire sortante, est tête de liste pour un deuxième mandat.

Au mois de décembre 2019, ce n’est pas très ancien, Madame le maire, m’interdit de bruler l’arbre que la tempête venait de déraciner.

Pour ce faire, elle fait application d’une loi sur l’environnement qui interdit cette pratique, tout en me menaçant d’une amende de 450 €.

Respectueux de l’environnement et de l’application de cette loi, j’ai cessé cette incinération.

A ce jour, depuis lors, j’ai constaté sur le territoire de la commune que plusieurs concitoyens pratiquaient cette incinération.

Alors naïvement, j’ai pensé que cette interdiction était levée.

Dans cette hypothèse, je constate que Madame le Maire a égaré mon numéro de téléphone, à moins que j’aie la chance de bénéficier d’une attention particulière.

C’est bien de cela, cette attention particulière, <La Discrimination>.

Alors je me pose la question dois-je reconduire Madame le Maire pour nouveau mandat ?

Je crois que c’est la meilleure question qu’il faut se poser quand un choix aussi important est à faire.

Tardivement peut-être, serais-je informé d’une autorisation de reprendre la destruction des déchets de jardin par incinération ?

J’aimerai savoir, comment, le premier magistrat de la commune va faire pour interdire aux propriétaires viticulteurs de ne pas brûler les ceps de vigne arrachés pour renouvellement.

Depuis des millénaires, le feu, a été un élément prépondérant pour l’être humain.

Quand ce dernier a découvert, il a immédiatement été utilisé pour se protéger des attaques des animaux dangereux pour sa vie.

Aujourd’hui, cet animal se nomme injustice, et celui-là, je ne suis pas certain que le feu puisse le détruire.

Dans ce doute, abstient-toi

BAYARD.

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8 mars 2020 7 08 /03 /mars /2020 15:12

CESSAC. Premier tour des élections municipales.

 Aujourd’hui, à huit jours du premier tour des élections municipales, et, à ma connaissance, une seule liste est proposée aux citoyens inscrits sur la liste électorale de la Commune de CESSAC.

Dans les groupes, quels qu’ils soient, il est coutume de dire <on ne change pas une équipe qui gagne>.

J’ai beau ajuster mes lunettes, je crois seulement reconnaître, deux des éléments du conseil municipal sortant. C’est surprenant pour un groupe qui se targue de bons résultats, pourquoi cette érosion ?

Tout aussi surprenant, qu’à une date aussi rapprochée du premier tour, une deuxième liste ne nous soit pas proposée. Les autochtones de cette bourgade, auraient-ils analysé la situation avec clairvoyance et jugé la situation peu envieuse ?

Chaque commune a son histoire, de temps à autre, il est bon d’en rappeler certains épisodes.

Voilà vingt années que nous résidons dans cette commune, par hasard des choses peut-être, mais également par son site <les lacs de LAUBESC>.

Ce dernier a fait connaître le nom de la commune où il se situe <CESSAC>, car, au moins 90% de ceux qui l’on fréquenté ignoraient son identité.

Monsieur CARBONET, premier magistrat de l’époque avec son équipe municipale (1996-2002), et, une majorité de Cessacais ont assidûment participé à la construction du bâtiment d’accueil et de restauration, à une plage ensablée très appréciée par les enfants et leurs parents.

Un moyen de transport attrayant permettait l’acheminement des visiteurs depuis l’entrée du site, jusqu’à la plage. Le deuxième lac était affecté à la pêche et aux nombreux concours.

Un ponton, en aval de la plage permettait un peu de navigation.

A cette époque, ce site grandiose pour cette modeste commune, était parfaitement entretenu, pour la plus sincère admiration des citoyens et des visiteurs.

Monsieur CARBONET, fut réélu pour le mandat de 2002 à 2008, un mandat de trop, durant lequel il fut confronté à des problèmes de pérennité du site et à un différend avec la Préfecture de la Gironde. Le lac aval, n’avait pas reçu de cette institution l’autorisation de construction.

En 2008, Monsieur Grousset fut élu maire de Cessac, malgré l’opposition farouche de certains citoyens de la commune.

