COVID-19. LA MISE en DANGER de la VIE d’AUTRUI.
Préambule.
Je veux solennellement rendre hommage à tous (toutes) ceux qui, au dépend de leur santé et pire encore de leur vie, œuvrent pour tenter de sauver des vies.
Tous ces scientifiques, professeurs renommés, tout ceux du monde médical, tous ces assistants quel qu’en soit le degré de responsabilités, tous ceux qui sacrifient leurs vies de famille, qui ne compte plus leurs heures à courir dans ce milieu incertain qui leur réserve parfois la pire des sanctions, j’adresse mes sincères félicitations et mes remerciements.
Tout cela, je le fais également au nom de tous ceux qui, comme moi voudraient le faire mais qui manquent de moyens pour s’exprimer. Je sais qu’ils sont nombreux et sincères.
Je précise que ce que je vais mettre dans cet article, est un besoin de prendre part à votre combat, avec mes humbles moyens, car je n’ai aucune connaissance scientifique.
Cependant, je crois qu’il est nécessaire qu’un simple patient puisse apporter son vécu dans une situation de confrontation avec un virus, et ce qu’il constate au quotidien en cette période de recherches.
Je vous remercie donc, de bien vouloir m’accorder quelques instants pour analyser cette modeste participation.
Monsieur le Président a déclaré que nous étions en guerre. Cette guerre n’est pas conventionnelle pour divers motifs, le premier, cette déclaration n’a jamais été faite légalement préalablement a une première attaque. Les raisons à cela ne sont que des suppositions malsaines. Seuls, les responsables en connaissent les motifs.
A présent, les citoyens français ont généralement fait leur synthèse et s’accordent à retenir qu’il s’agit de méthodes qui ont mis en infériorité nos éminents scientifiques.
Le covid-19 est puissamment armé et numériquement équipé en combattants, alors que nos scientifiques et soignants sont dépourvus d’hôpitaux équipés en ressources humaines et en matériel, dépourvus du strict minimum de masques pour eux et toute la population, de suréquipements pour se garantir de contaminations prévisibles. La médecine des généralistes est reléguée aux oubliettes, mettant sur la touche, tous ces patients atteints d’affections chroniques, mais pire encore de tous ceux qui faute de diagnostic réel se retrouvent sur la liste de potentiels contaminés.
L’intoxication d’informations contradictoires entraine une confusion totale, et manque de confiance de part et d’autre.
Tout ce retard accumulé sciemment ou pas nous conduit à favoriser la rapidité de contamination.
Le confinement, trop tardif, met en danger un plus grand nombre de concitoyens.
Les tests de dépistage, pratiquement inexistants au début de l’épidémie, ont favorisé la rapidité de contagion.
Ce confinement est réalisé sans vérification de l’état de santé des confinés, porteurs ou pas du virus.
Conséquence, à ce jour nous sommes incapables de certifier qu’il n’y a pas de foyers de contaminés qui va se répandre dans la population.
Là également, je pense qu’il faut tester tous ces confinés avant de les libérer. Sans quoi, nous allons vers une deuxième phase bien plus grave que la précédente.
Sans peur d’être considéré comme un basique, c’est ce que tout éleveur fait avec ses animaux.
J’en viens à mon témoignage.
A tort ou à raison, en raison de mon ignorance du monde médical, j’ai la conviction, comme pour tout ce qui est sur cette planète, les virus quels qu’ils soient ont une souche commune sur laquelle se grèvent des particularités.
En conséquence, si a tout début de détection de la présence d’un virus, on traitait cette souche, avec les médicaments déjà connus, ce nouveau virus serait peut-être affaibli et sa progression ralentie, ce qui permettrait de se concentrer sur la recherche du nouveau produit qui l’anéantirait.
Dans mon enfance et adolescence, j’ai été confronté à la promiscuité de membres de ma famille qui ont supporté la coqueluche notamment. Alors que j’étais en présence permanente, je n’ai pas été contaminé.
Alors on peut se poser la question sur l’égalité de la force des défenses immunitaires de chacun.
Mais voilà, la coqueluche est-elle un virus latent ?
A notre soixantième année, mon épouse et moi-même avons contracté la coqueluche.
Notre médecin généraliste n’a pas diagnostiqué cette affection. Connaissant les difficultés constatées sur mes jeunes cousins, j’ai mis ce docteur sur la voie.
Alors, des tests ont été faits et les prélèvements adressés à PARIS, parce que sur la région de BORDEAUX, les laboratoires n’étaient pas équipés.
