STX St NAZAIRE. Monsieur Macron et la SPECULATION.

Nous avons souhaité le changement, pourtant l’histoire se renouvelle.

Qui donc aurait oublié le feuilleton de Monsieur TAPIE ?

Acheter pour l’euro symbolique des sociétés en faillite, qui produisent pour vendre à perte, est-ce logique ?

Logique quand l’esprit « financier » prévaut.

La spéculation financière, accompagnée de la spéculation humaine, entrent-elles dans le cadre de la loi de moralisation en cours de vote ?

Pourquoi a-t-on vendu ce fleuron français à des étrangers. Des Coréens qui, comme toutes les sociétés étrangères s’installent chez nous pour détruire notre noyau social avec la complicité de nos dirigeants politiques.

Ces derniers, sont-ils diaboliques, ou simplement des complices intéressés ?

Quand donc nos « grosses têtes » pensantes voudront admettre que ces intrusions sont la perte de notre savoir-faire.

Ce savoir-faire de ces femmes et de ces hommes sont notre capital national que l’on ne respecte plus et que l’on salit par la spéculation.

A-t-on le droit de parler de moralisation quand, comme du temps de l’esclavage, on met entre les mains de puissances étrangères des citoyens français qui produisent du haut de gamme pour offrir les louanges à ceux qui nous exploitent.

Alors toutes les inventions sont possibles, comme une nationalisation provisoire, pour différer une fin inévitable.

Voilà enfin un changement.

Qui va-t-on nommer à la tête de cette société provisoire ? Un apprenti sorcier qui ne tirera rien de son chapeau.

La loi travail, en préparation, ne viendra pas améliorer la situation de ces citoyens qui ne peuvent plus regarder l’avenir tant l’horizon s’assombrit.

Qui peut croire que, quelques grosses fortunes mondiales pourront sauver la planète d’une désintégration programmée.

Qui peut croire que les robots vont travailler pour que nous puissions mettre nos orteils en éventail sur les plages, qui alimenteront nos caisses des régimes sociaux et la protection sociale.

Quand, durant la campagne présidentielle il a été évoqué de faire participer ces robots à des versements pour compenser les rentrées d’argent et garantir la pérennité de ces acquis sociaux, un bouclier s’est immédiatement mis en protection du patronat et des actionnaires.

Préparons nos mouchoirs, car nos yeux n’auront plus assez de larmes pour pleurer de désespoir en voyant nos enfants et petits-enfants croupir et mourir dans la misère.

Un seul espoir pour nous serait que les députés LREM prennent conscience qu’ils sont manipulés par un pouvoir totalitaire qui n’a d’yeux que pour l’UE.

Une UE bancale qui dépense sans se soucier dans des bâtiments pharaoniques, une UE qui n’a rien du social, un simple agglomérat de nations sans points communs.

Nous avançons dans le temps, mais pas dans la sage responsabilité.

Bayard.