Un climat de règlement de comptes se déclarait à mes yeux, avec l’émergence visuelle des nombreux clans de la population.

Durant ce mandat, j’ai assisté à plus de 90% des réunions de ce conseil, car j’avais à cœur de m’intégrer utilement.

Cela me permet aujourd’hui de dire qu’à l’exception du dossier et travaux d’aménagement de sécurité sur la RD 236 (et non la RN 236) au bourg et au lieu-dit Redon, toutes les autres réalisations ont été instruites par Mr Grousset et son conseil municipal.

Cette réalisation avait été évoquée lors des réunions du CM, mais non retenue parce que la majorité était contre.

La raison principale évoquée était que ces aménagements n’apporteraient aucun résultat positif, et entraîneraient le mécontentement de la population utilisant ce trajet.

Il lui fut préféré l’aménagement d’un arrêt de bus scolaire avec son abri, car des enfants du Liotin et de Redon se rendaient au collège de RAUZAN.

Durant ce mandat, comme dans celui qui se termine, un évènement tragique se produit, et deux démissions diminuèrent  l’effectif du CM.

Un acte traumatisant fut également vécu, l’assèchement du lac aval, ordonné par la Préfecture de la Gironde pour un danger possible dû à la rupture de la digue côté déversoir.

Cette amputation de ce site fut très mal vécue par la population locale.

Fin de ce mandat en 2014.

Pour le mandat 2014 à 2020, deux listes sont en présence, vous l’aurez deviné, totalement opposées, pour raison la guerre des clans.

Une liste conduite par le maire sortant et une autre présentée par Monsieur HAMOIR, exploitant des terres du château de LAUBESC surplombant le site du même nom.

La liste de ce dernier remporta cette élection.

Pour moi cette élection est une trompe l’œil, car, quelques mois plus tard, Mr HAMOIR démissionne pour favoriser l’élection de sa première  adjointe au poste Maire.

Le motif évoqué par Mr HAMOIR, était à mes yeux peu crédible,
Cette nomination permettait à la nouvelle élue de savourer la rancœur personnelle affichée à l’égard de Mr Grousset, maire sortant. Il est regrettable que des affaires privées viennent perturber la vie communale des citoyens.

La liste constituée pour le mandat 2020/2026, présage une répétition du précédent schéma.

L’avenir nous éclairera sur la valeur des intentions de cette équipe, il serait regrettable que ces candidates et candidats soient profondément déçus.

Pour ce qui me concerne, je ne participerai pas à ce scrutin, parce que je ne sais pas faire un choix de personnes que je n’ai jamais rencontrées. Je me garderai donc de juger de leur capacité à déterminer ce qui est bon ou mauvais pour la commune de CESSAC.

Avant de conclure, j’espère avoir la surprise de voir naître une deuxième liste avant ou entre les deux tours, c’est une possibilité pour les communes de cette taille.

Bayard.

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4 mars 2020 3 04 /03 /mars /2020 17:09

 

 

NOTRE PAIN QUOTIDIEN. . .

Comme le colibri, nous faisons un petit geste pour la planète.

Certes cela paraît bien insignifiant quand on voit la désinvolture qui nous environne.

Notre pauvre planète fléchit sous le terrible fardeau des modifications structurelles occasionnées par la débordante accélération des nouvelles pratiques.

A tout instant, souvent inconsciemment, nous blessons cette terre nourricière, joyau de cet environnement aux multiples facettes.

Nous avons peine à constater que tous ceux qui nous reprochent nos comportements, sont les premiers destructeurs.

Notre pays est incapable de maitriser les décisions prises dans la précipitation, parce que les enjeux financiers aveuglent ces décideurs.

Il faut nous dit-on favoriser les circuits courts, pour ce faire, il faudrait garder ce lien ancestral, jadis gage de logiques réflexions.

Nous avons la chance de découvrir des âmes capables de maintenir les traditionnelles méthodes de production de ces produits que l’on nous recommande de consommer, pour une hygiène de vie satisfaisante.

