LA TRAHISON.

LA CRISE VOULUE

Au siècle dernier, nos grand- parents et parents ont vécu les atrocités de deux guerres, laissant derrière elles le chaos que nous savons.

Après la deuxième guerre, armés de courage et de détermination, tous les citoyens se sont mis à reconstruire le pays.

Ils n'ont pas compté le temps passé et les sacrifices qu'ils ont du faire pour réhabiliter notre belle FRANCE.

Ils en ont fait un pays prospère, modèle d'acquis sociaux et de valeurs morales.

Toutes ces années de privations ont forgé un moral d'acier, un esprit de compétition et une solidarité sans faille. Exception à cela, quelques profiteurs indélicats enrichis frauduleusement.

Comme dans un corps humain, ces parasites se sont multipliés, détruisant insensiblement ce corps anesthésié par les beaux discours et la multiplication de tentations périlleuses.

Une nouvelle guerre est née, plus moderne et sans pitié, un virus volontairement infiltré, destructeur de l'esprit et du cerveau.

Personne ne saura compter les morts dus à cette guerre, parce que cette mort n'est pas toujours physique, mais certainement psychologique.

Aujourd'hui, le résultat est là, et nous pouvons en constater les dégâts.

Ce virus infiltré est connu de longue date, <Argent> il se nomme et trop souvent qualifié de facile et de sale.

Bien plus sournois et efficace que le SIDA il n'épargnera personne parce que la recherche du médicament n'est ni envisagée ni souhaitée.

Les premières victimes seront alors les pauvres et tous ceux qui, par leur travail nourrissent inconsciemment ces innombrables larves.

L'optimisme affiché par nos dirigeants politiques engendre le mensonge et, par ce biai la corruption en tous genres.

Ce virus, comme la drogue inhibe nos facultés à penser, à réfléchir, à analyser.

Tout est sujet à l'intéressement rapide et immédiat.

Tous nos services sont déconnectés de la réalité, l'enseignement, la justice, la police, les médiats et surtout cette jeunesse qui refuse la vérité.

Nous ne pouvons plus dire demain il sera trop tard, car demain c'était déjà hier.

Qui ou quoi pourra maintenant motiver la foule pour de nouveaux efforts, aura-t-elle encore la force de le supporter?

Qui avait raison d'approuver ou de refuser la construction de l'Europe d'aujourd'hui?

Qui avait raison de choisir ou de refuser la monnaie unique?

Que vaudra la monnaie de la FRANCE, pays dont l'endettement fait frémir, si demain il faut revenir en arrière?

Qui acceptera docilement d'abandonner son confort et la technologie avancée?

Que pourrons-nous communiquer aux générations futures, le savoir de chacun s'amenuise de jour en jour, l'enseignement tâtonne et se désagrège.

Mesdames et Messieurs les Dirigeants cessez vos mensonges et affichez un peu d'humilité et de dignité si ce n'est trop vous demander.

Y A-T-IL ENCORE UNE PLACE POUR LA SOLIDARITE DANS NOTRE PAYS?