Florence CASSEZ. Le soulagement.

Cette affaire a touché le cœur de nombreux compatriotes. Tous ceux qui ont des enfants de tout âge ne sont pas restés insensibles à ce drame. Je me réjouis de ce dénouement heureux, car malgré son courage et sa force de combat, elle doit savourer le retour auprès de sa famille qui l’a si bien soutenue. La raison des hommes dignes de comportements justes et humains prévaut toujours quand il y va de la dignité de l’être humain.

Je lui adresse mes meilleurs vœux pour une reconstruction rapide et durable.

Ceci nous montre encore une fois qu’il y a un danger permanent à être au mauvais moment et au mauvais endroit. Que l’amour est aveugle et qu’il y a quelque part un prédateur qui nous guette. Nul besoin d’associer cette histoire à deux être de nationalité différente, ce comportement est fréquemment utilisé sur notre sol, l’histoire en est le témoin.

Je me réjouis de la joie de ses parents, de ses amis, et remercie tous ceux qui ont contribué à sa libération. La démocratie s’est encore affirmée comme étant la base essentielle relationnelle. Au-delà de ce drame personnel, il faut se réjouir de voir ce pays retrouver sa dignité.

Les migrations de personnes ont toujours laissé de mauvaises traces, ce qui doit nous conduire à une vigilance accrue.

Il n’en reste pas moins vrai que la fibre maternelle ne résout pas toujours les problèmes et qu’il est parfois difficile de s’ingérer dans la vie de nos enfants surtout quand ils ont atteint la majorité.

Souhaitons seulement que la justice de ce pays continue sur cette voie et condamne les instigateurs de cette machination à des peines aussi dures que celle de Florence.

Que la raison reprenne tous nos esprits et nous permette de construire un monde meilleur.