La disparition dans nos campagnes de ces artisans tels que les boulangers, a transformé nos habitudes, notamment celle d’aller acheter le pain chez notre boulanger.

Les industriels ont sauté sur l’occasion pour créer des grands centres de fabrication de cette denrée pratiquement indispensable qu’est le pain.

Longtemps, nous étions les plus gros mangeurs de pain du monde avec plus d’une centaine de kilogrammes par an et par personne.

Aujourd’hui, de nombreux concitoyens ne mangent plus de pain.

Une de ces âmes bienfaisantes, cultivent ces céréales, les conditionnent en farines succulentes, qu’il s’agisse du blé, du seigle, de l’épeautre, ou du petit épeautre, une culture BIO particulièrement règlementée et contrôlée.

Ce dernier est vraiment particulier par son goût et son parfum, mais surtout par ses qualités nutritives.

Il est devenu notre préféré.

Certes, il faut, comme il se dit, mettre la main à la pâte, contrainte, mais quel bonheur quand il sort de cuisson.

Mais qui donc s’intéresse à ceux qui subissent les contraintes climatiques de production de ces céréales ?

Cette année, la majorité des producteurs va souffrir de ces périodes longuement pluvieuses qui ont détruit leurs semailles d’automne, et, qu’ils ne pourront compenser par celles du printemps.

Les variétés sont exigeantes, elles n’admettent pas certaines contraintes, notamment la composition des sols qui les reçoivent.

Des situations frustrantes pour ces amoureux de la nature et du travail bien fait.

Religieusement, on nous dit : Donnez-nous notre pain quotidien …

A l’impossible nul n’est tenu, mais toutes ces belles paroles n’apportent pas un remède à tous ces caprices de la nature et de ses habitants.

Force est de constater que nous soyons de fervents protecteurs de la nature ou pas, cette dernière n’épargne personne.

Dans l’ombre, nombreux sont encore, en des lieux reculés, qui pratiquent les cultures à la méthode ancestrale, car sans avoir ce label BIO, ils savent amender leurs terres avec des produits naturels.

Durant des siècles, ces producteurs réservaient de leurs graines pour les futures semailles, procédé qui a fait ses preuves et dont le rendement égalait le présent.

Ils savaient que les plantes avaient des réactions semblables à celles des humains, à savoir que nous préférons notre territoire à tout autre inconnu.

Ces plantes savent profiter de cet avantage, parce qu’elles connaissent la qualité des nutriments qu’elles absorbent, nutriments qui protègent des maladies.

Aujourd’hui, dans ce domaine de l’agriculture, les producteurs sont sous la contrainte des pouvoirs publics, incapables de s’opposer aux producteurs de chimie destructrice, de directives incohérentes de l’UE.

La nature, réagit avec rage, inonde terres, villes et villages, au gré de ses mouvements d’humeur, plongeant les plus vulnérables dans un chaos de souffrances.

Personne ne peut aujourd’hui prévenir l’avenir.

Les élections municipales, sont en cours de préparation. Comme chaque fois à cette période tous les programmes s’orientent principalement vers un thème. En 2020, l’écologie et donc la protection de la planète figurent en lettres capitales.

Les annonces, aussi saugrenues les unes que les autres, transportent les citoyens vers un avenir de rêve.

On n’hésitera pas à démolir des habitations récentes jugées en zone dangereuse. Force est de constater toujours cette incohérence dans les décisions et les actes.

Que dira-t-on quand la métropole bordelaise sera noyée sous les eaux, que des morts par milliers seront acheminés vers l’estuaire, vers l’océan.

Comment les familles pourront-elles faire leur deuil sans savoir si leurs proches sont véritablement décédés.

Une chose est certaine, pour ces chers disparus, plus besoin du pain quotidien.

Mais tous ces candidats, n’ont aucune idée du comment faire pour réguler cette procréation galopante qui met en péril l’équilibre des populations, pas davantage pour améliorer les déplacements indispensables pour produire ou pour enseigner.

Ce monde imaginaire dont ils cherchent à nous faire rêver n’existera jamais.

Bayard.

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