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22 juillet 2017 6 22 /07 /juillet /2017 20:26

 

 

Quand l’iniquité perdure,

La vie devient une triste aventure.

Monsieur Le Président nous rappelle fréquemment comment fonctionnent nos institutions.

Je suis donc en mesure de penser qu’il devrait apporter une attention particulière dans ses choix.

Nous savons donc que c’est lui qui choisit le premier Ministre, et que ce dernier choisit les ministres de son gouvernement.

Toutefois, Monsieur le président approuve ou désapprouve le choix de son premier ministre.

Il découle de cela que lorsque le gouvernement est formé, Monsieur le Président a validé cette sélection.

En conséquence, c’est lui le responsable en cas de mauvais choix.

Je constate, qu’après moins de deux mois de quinquennat, plusieurs mauvais choix ont été faits
Quatre d’entre eux ont démissionné, et, le Général des armées également.

Monsieur Le Président, je crois qu’il y a motif à s’inquiéter quant à vos compétences en matière de choix.

Deux femmes comme Ministre des armées qui déclarent n’avoir aucune compétence en la matière ne relève pas d’un choix talentueux.

On ne peut pas avoir des « potiches » qui obéissent au doigt et à l’œil, dociles et soumises et des personnes compétentes et de caractère.

Pourtant, le plus grand soin a été porté lors de la recherche de ces talentueux élus(es), une journée supplémentaire a été nécessaire pour ne rien laisser en souffrance.

Mais voilà, la précipitation a encore démontré ses périlleuses limites.

Nous assistons à de très nombreux rappels à l’ordre.

Quel sens a pour vous « un rappel à l’ordre » ?

Je pensé à tort peut-être qu’un gouvernement est un travail d’équipe, que chacun des ministres est compétent pour prendre des initiatives et les annoncer.

Cela ne semble pas être le cas, et, cela se traduit pas ces nombreuses démissions.

Le Chef d’Etat-major a remis sa démission en homme d’honneur. Si en commission il a fait valoir son point de vue, il l’a fait en comité restreint hors des journalistes, il n’a donc pas violé les secrets d’état.

S’il a fait cette remarque, en se substituant à la ministre des armées, c’est encore une fois parce que cette dernière n’était pas à la hauteur de ses attributions. Conclusion un mauvais choix.

Mais, Monsieur Le Président, votre responsabilité me paraît totale.

Vous avez entamé ce quinquennat sans vous assurer que vos promesses budgétaires, pourraient être honorées.

Quad on exige des autres la perfection et la retenue dans ses propos, il est bon de l’appliquer à soi-même.

Sur ce chapitre budget, je crois que vous êtes en pleine connaissance du sujet.

Il n’y a pas d’héritage sans surprise. Il est donc parfois bon, surtout si on a quelques doutes, de refuser l’héritage.

Mais pour cela il ne faut pas donner une priorité à ses intérêts personnels.

Monsieur Le Président, croyez-vous, qu’à ISTRES les militaires ont cru à votre discours ?

Les promesses que vous avez faites,  le sont sous certaines conditions.

 La première, celle d’avoir ramené le déficit en dessous des 3% en fin 2017, ce qui est impossible et cela vous en êtes conscient.

La deuxième, comme par habitude vous avez annoncé un budget bien élevé compte tenu de l’incertitude de l’avenir de pays et de l’endettement.

Ce qui m’inquiète le plus c’est que je ne vois aucun changement de comportement en rapport avec vos prédécesseurs.

Là où mon inquiétude est totale, c’est de constater que les problèmes mathématiques, que ceux qui ne sont « Rien » savent résoudre, sont pour vous et vos ministres insolubles.

Le réservoir des demandeurs d’emplois se remplit plus vite que le robinet des offres d’emploi ne peut en libérer.

Il en résulte quoi ?

Un débordement catastrophique que vos prédécesseurs et vous-même êtes incapables de réguler.

Démographie galopante en est une principale cause, cela personne ne veut le prendre en considération.

Pire encore, vous êtes pour l’accueil de migrants, un acte démoniaque parce que la France compte déjà trop de malheureux.

Tout cela me rend triste, parce que la France n’est plus une terre d’accueil mais un mouroir.

Je crains fort que la réussite que vous espérez ne soit pas au rendez-vous. Bayard

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