Le Père NOËL passe déjà

Le Père NOËL passe déjà.

L’ignoble chantage de l’argent.

A MARSEILLE, l’insécurité entraine un climat explosif dans les quartiers nord de la ville.

Le gouvernement met la main à la poche et promet de débloquer trois milliards d’euros.

D’où vient donc cet argent ?

Y a-t-il de multiples caisses secrètes, verrouillées pour le soutien nécessaire à l’industrie ou l’agriculture, mais généreusement ouvertes pour une manœuvre politique ?

On ne peut s’y tromper, l’objectif du gouvernement est bien de conquérir la mairie de cette ville.

Pour cela, le cadeau n’est jamais trop beau.

Un écran de fumée pour cacher la réalité.

Les évènements récents dans ces quartiers montrent bien que l’argent n’achète pas le silence des armes.

Combien de cadeaux de ce genre faudra-t-il pour cacher tous les problèmes de notre pays ?

Cadeau princier également pour la BRETAGNE extinction

du feu de l’écotaxe.

On n’attache pas son chien avec une laisse de saucisses, on n’éteint pas non plus un feu en jetant sur lui de la cendre.

Notre Président nous avait promis l’équité pour tous.

Est-ce en favorisant les uns et pas les autres que l’on peut équilibrer ou effacer les tensions dangereuses ?

Le feu couve depuis trop longtemps déjà, la cendre s’est peu à peu dispersée, les braises recommencent à crépiter.

Le gouvernement et le monde politique, sous la pression des Préfets en première ligne, commencent à paniquer.

Tout le monde sait à quoi conduit une scène de panique.

La population également ressent ce climat malsain, il suffira d’une petite brise pour réactiver une agitation sociale qui aggravera la situation sociale et financière de la France.

Plane également le risque d’une généralisation du mécontentement à toute l’Europe, aucun pays de l’EU n’est à l’abri de cet embrasement.

On demande au chef de l’Etat de changer de cap, d’écouter les économistes, les sociologues, les conseillers pluridisciplinaires.

Qui peut se targuer de connaître la solution salutaire ?

Le monde industriel a supplanté le monde agricole, sa montée en puissance a été aussi éphémère qu’une rose au soleil.

Le mal était si vorace que les deux sont aujourd’hui moribonds.

Dans l’une, comme dans l’autre de ces disciplines, seuls les sages ont su tirer l’épingle du jeu.

Les modestes citoyens que nous sommes peuvent apporter notre tribut en refusant d’acheter des produits ou des cultures issues d’autres pays.

Nous avons le savoir faire de nos concitoyens, il ne manque plus que la volonté du gouvernement et de chacun d’entre nous.