Monsieur Le PRESIDENT et LA PAUVRETE.

Monsieur  Le  PRESIDENT  et LA PAUVRETE.

C’est vraiment étonnant, Monsieur Le Président nous présente une nouvelle << Pièce de théâtre >>, la PAUVRETE. Une pièce qui devrait mettre la larme à l’œil pour redorer son audimat.

Qu’il ne sache pas que cet état existe en France depuis des lustres ne me surprend pas.

Quand, enfant il passait ses vacances en BIGORRE, dégustant des pâtisseries sur les Allées des COUSTOUS à BAGNERES de BIGORRE, il ne voyait pas les enfants de son âge se rendre à l’école sans avoir déjeuné.

Quand il est arrivé au pouvoir en 2017,  la pauvreté n’était pas à l’ordre du jour.

Je me demande même si la France et ses citoyens figuraient dans ses préoccupations, tant l’UE et particulièrement l’Allemagne étaient l’une de ses priorités, sans oublier tous ses déplacements internationaux, objet de ces visites, tenter, de redorer le blason de la France.

Rappelons-nous la visite en USA, le président de cet état, nous a ridiculisés.

Monsieur, Le Président, n’a pas hésité, par solidarité intergénérationnelle, à ponctionner les retraites de ceux qui ont maintenu, le pays, la tête hors de l’eau.

Il manquait donc d’argent. Par ce coup de baguette magique, il devait retrouver, notamment le chemin de l’emploi, et un taux de croissance exceptionnel.

Grand prévisionniste, soutenu par son Premier ministre, la France devait caracoler en tête des membres de l’UE.

Qu’en est-il à ce jour ? les résultats prévus ne sont pas au rendez-vous, et sont pour le mieux médiocre.

Le financement de la pauvreté, se chiffre par milliards, qu’il veut distribuer sur plusieurs années.

Mais que vont devenir tous ces enfants qui n’ont pas une alimentation nécessaire à une bonne santé, n’ont pas un logement leur permettant de favoriser leur scolarité, tout simplement de devenir des adultes en bonne santé.

Notre Président, nous a promis du changement, à ce jour je ne vois rien venir.

Combien de temps encore pourrons-nous supporter cette misère sans mettre en péril notre société qui s’appauvrit dangereusement, voir cette génération sacrifiée parce que notre monde politique ferme les yeux, comme il l’a toujours fait.

Quand, chacun d’entre nous prendra les dispositions qui s’imposent pour ne plus cautionner, par laxisme, de tels comportements.

Des multitudes de plans sont échafaudés, novateurs, à ce que l’on veut nous faire croire, avec des résultats plus décevants que la situation d’origine.

Sans oublier, tous ceux qui souffrent de pauvreté de par le monde, traitons les milliers de cas dont souffre notre pays.

Comme ses prédécesseurs, Messieurs Les Présidents de notre République, Monsieur MACRON n’est pas avare de promesses.

Il est courant d’entendre,  <<Vaut bien peu, celui qui ne peut pas promettre >>, ou encore << Heureux les pauvres d’esprit, le royaume des cieux leur appartient >>.

Combien sommes- nous de ceux-là, nous qui ne sommes que des riens, 15, 25, 35, 45 millions ?

Nous sommes surement 45 millions, les20 millions restants sont les élites

 de  << La République En Marche >>.

Dans ces millions de pauvres, rares sont ceux qui le sont de leur esprit, parmi eux figurent de très bonnes têtes pensantes que  l’on relègue à la liste des oubliés.

La révolte intérieure ronge les citoyens, les affaiblit au point que leurs contraintes budgétaires leur font oublier leurs devoirs de citoyens.

Comme tous ceux, qui l’on précédé, toutes les mesures qu’il propose sont étalées dans le temps., Qui peut croire que ces dispositions sont crédibles, quand on constate qu’à court terme, tout bascule de la lumière à l’ombre. Il faut être bien naïf  de penser que la conjoncture va s’améliorer. Elle le pourrait, peut être si le chômage diminuait rapidement et pour très longtemps. Or cela ne peut se résoudre sans une contrainte des patrons, à créer des emplois Si ceux-ci ne s’aventurent pas dans cette voie, c’est qu’ils savent que la conjoncture ne sera pas bonne.

Pourtant, ce qui pourrait ébaucher une relance, et augmenter la consommation des ménages, c’est de donner des emplois pérennes  avec des salaires honorables.

Les seuls à ce jour, capables de donner cette impulsion sont les retraités qui voudraient bien investir dans des travaux créateurs d’emplois, mais la ponction sur leurs retraites les détourne de ces investissements.

Ces sommes ponctionnées ne profitent pas à ces pauvres, mais à ceux qui se considèrent comme des patrons, qu’elle qu’en soit l’importance de leur entreprise.

La gangrène se propage facilement chez les artisans, eux aussi protégés par la justice quand il y a un différent du aux malfaçons dans leurs travaux.Cela, rebute tous ces multiples petits investisseurs.

Mais là aussi, nos gouvernements ferment les yeux, au point, comme pour la PAUVRETE, ne pas voir qu’elle existe et qu’elle devient un fléau qui coûtera des milliards et n’apporteront pas de résultats positifs.

Monsieur Le Président, votre popularité prend la route de l’enfer, vous en connaissez les raisons, quant à nous les pauvres et les riens, les raisons, sont que vous n’avez en rien innové dans la gouvernance de notre France qui disparait dans l’abîme d’une UE sans avenir, et une mondialisation dont personne ne connait les limites.

BAYARD.

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