5 mai 2008
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09:40
C'est bien du discours de politique générale de Monsieur Le PRESIDENT de la République que je veux évoquer.
J' ai jugé nécessaire de l'écouter dans son intégralité et d'attendre plusieurs jours avant de porter un jugement.
Je suis tellement inquiet pour le devenir de la FRANCE, pour le sort qui est réservé aux générations futures que je ne peux me résigner aux seuls arguments commentés par la presse toutes tendances confondues.
Monsieur le Président, omniprésent dans son monologue tient tous les rôles: Président de la Cour, Accusé, Avocat de la défense, Avocat général, tous sauf celui des Jurés assis devant le petit écran.
Il plaide coupable, reconnait et avoue qu'il a commis des erreurs.
Cette reconnaissance aurait une valeur circonstantielle s'il en tirait une positive leçon.
Rien de tout cela, préférant persister aveuglément et signer.
Voila en quoi réside mon inquiétude.
QUE SERA LA FRANCE à la fin du quinquennat?
Il dit avoir engagé le grand chantier des réformes, une année écoulée et la FRANCE besogneuse se retrouve embourbée dans ce chantier désorganisé.
La mouche de LA FONTAINE s'agite désespérément et rien n'avance.
Nous avons l'impression de tenter un saut en avant de cent ans en arrière.
Les réformes déjà précédemment engagées pour la SNCF soulèvent la réprobation de la Cour des Comptes en matière de désendettement. Elle déclare: l'Etat à tout fait pour ne pas avoir sa dette dans ses comptes.
C'est sûrement ainsi que seront traités tous les problèmes relevant de ce chantier de réformes.
Le nivellement vers le bas apporte des mécontentements, en sont pour preuves les sondages (66% des 11 millions des jurés) toutes idées politiques confondues.
J'estime à ce jour une revalorisation des plus bas salaires de 20% à 25% pour maintenir la tête hors de l'eau de tous ceux qui ont un salaire moyen de 1300€ mensuels.
Pour des raisons inavouables, tous les gouvernements ont laissé dériver à la hausse les prix à la consommation, les loyers, le nombre et le montant des taxes et impôts à l'échelon national ou régional, bloquant par ailleurs les augmentations des salaires.
Certains pays européens sont cités en exemple, les uns ont réussi à réduire le chômage, d'autres on relancé la croissance ou la consommation.
Ils ont su guérir leurs maux. Le mal Français n'est-il pas une spécificité de l'hexagone?
Eradiquer un virus est à la portée de ceux qui veulent s'en donner les moyens, faut-il encore savoir le détecter et le reconnaitre.
Savons-nous vraiment de quoi souffre la FRANCE?
Savons-nous qui est porteur du virus et propagateur épidémique?
Le virus Français serait-il un virus mutant?
La France a-t-elle la VOLONTE et les MOYENS d'enrayer cette épidémie?
Avons-nous constitué la meilleure équipe médicale?
Peut-on encore croire après 30 années d'actions infructueuses que la thérapeutique française est la mieux adaptée?
Prolonger la durée des versements des cotisations sociales et reculer la limite d'âge de départ en retraite, n'est-ce pas là le meilleur moyen pour exclure du monde du travail les générations futures?
Comment admettre cette hypothèse quand on constate que les quiquagénaires sont remerciés sans ménagements par le patronat?
Comment ne pas remarquer que les générations futures ne pourront plus prétendre à une retraite à taux plein à l'âge de 60ans et même à 65 ans?
Qui peut penser qu'un Président de la République peut s'imposer dans le fonctionnement d'une entreprise privée ou dans la dérèglementation d'un pays membre?
En conclusion, je dis qu'il y a urgence à se consacrer à la recherche du médicament 100% français si l'on ne veut pas dans un proche avenir être confrontés à des émeutes plurielles.
La FRANCE VA TRES MAL AUJOURD'HUI.
