Tous les membres du CM sont présents.
A l’ordre du jour :
Urbanisme
Eglise (point sur appel d’offre)
Lacs de LAUBESC (travaux, financement)
Questions diverses
Cinq concitoyens sont présents (dont 2 couples)
Le compte-rendu sera affiché en son lieu habituel.
Compte tenu des importants évènements nationaux, j’espérais trouver des éléments me permettant de rédiger un article vertueux.
Nous sommes le vendredi 09 janvier 2015, il est 19h30, Mme le Maire déclare la séance ouverte. A Paris et en Seine et Marne, deux attentats terroristes mobilisent les forces spéciales d’intervention et la gouvernance du pays au plus haut niveau.
Entre 17 h et 18 h, ces forces spéciales mettent fin à cette dangereuse situation, soit une heure trente avant l’ouverture de la présente réunion.
Mme le Maire et le CM s’abstiennent de toute allusion ou manifestation citoyenne comme l’observation d’une minute de silence.
Je trouve ce comportement bien regrettable ; il confirme mes inquiétudes quant à la réactivité de cette équipe.
Traitement des sujets à l’ordre du jour.
Urbanisme. Les certificats d’urbanisme semblent poser de sérieux problèmes.
Rien d’étonnant à cela, les différents organismes, eau potable, alimentation électrique, défense incendie ne sont pas en mesure de garantir des services de qualité.
Les allusions faites en cours de séance permettent de penser que des actes de complaisance voient le jour.
Réfection de l’église. Je croyais que ce dossier était déjà traité par le précédent CM.
Que penser de la présentation du sujet faite en cours de séance ?
Lac de LAUBESC. Je n’accorde aucun sérieux aux informations distillées par le CM.
J’en retiens que le CM est dans l’incapacité de gérer le sujet.
De nombreux contre temps confirment mes inquiétudes. Le SMER’E2M est dans la tourmente, deux techniciens ont quitté cette structure, ce qui démontre le malaise qui règne.
Conséquences techniques pour le projet, impossibilité de finaliser et d’en assurer l’entretien.
Mme le Maire reconnait enfin que ce site est la verrue indestructible de la commune.
J’avais dénoncé cette situation dans plusieurs articles.
Par ailleurs, le CM est confronté à la pratique délictueuse de la pêche et à la multiplication des actes de vandalisme du site et des bâtiments.
L’incapacité à réagir est probante.
La restauration du préau est envisagée. Pour quels usages ? Avec quel financement et quelle sécurisation ?
Questions diverses. Accessibilité des handicapés :
Pour le cimetière, cette réalisation n’est pas évidente compte tenu de la topographie (différence de niveau importante), Sans résultats probants quand on sait qu’un déplacement sur les allées gravillonnées est pratiquement impossible en fauteuil roulant.
Préau du lac :
Si le problème de protection contre les actes de vandalisme n’est pas définitivement résolu, la mise aux normes de ce bâtiment n’est pas envisageable.
Les dégradations perdurent et sont incontrôlables, l’engagement financier nécessaire est insupportable pour la commune.
Grand moulin :
Le détournement du chemin d’accès n’est toujours pas résolu. Une enquête d’utilité publique doit avoir lieu dans les jours à venir.
Personnellement, c’est un sujet qui relève des actions du propriétaire des lieux.
Cet un détournement de la voie d’accès pour convenances personnelles, la modification du tracé doit rester à la charge du pétitionnaire.
Création de ralentisseurs sur le CD 236 :
Ils sont envisagés à Redon et au Bourg (mairie).
Ces dispositifs sont généralement prévus pour que les usagers de la route appliquent les limitations de vitesse prévues par le Code de la Route
. Ce sont des engagements financiers importants pour une commune comme CESSAC.
Ces dispositifs n’ont généralement pas l’efficacité que nous leur prêtons, de plus ils sont dangereux pour certains véhicules (vélos, motos, véhicules surbaissés, remorques tractées par des tracteurs agricoles), et souvent pour l’évacuation des eaux pluviales.
Il existe d’autres moyens gratuits pour convaincre les irrespectueux du Code de la Route.
Il serait bon de créer une note d’information pour les citoyens de la commune, parce qu’ils sont nombreux à ne pas respecter la vitesse et cela même parmi les élus.