Nous avons pu éviter la contamination de notre petit fils qui venait de naître en s’imposant un confinement.
A l’âge de quatorze ans, j’ai contracté la grippe avec une forte fièvre qui m’a cloué au lit pendant 72 heures durant lesquelles j’ai dormi sans interruption, ce qui a fortement inquiété ma famille.
Cette même année, j’ai eu la varicelle, avec de faibles apparitions de boutons.
Bien plus tard, j’ai appris que ce virus après guérison devenait latent, donc en puissance de réapparaitre sous une forme déguisée.
En 1989, il s’est réveillé me provoquant un zona de l’oreille interne.
J’ai consulté un spécialiste ORL qui n’a rien diagnostiqué de grave, excepté une trace de sang dans le conduit.
Rassuré, malgré la douleur persistante, j’ai pris ma nuit de sommeil, et au petit matin, mon épouse a eu la surprise de me découvrir complètement défiguré, paralysie faciale.
Nous appelons SOS médecin, qui a immédiatement diagnostiqué un zona de l’oreille interne.
Une hospitalisation immédiate a été organisée au CHU de BORDEAUX, du 25/04/1989 au 05/5/1989.
J’ai donc bénéficié d’un traitement antiviral, dont je tairais l’identité afin d’éviter toute automédication.
Administré par perfusions en un premier temps, par cachets ultérieurement.
Avec le recul, compte tenu des contrôles sanguins répétitifs quotidiennement, je pense que cet antiviral était en période d’essai, et non autorisé officiellement.
Si c’est le cas, je suis heureux d’avoir permis ces essais préliminaires.
Je suis conscient que tous ces traitements médicaux, quelle qu’en soit leur administration, ont des effets néfastes sur notre organisme. Cependant ils sont également, par leur action, capables de développer des barrières de neutralisation des virus, que notre organisme met en mémoire, réserve, pour une action immédiate en cas de nouvelle attaque virale. Une immunité peut-être partielle qui peut contribuer à ralentir la progression d’un nouveau virus
Il est à noter, ce n’est pas un reproche, que la médecine générale, lors des consultations, ne pousse pas assez loin les investigations, et préconise des traitements inaptes.
Les informations que nous donnons en consultation, ne sont pas souvent prises au sérieux.
Après rétablissement suite à ce zona, j’ai maintes fois attiré l’attention du généraliste sur les dégâts neurologique de cette pathologie.
Mise à part la déformation du côté gauche du visage, j’ai constaté durant plusieurs mois, que tout le côté gauche de mon corps, notamment les membres étaient affectés. Difficultés à débrayer la voiture, à serrer fortement un objet avec la main gauche, à fermer la paupière de l’œil gauche, à supporter la lumière surtout solaire.
Trente années après, c’est-à-dire à ce jour, ces dernières persistent.
Ce qui est à retenir je crois, c’est que depuis l’administration de cet antiviral, et en l’absence de vaccination préventive contre la grippe, je n’ai pas été infecté par l’un des virus apparus depuis 1989.
Seuls, d’éminents scientifiques peuvent nous donner les raisons de cette immunité.
Ai-je, naturellement, ou grâce à ces traitement, acquis une défense immunitaire assez importante pour limiter l’action de nouveaux virus.
Je crois, qu’il serait intéressant, de lancer des investigations à la recherche de patients qui comme moi ont été affectés par un quelconque virus, et traité par un antiviral.
Il y a peut-être un de ces derniers, capable de limiter pour le moins les dégâts occasionnés par le covid-19.
Depuis le mois de janvier 2020, mon épouse et moi-même, n’avons pas les symptômes retenus pour la recherche du covid-19. Cependant, nous ressentons une grande fatigue inexpliquée, des chutes de tension ponctuelles, des douleurs articulaires et musculaires, des diarrhées intermittentes, alors nous nous posons la question : relation avec le covid-19 ou pas ?
Je crois, en ce qui concerne cette épidémie du covid-19, des erreurs capitales ont été commises, notamment pour ce qui concerne les symptômes limités à la fièvre et à la toux. En éliminant tout autre symptôme, nous sommes passés à côté de cas non recherchés.
En conséquence, nos chercheurs ont été cantonnés dans leurs recherches d’un nouveau médicament, mais également faute de tests, à la détection de nouvelles contaminations.
BAYARD.http://33-laubesc.over-blog.com
Merci pour votre attention. Vos commentaires seront précieux, principalement s’ils viennent du monde médical
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