Ce qui me préoccupe c'est de savoir comment elle ira DEMAIN si...
J' ai jugé nécessaire de l'écouter dans son intégralité et d'attendre plusieurs jours avant de porter un jugement.
Je suis tellement inquiet pour le devenir de la FRANCE, pour le sort qui est réservé aux générations futures que je ne peux me résigner aux seuls arguments commentés par la presse toutes tendances confondues.
Monsieur le Président, omniprésent dans son monologue tient tous les rôles: Président de la Cour, Accusé, Avocat de la défense, Avocat général, tous sauf celui des Jurés assis devant le petit écran.
Il plaide coupable, reconnait et avoue qu'il a commis des erreurs.
Cette reconnaissance aurait une valeur circonstantielle s'il en tirait une positive leçon.
Rien de tout cela, préférant persister aveuglément et signer.
Voila en quoi réside mon inquiétude.
QUE SERA LA FRANCE à la fin du quinquennat?
Il dit avoir engagé le grand chantier des réformes, une année écoulée et la FRANCE besogneuse se retrouve embourbée dans ce chantier désorganisé.
La mouche de LA FONTAINE s'agite désespérément et rien n'avance.
Nous avons l'impression de tenter un saut en avant de cent ans en arrière.
Les réformes déjà précédemment engagées pour la SNCF soulèvent la réprobation de la Cour des Comptes en matière de désendettement. Elle déclare: l'Etat à tout fait pour ne pas avoir sa dette dans ses comptes.
C'est sûrement ainsi que seront traités tous les problèmes relevant de ce chantier de réformes.
Le nivellement vers le bas apporte des mécontentements, en sont pour preuves les sondages (66% des 11 millions des jurés) toutes idées politiques confondues.
J'estime à ce jour une revalorisation des plus bas salaires de 20% à 25% pour maintenir la tête hors de l'eau de tous ceux qui ont un salaire moyen de 1300€ mensuels.
Pour des raisons inavouables, tous les gouvernements ont laissé dériver à la hausse les prix à la consommation, les loyers, le nombre et le montant des taxes et impôts à l'échelon national ou régional, bloquant par ailleurs les augmentations des salaires.
Certains pays européens sont cités en exemple, les uns ont réussi à réduire le chômage, d'autres on relancé la croissance ou la consommation.
Ils ont su guérir leurs maux. Le mal Français n'est-il pas une spécificité de l'hexagone?
Eradiquer un virus est à la portée de ceux qui veulent s'en donner les moyens, faut-il encore savoir le détecter et le reconnaitre.
Savons-nous vraiment de quoi souffre la FRANCE?
Savons-nous qui est porteur du virus et propagateur épidémique?
Le virus Français serait-il un virus mutant?
La France a-t-elle la VOLONTE et les MOYENS d'enrayer cette épidémie?
Avons-nous constitué la meilleure équipe médicale?
Peut-on encore croire après 30 années d'actions infructueuses que la thérapeutique française est la mieux adaptée?
Prolonger la durée des versements des cotisations sociales et reculer la limite d'âge de départ en retraite, n'est-ce pas là le meilleur moyen pour exclure du monde du travail les générations futures?
Comment admettre cette hypothèse quand on constate que les quiquagénaires sont remerciés sans ménagements par le patronat?
Comment ne pas remarquer que les générations futures ne pourront plus prétendre à une retraite à taux plein à l'âge de 60ans et même à 65 ans?
Qui peut penser qu'un Président de la République peut s'imposer dans le fonctionnement d'une entreprise privée ou dans la dérèglementation d'un pays membre?
En conclusion, je dis qu'il y a urgence à se consacrer à la recherche du médicament 100% français si l'on ne veut pas dans un proche avenir être confrontés à des émeutes plurielles.
La FRANCE VA TRES MAL AUJOURD'HUI.
Ce qui me préoccupe c'est de savoir comment elle ira DEMAIN si...