Les informations télévisées ont montré l’accession à la troisième marche du podium des exportateurs de matériel militaire.
Après la vente des avions RAFALE, destructeurs bombardiers des biens et des personnes civiles ou militaires, voici signée la vente à l’AUSTRALIE de sous-marins de guerre.
Alors que nous sommes en guerre (déclaration du premier ministre), contre les extrémistes, notre Président de la République se pâme de satisfaction en annonçant la signature de cette vente. Encore une incohérence, fruit du pouvoir de l’argent au détriment du respect des valeurs essentielles humaines.
L’Etat d’urgence en application et prorogé de quelques mois pour des motifs discutables fait fausse note avec ces marchés fournisseurs de matériel de destructions massives.
Se poser des questions pertinentes sur ces comportements est une impérative réalité.
Comment peut-on espérer obtenir de nos ennemis en guerre, un retour à la raison quand on fournit des armes pour les détruire ?
Comment notre Président et son gouvernement pourraient nous convaincre du bienfait de ces actions, alors que nos concitoyens pleurent les victimes de ces attentats perpétrés par ces convertis à la violence et au droit de faire justice ?
Comment expliquer à ces migrants qu’ils n’ont pas droit à notre territoire alors que nous les avons jetés sur les voies de l’exil ?
Si un jour, la France se hisse sur le podium de la paix, alors nous pourrons nous réjouir.
Ce jour n’est pas demain.
Quand donc, ces grosses têtes pensantes auront-elles un peu de lucidité et se résoudront à admettre que l’association de deux êtres est obligatoirement une source de conflits, et que seul le respect de l’un pour l’autre permet l’harmonie nécessaire à la paix.
Oui ce podium est celui de la honte surtout quand les pays étrangers savent que nous sommes les garants des droits de l’homme et des citoyens.